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jeudi, 24 août 2017

Islamisme, quand les contribuables entretiennent leur bourreau

Publié par Guy Jovelin le 24 août 2017

Céline Amaudruz

Conseillère nationale UDC
ImamAuxfrs600.000
 

Islamisme, quand les contribuables entretiennent leur bourreau

Pour peu qu'on veuille bien s'y intéresser, la vie intérieure des mosquées établies dans notre pays ne déçoit jamais. On a ainsi entendu parler de celle de Winterthur, régulièrement citée lorsqu'il est question de jihadisme. Quelques figures emblématiques feraient l'objet d'enquêtes de la part du Ministère public, instance aussi discrète que son tableau de chasse. A cette heure, An Nur semble susciter un intérêt soutenu de la part des enquêteurs espagnols travaillant sur les attentats de Barcelone. A Bâle, à la mosquée du roi Faysal, il fut question de fatwa légitimant les crimes de quelque nature qu'ils soient contre les ressortissants d'un état infidèle ou de poignée de mains refusée à une enseignante sous prétexte qu'elle est une femme. Il y a aussi eu Genève avec le Petit-Saconnex, ses imams fichés S, tout comme le responsable de la sécurité, son financement pour le moins opaque et ses voyageurs partis faire le jihad sous les couleurs de l'Etat Islamique. Rien de bien exceptionnel me direz-vous, ces éléments inquiétants n'ayant guère suscité de réactions de la part des mondes politique ou judiciaire, trop heureux ne pas avoir à se frotter à ces prosélytes chicaniers et malcommodes. 

Aujourd'hui, c'est le Bund qui attire notre attention sur une autre curiosité proposée par les enrichisseurs culturels, à savoir la mosquée de Bienne et son bien sympathique imam Abu Ramadan, homme de paix et d'amour qui propose à ses ouailles des prêches appelant Allah à détruire les ennemis de l'islam, les Juifs, les Chrétiens, les Hindous, les Russes et les Chiites, ceci en vue de redonner à sa croyance sa gloire antique.

Le parcours de cet homme appelant à la destruction de ceux que l'accueillent et l'entretiennent vaut son pesant de cacahouètes. Prétendument persécuté par le régime du colonel Khadafi, le personnage arrive de Libye à fin 1998 pour demander l'asile qu'il ne tarde pas à obtenir bien évidemment. Il se dit agronome mais le doute subsiste, Abu Ramadan étant brouillé avec le travail. Sa fainéantise n'a bien sûr aucune incidence sur son parcours en Suisse puisqu'il est aujourd'hui titulaire du permis C, touchant ainsi CHF 600'000.— d'aide sociale entre 2004 et 2017. Dans la mesure où l'intéressé ne maitrise ni le français ni l'allemand après tant d'années, on ne peut que constater qu'il n'a pas profité de son temps libre pour travailler à son intégration.

Il est vrai qu'Abu Ramadan est un homme occupé. Il officie en effet à titre gracieux à la Mosquée de Bienne lors de la prière du vendredi, occasion en or pour distiller sa haine aux fidèles qui semblent s'accommoder du discours. Doté d'un sens de l'humour pour le moins étonnant chez pareil personnage, l'imam précise que l'amour, la tolérance et la générosité sont ses lignes directrices dans ses relations avec les musulmans et les non-musulmans, d'où on déduit que la destruction qu'il nous souhaite participe de sa vision de l'amour, de la tolérance et de la générosité. Ce dernier terme évoque sans doute celle du citoyen contribuable appelé à sponsoriser le personnage et ses appels à la destruction. Pour compléter le tout, fort de son sentiment d'avoir la nationalité suisse, l'imam retourne volontiers dans son pays d'origine pour réclamer à la télévision l'instauration d'un califat islamique.

Ce nouveau cas démontre une fois de plus à quel point nous sommes naïfs face à la haine que ces islamistes éprouvent pour nous. Interprétant à juste titre notre tolérance comme de la faiblesse, ils profitent de la liberté que nous leur octroyons pour appeler à notre destruction, ceci en profitant des largesses publiques. Il est vrai que jusqu'ici, les mosquées qui se sont signalées par leur radicalisme sont toutes situées dans des villes de gauche. Ceci explique cela.

 

Source : lesobservateurs

lundi, 22 juin 2015

Impôt à la source : et si on demandait leur avis aux contribuables ?

 Publié par Guy Jovelin

Colonel à la retraite
Cette réforme est aujourd’hui défendue avec un argument de masse : elle est"attendue" par les FrFaute de pouvoir réenchanter le rêve français ou, plus prosaïquement, de réduire le chômage, François Hollande se replie sur des réformes plus« techniques », comme on dit, en guise de nouvel idéal et de lendemain qui chante. Arlésienne qui a largement dépassé l’âge de faire valoir ses droits à la retraite, puisqu’elle fit sa première apparition sous le règne de Giscard, nous disent les socialistes – comme si c’était un gage de modernité -, l’on nous ressort l’impôt à la source. Une trouvaille, donc, qui devrait révolutionner la vie des Français ! On nous rebat les oreilles depuis plusieurs jours en nous rappelant, du reste, que c’était une promesse du candidat Hollande. Un peu comme si on nous disait « Vous avez signé le contrat, il faut assumer maintenant » et que cette promesse nous obligeait.

Mais, au fait, qu’était vraiment cette promesse ? Revenons justement à la source de ce texte quasi messianique : les 60 engagements du candidat Hollande, ou un véritable inventaire à la pervers ! Au chapitre « Je veux engager une grande réforme fiscale », paragraphe 14, on lit : « La contribution de chacun sera rendue plus équitable par une grande réforme permettant la fusion, à terme, de l’impôt sur le revenu et de la CSG dans le cadre d’un prélèvement simplifié sur le revenu (PSR). Une part de cet impôt sera affectée aux organismes de Sécurité sociale. » Comme disait Pilate, quod scripsi, scripsi ! L’idée était, selon les socialistes – en fait la boîte à fausses bonnes idées Terra Nova – de rendre plus équitables les prélèvements et ce, par la fusion avec la CSG, c’est-à-dire, en clair dans le texte, d’alourdir le poids de l’impôt pour les classes moyennes, ces salauds de pas riches.

Or, actuellement, le gouvernement nous assure que la réforme du prélèvement à la source ne vise pas à mettre en place cette fusion et qu’il ne s’agit que de faciliter la vie des Français. Soit il ment, ce qui est largement dans ses cordes, soit il trahit les promesses du candidat Hollande. Évidemment, je penche pour la première hypothèse : en cas de victoire en 2017, les socialistes termineront la paupérisation des classes moyennes avec le deuxième étage de la fusée.

Cette réforme est aujourd’hui défendue avec un argument de masse : elle est« attendue » par les Français, a affirmé Manuel Valls il y a deux semaines au congrès de Berlin, pardon, de Poitiers. Alors, si Manuel Valls l’a dit… Manuel Valls a dit, Manuel Valls va faire, pour paraphraser un slogan d’une autre époque. Et en plus, un sondage d’Odoxa paru dans Le Parisien arrive à point nommé, comme Blücher à Waterloo. 64 % des Français sont pour : que du bonheur !

Mais on sait bien que l’on fait dire tout ce que l’on veut aux chiffres, sauf lorsqu’il s’agit de passer à la caisse. Or, qui passe à la caisse en matière d’impôt sur le revenu ? Moins de 50% des Français ! Je serais donc curieux de savoir quel serait le résultat de ce sondage si on le réalisait auprès des contribuables.

Des contribuables qu’on pourrait rebaptiser contributeurs, mot plus approprié, me semble-t-il…

 

samedi, 19 juillet 2014

Une maîtresse hors de prix

Publié par Guy Jovelin