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jeudi, 31 mai 2018

Mont de Marsan : le détenu djihadiste essaie une nouvelle fois d’assassiner des surveillants, le gouvernement assure ne pas y croire

Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2018 

  
 
BREIZATAO – NEVEZINTIOU (30/05/2018) Les faits se sont déroulés jeudi 24 mai, au centre pénitentiaire de Pémégnan à Mont de Marsan (Landes). Un détenu, entravé par des menottes à l’heure du repas, a tenté d’ébouillanter des surveillants qui se trouvaient dans sa cellule. L’homme a agi avec une casserole d’eau bouillante, préalablement chauffée sur le réchaud dont il dispose dans sa cellule, rapporte Sud-Ouest.

Ce détenu était particulièrement surveillé depuis son arrivée dans cet établissement pénitentiaire il y a quatre mois, où il avait été transféré depuis la prison de Vendin-le-Vieil dans le Pas-de-Calais. Dans ce précédent établissement, le prisonnier, islamiste radical et cerveau des attentats de Djerba en 2002, est soupçonné d’avoir essayé d’assassiner trois surveillants le 11 janvier, en les poignardant.

La CGT Pénitentiaire, qui relate ces faits dans un communiqué, estime qu’un « nouveau drame » a été évité mais en appelle désormais au gouvernement et demande notamment « son extradition immédiate aux États-Unis ».

Contacté par Sud-Ouest, Alain Pompigne, le directeur des services pénitentiaires du Sud-Ouest, a estimé ne pas considérer encore ces faits comme étant « avérés ».

 

(Source : RTL) via breizatao

samedi, 24 février 2018

La France « prête à accueillir » la djihadiste Melina Boughedir, selon la ministre de la Justice Bellou

Publié par Guy Jovelin le 24 février 2018

Belloubet
 

La ministre de la Justice s'est exprimée au sujet de cette Française, condamnée en Irak à sept mois de prison, qui devrait prochainement être jugée en France.

Mélina Boughedir s'était rendue en Irak en 2015, pour rejoindre son mari parti faire le jihad. Condamnée en Irak à sept mois de prison pour entrée illégale sur le territoire, la justice irakienne a ordonné, lundi 19 février, sa libération et son expulsion. À son retour en France, elle devrait être jugée par les juridictions françaises.

Invitée de RTL ce mercredi 21 février, Nicole Belloubet a évoqué le cas de cette femme de 27 ans, sans pouvoir donner d'indications sur sa date de retour dans l'Hexagone. "Nous suivons cela avec les attachés irakiens", déclare la garde des Sceaux, évoquant une question "sans doute de semaines".

"Dès qu'elle arrivera en France, elle sera prise en charge par un juge, elle sera judiciarisée, sans doute placée en garde à vue avant qu'une décision la concernant ne soit prise. (...) Si les juges en décident ainsi, elle sera placée en détention", détaille la ministre de la Justice au micro de RTL. "La France est tout à fait prête à l'accueillir et à répondre par une mesure judiciaire", a poursuivi Nicole Belloubet.

 

Source via lesobservateurs

jeudi, 08 juin 2017

Farid Ikken, le djihadiste de Notre-Dame, avait été récompensé par l’UE pour un article pro-migrants dénonçant le « racisme »

Publié par Guy Jovelin le 08 juin 2017
POSTED BY LA RÉDACTION ON 7TH JUIN 2017 

BREIZATAO – NEVEZINTIOU (07/07/2017) Le djihadiste à l’origine de l’attentat de Notre-Dame de Paris avait écrit, en sa qualité « d’étudiant en journalisme », un article dénonçant « le racisme » qui avait été récompensé par l’Union Européenne.

Farid Ikken, qui a vécu en Suède où il travaillait comme « journaliste », a reçu en 2009 le « Prix du Journalisme contre les Discriminations de la Commission Européenne » (source). Il entendait dénoncer le « racisme » dont souffraient les migrants clandestins, pour la plupart musulmans.

Le Commission Européenne avait précisé (source) :

L’article de Farid traite des demandeurs d’asile qui n’ont pas le droit aux soins médicaux et qui sont donc forcés de rechercher par eux-mêmes ces soins, tout comme le personnel soignant qui accepte quand même de les donner.

Farid Ikken a notamment été actif au sein de médias d’état suédois, dont la radio nationale.

 

Source : breizatao

samedi, 21 janvier 2017

Premier échec d'un centre de déradicalisation

Publié par Guy Jovelin le 21 janvier 2017

 
Image d'illustration. Photo © DGPN/SICOP
 

Djihadisme. Pensionnaire du premier centre de déradicalisation mis en place par le gouvernement, un homme a été interpellé mardi 17 janvier dans le Bas-Rhin. Le ministère de l'Intérieur est embarrassé : les établissements ne doivent pas accueillir d'individus fortement radicalisés.

Coup dur pour la politique de déradicalisation mise en place par le gouvernement. Mardi 17 janvier, dans le Bas-Rhin, un pensionnaire du centre de prévention, d'insertion et de citoyenneté de Pontourny, en Indre-et-Loire, a été interpellé à Wissembourg, dans le Bas-Rhin. Si Mustafa S., c'est son nom, bénéficiait d'une autorisation de sortie, son profil interpelle tout particulièrement.

Le ministère veut taire l'affaire

Après la révélation de cette arrestation par Les Dernières Nouvelles d'Alsace, Le Monde rapportait que le ministère de l'Intérieur avait donné pour consigne de passer sous silence toute information relative à Mustafa S. Car son profil s'éloigne fortement de ceux censés être accueillis par les centres comme celui de Pontourny.

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D'ailleurs, selon un document du ministère, seules les personnes “en début de processus de radicalisation et non engagés dans des actions violentes” peuvent intégrer les centres de déradicalisation. En clair, ce type d'établissement doit s'occuper des individus les moins dangereux et les moins radicalisés.

Rattraper un cuisant échec

Pourtant, comme l'explique RTL, Mustafa S., 24 ans, a plusieurs fois tenté de rejoindre les rangs de l'État islamique. Une première fois en décembre 2013, puis en mai 2016. C'est même cette deuxième tentative qui lui vaudra, avec ses amis radicalisés, d'être interpellé par la Direction générale de la sécurité intérieure, mardi 17 janvier.

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Si la DGSI avait émis un avis négatif sur l'intégration du jeune homme à Pontourny, celui-ci a bien rejoint l'établissement. En cause certainement, le manque de réussite de l'initiative gouvernementale : sur les 25 places disponibles dans le centre, seules 5 sont occupées.

 

Source : valeursactuelles

samedi, 07 juin 2014

Entre Bourvil et BHL, portrait-robot du djihadiste 2.0 (par Nicolas Gauthier)

Publié par Guy Jovelin

Alors comme ça, à l’étonnement médiatique général, il y aurait encore en France des esprits exaltés prêts à mettre leur peau au bout de leurs idées… Sans blague ! Et même que ça ferait des morts… Sandec !

Eh bien oui, c’est ainsi. Tout le monde ne rêve pas de finir trader à Wall Street ou de gagner au loto. Après, chacun selon ses rêves ou ses idéaux. Dans les années 60 du siècle dernier, les gosses de bourgeois appelaient révolution et lutte armée de leurs vœux. Pour des Serge July, des André Glucksmann, des Benny Lévy et autres révolutionnaires de Foire du Trône, la démocratie était tenue pour un « vice bourgeois », tandis que la révolution se trouvait au bout du canon.

Quel pastis ! Pour aller court, c’est toute l’histoire de Dominique Raimbourg, relatée par Libération de ce lundi dernier. Un député socialiste de Loire-Atlantique, magistrat vétilleux, ambiance Robespierre, qui se replonge dans ses souvenirs de djihadisme trotskiste, lorsque membre de l’AMR, Alliance marxiste révolutionnaire : « Ils avaient tous des pseudos de héros révolutionnaires. Je trouvais ça ridicule, alors j’ai choisi Zorbec le Gras. De toute façon, on ne s’en souvenait jamais. Au téléphone, ça donnait : Ici, le commandant Machin. Qui ? Ah, c’est toi Gérard ? » Au fait, le Dominique Raimbourg en question n’est autre que le fils d’André Raimbourg, plus connu sous le pseudonyme de Bourvil.

Cette génération aura donc joué à la révolution. Jusqu’au jour où tout bascule. Jeux olympiques de Munich, en 1972. Là, on ne rigole plus : prise d’otages d’athlètes israéliens par l’OLP, police allemande au premier rang et hommes du Mossad en embuscade. Il y a du sang sur le tarmac. Fin de récréation.

De ce jour, nos gauchistes d’opérette demandent l’asile politique au Café de Flore et feront ensuite carrière, qui dans la pub, qui au Monde, à Libération ou au Figaro. Les seuls qui iront jusqu’au bout ? Les desperados d’Action directe, qui persistent à penser que les lendemains du Grand Soir ne comptent pas que pour des prunes. Et aujourd’hui ? Les mêmes en version 2.0 ; mais issus du quart-monde immigré. Ils ne lisent ni Marx et encore moins Bakounine. N’ont du Coran qu’une connaissance issue du téléphone arabe. Se mélangent un brin les pinceaux entre Oumma et McDo, djihad et jeux vidéo. Et, surtout, ont pris pour argent comptant ce qu’ils voyaient à la télévision ou sur Internet : soit l’affreux Bachar el-Assad, que la France de François Hollande a manqué d’aller bombarder.

Ce sont des enfants perdus. Mais qui, au moins, à rebours d’un BHL faisant le beau au Festival de Cannes avec des « démocrates » libyens d’opérette, auront été jusqu’au bout de cette logique absurde. Absurde, quoique finalement logique. Mais guère plus que notre monde finissant, soit dit en passant.

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