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vendredi, 13 avril 2018

La science prouve que le communisme rend les nations plus pauvres et moins saines

Publié par Guy Jovelin le 13 avril 2018

Marx,_Engels,_Lenin,_Stalin_(1933)

Vivre sous le communisme rend les pays plus pauvres et moins sains pendant des décennies, selon une nouvelle étude historique.

Les chercheurs qui ont testé les relations historiques entre les cultures ont constaté que le fait qu'un pays ait été sous le communisme était le facteur le plus important pour ceux dont les niveaux de santé, de revenu et d'éducation étaient plus bas.

Dans un article publié dans la revue Royal Society Open Science, ils ont comparé ces facteurs à l'indice de développement humain des Nations Unies, qui mesure le revenu par habitant, l'espérance de vie à la naissance et le nombre d'années que les citoyens consacrent à l'éducation.

La plupart des points qu'ils ont examinés semblaient avoir peu ou pas d'effet sur les disparités entre les pays, à l'exception des pays islamiques qui ont un peu moins progressé en matière d'éducation.

Au lieu de cela, l'indicateur le plus fort pour la santé d'un pays, et le deuxième plus fort pour sa richesse, s'est révélé être si ses dirigeants avaient embrassé le communisme.

L'étude indique qu'après la Seconde Guerre mondiale, la croissance économique dans l'Europe de l'Est communiste a été plus lente qu'en Occident, mais malgré l'effondrement de l'Union soviétique il y a près de 30 ans, les effets se font toujours sentir.

L'étude indique que le communisme était également à l'origine de la stagnation de l'espérance de vie derrière le rideau de fer durant les années 1970 et 1980, ce qui fait prendre du recul à ces pays encore aujourd'hui.

Les chercheurs déclarent: "Les causes immédiates de cette faible espérance de vie sont complexes, mais une consommation élevée d'alcool, le tabagisme et une mauvaise sécurité au travail, ainsi qu'un régime alimentaire et des conditions de vie de faible qualité sont impliqués."

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

lundi, 06 novembre 2017

Coup d'état bolchévique

Publié par Guy Jovelin le 06 novembre 2017

  il y a 2 heures

Cent ans après le coup d'état bolchévique, n'oublions pas les souffrances et la mort des innombrables victimes du communisme international.

mercredi, 06 septembre 2017

Supprimer tout hommage au «Che», ce criminel qui tuait de sang-froid, même des enfants

Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2017

PUBLIÉ PAR MARINA LINARDI LE 5 SEPTEMBRE 2017 

2017 se trouve à un siècle de la révolution communiste soviétique, et à 50 ans de la mort d’Ernesto « Che » Guevara.

L’héritage meurtrier du communisme et cette figure trouble ne méritent pas les honneurs étatiques financés avec les taxes de tous les citoyens.

Le Guevarisme à Cuba a fait 10.723 morts, tués par le régime communiste, 78.000 tués en essayant d’échapper à l’île, 14.000 tués lors d’opérations militaires à l’étranger, et 5.300 personnes tuées dans la rébellion d’Escambray (principalement des paysans et des enfants).

Che Guevara a persécuté des intellectuels, les homosexuels et les dissidents.

1 500 000 exilés attendent encore la justice avec une grande partie des 11 millions de cubains qui restent sur l’île semi-chômeurs, en mauvaise santé, et dans des conditions de vie épouvantables, se prostituant pour arriver à boucler les fins de mois et compléter au marché noir les maigres rations alimentaires officielles.

Pire encore, l’héritage du communisme international, salué par le «Che», admirateur de génocidaires comme Joseph Stalin, représente des dizaines de millions de victimes, assassinées, torturées, et emprisonnées dans des camps de travaux forcés.

C’est pourquoi nous, la Fondation International Bases, demandons au gouvernement municipal de la ville de Rosario, ville natale du Che, d’enlever tous les monuments et honneurs à cette triste figure, ce monstre criminel (parmi lesquels on trouve une statue, une plaque dans sa maison natale, une peinture murale à côté d’un espace culturel sur la Place de la Coopération, et une visite touristique en son honneur, sa nomination comme citoyen d’honneur, ainsi qu’une partie de l’autoroute de Córdoba, une place, et un centre municipal d’études latino-américaines portant son nom).

En même temps, nous croyons qu’il est pertinent de soulever notre préoccupation concernant l’annonce d’un timbre commémoratif à son nom par le gouvernement national argentin, et la nomination en son honneur de l’Aula Magna de la Faculté de médecine de l’Université nationale de Rosario.

 

Reproduction autorisée avec la mention suivante : traduction © Marina Linardi pour Dreuz.info.

Source : dreuz.info

 

mercredi, 27 avril 2016

Brescello (petite ville où ont été tournés les Don Camillo): du communisme à la mafia

Publié par Guy Jovelin le 27 avril 2016

brescelloUne nouvelle attendue depuis quelques temps est survenue dans la province de Reggio Emilia: le conseil municipal de Brescello a été dissous le 20 avril 2016par le gouvernement italien, sur proposition du ministre de l’intérieur A. Alfano, pour infiltration mafieuse.
 
Brescello (région d’Emilie-Romagne) a servi de cadre à la série de films « Don Camillo », avec Fernandel (Don Camillo, curé de Brescello) et Gino Cervi (Giuzeppe Bottazzi, alias Peppone, maire de Brescello).
 
Dans la vraie vie comme dans le film, Brescello, tout comme la province de Reggio Emilia, est nettement dominé depuis 1946 par le PC italien puis, après le changement de nom du PCI en parti démocrate de gauche (PDS) puis en parti démocrate (PD), nom qu’il a actuellement, par ces derniers partis.
 
Après le communisme, Brescello est donc aujourd’hui gravement victime de la mafia.
 
Cette dissolution avait été rendue probable depuis la démission de l’ancien maire de Brescello, Marcello Coffrini (maire de 2014 à 2016, sans étiquette, mais de gauche). Mais cette dissolution a été prononcée, non au titre de l’article 141 du décret 267 du 18/8/2000, qui prévoit entre autres causes cette dissolution quand le fonctionnement normal du conseil n’est plus assuré à cause de la démission du maire, mais au titre de l’article 143, qui prévoit cette dissolution en cas de « phénomènes d’infiltration et de conditionnement de type mafieux »
 
Pour prononcer cette dissolution, il faut des faits « concrets, univoques et considérables » montrant des liens entre les administrateurs de la ville (ou d’autres entités publiques) et la criminalité organisée de type mafieux ou semblable, liens qui entraîne une altération du processus de décision des conseils élus et administratifs.
 
Le ministre de l’intérieur, qui appartient au NCD (nouveau centre droit), parti qui gouverne avec le PD (parti démocrate, gauche) a donc validé le travail de la commission d’enquête qui avait été mise en place et qui a étudié les actes pris par les autorités municipales de Brescello depuis 15 ans.
 
L’affaire remonte à septembre 2014. Les étudiants de « Cortocircuito » (court-circuit), une télévision par internet qu’ils animent, présentent une vidéo contenant des déclarations du maire M. Coffrini, notament la phrase suivante, à propos de Francesco Grande Aracri, déjà condamné pour association mafieuse « Grande Aracri: il est aimable, éduqué et ne semble pas être celui qu’on dit ». Francesco est le frère de Nicolino Grande Aracri, chef du clan Grande Aracri, originaire de Calabre.
 
Une photo montre également le maire discuter seul à seul avec Francesco, déjà condamné pour association mafieuse à ce moment-là
 
Après avoir longtemps nié la présence de « Ndrangheta » à Brescello, la branche de la mafia d’origine calabraise qui s’est donc implantée à Brescello (et ailleurs en Reggio Emilia), le maire a fini, sous la pression, par démissionner en février 2016.
 
La commission d’enquête a notamment mis en lumière le transfert de droits immobiliers résidentiels vers la rue Pirandello, où sera ensuite construit « Cutrello », le lieu où s’installe le clan Grande Aracri, au détriment d’autres habitants de la ville. Ensuite, il y a d’autres opérations immobilières qui posent problème, comme la construction du supermarché « Famila ».
 
A noter que le père de Marcello, Ermes Coffrini, maire de Brescello, était l’avocat de la famille Grande Aracri. Il a également été membre du comité communal du Parti démocrate de Brescello formé en 2007 en vue des élections primaires visant à choisir le chef du Parti démocrate pour l’Italie entière.
 
Ces révélations sont bien entendu ennuyeuses pour le parti démocrate à l’approche des élections municipales du 5 juin prochain, qui auront lieu dans plus de 1000 villes et villages italiens (sur 8000 sur l’ensemble de l’Italie).
 
D’autant qu’en ce moment a lieu à Reggio Emilia (capitale de la province du même nom) le procès « Aemilia » où 147 accusés de mafia comparaissent. Parmi eux, certains ont déjà été condamnés et d’autres acquittés.
 
Il n’y aura pas d’élections le 5 juin à Brescello, la commission d’enquête et d’administration extraordinaire devant fonctionner pendant encore un an et demi, voire trois ans et demi.
 
Si les dissolutions de conseils municipaux pour infiltration mafieuse sont fréquentes en Calabre, c’est la première fois que cela arrive en Emilie-Romagne.
 
G. Paume
 
 



mercredi, 28 octobre 2015

Ironie de l’histoire : l’accès à la tombe de Karl Marx devient payant !

Publié par Guy Jovelin le 28 octobre 2015

 

L’idéologue juif et père du communisme indirectement responsable de millions de morts au nom de la lutte des classes, voit sa tombe devenir une attraction payante pour bobos anglais et cocos arriérés. Une belle ironie de l’histoire…

Pour accéder à la tombe du philosophe anticapitaliste Karl Marx, surmontée d’un imposant buste, dans le cimetière de Highgate, à Londres (Royaume-Uni), les visiteurs doivent payer quatre livres sterling (5,50 euros), rapporte le Wall Street Journal (en anglais), dimanche 25 octobre. Un droit d’entrée qui fait enrager certains fans du révolutionnaire allemand, auteur du Capital.

« Je trouve cela dégoûtant, les capitalistes ne reculent devant aucune ironie, aucun mauvais goût, quand il s’agit de gagner de l’argent », se plaint le militant marxiste Ben Gliniecki, dans le Wall Street Journal. Il estime que Karl Marx aurait été horrifié d’apprendre que l’accès à sa tombe était payant.

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