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lundi, 08 janvier 2018

Après avoir signalé Tex au CSA, Marlène Schiappa “défend le droit de se moquer de tout”

Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2018

Par  le 08/01/2018 

De l’inconstance en politique. Un mois après avoir signalé au CSA une blague « indigne » et « irrespectueuse » sur les violences contre les femmes de l’humoriste Tex, finalement évincé de France 2, Marlène Schiappa « défend le droit de se moquer de tout » dans une interview au Parisien, parue ce dimanche. « Aujourd’hui, je suis toujours Charlie. Et surtout pour une République laïque, une et indivisible », affirme la secrétaire d’État chargée de l’Égalité femmes-hommes, trois ans après les attaques contre Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher.

« Il faut faire très attention à ce que l’on met derrière les mots. On ne peut pas être Charlie que quand ça nous arrange. Etre Charlie pour moi, c’est ne pas transiger sur la liberté d’expression, ajoute-elle. C’est défendre le droit de se moquer de tout et de tout le monde, y compris des représentations religieuses. C’est pouvoir écrire, chanter, dessiner sans craindre de heurter telle ou telle croyance. Ça ne veut pas dire que l’on doit rire ou adhérer à toutes les caricatures.

D’ailleurs, « l’obscurantisme peut s’incarner dans l’islamisme mais concerne aussi d’autres intégrismes religieux comme les anti-IVG », souligne Marlène Shiappa (…)

 

Valeurs Actuelles via fdesouche

dimanche, 06 août 2017

Racisme anti-blanc – Le CSA prône le grand remplacement télévisuel

Publié par Guy Jovelin le 06 août 2017

 

Cette semaine, le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA) a présenté un rapport au Parlement destiné à encourager les chaînes de télévision à se fixer des objectifs « plus ambitieux » et « chiffrés » pour améliorer la représentation de la diversité à la télévision.

Le sujet racial semble obséder le CSA. Dans son baromètre annuel de la diversité à la télévision, publié en début d’année, le CSA estimait que l’expression de la diversité de la société française avait trop faiblement progressé l’an dernier. Selon ce baromètre, le taux de personnes « perçues comme non blanches » dans les programmes diffusés à la télévision avait légèrement augmenté (à 16% contre 14% en 2014).

Dans son rapport remis au Parlement, le CSA revient sur ce sujet racial et « relève que les héros et personnages principaux sont peu ou pas issus des minorités visibles ». Le CSA appelle donc les chaînes à veiller à la qualité des rôles attribués à des personnes « perçues comme non blanches ».

Ces dernières années, le politiquement correct martelait que les races n’existent pas. Mais le CSA semble bien faire de la question raciale l’un de ses thèmes d’études préférés. Avec une curieuse dose d’ethno-masochisme (combien de Noirs à la tête du CSA ?), le conseil supérieur de l’audiovisuel classe le monde entre blancs et non-blancs. Mais selon le CSA, il y a trop de blancs à la télé. Sa recommandation vise donc à instaurer la discrimination positive, c’est-à-dire l’engagement prioritaire de non-blancs qui n’est rien d’autre qu’une forme de racisme anti-blanc.

Vous avez dit grand remplacement ?

 

Source : medias-presse.info

jeudi, 23 mars 2017

TF1 : le CSA rappelle à l'ordre Jean-Pierre Pernaut pour des propos sur les migrants

Publié par Guy Jovelin le 23 mars 2017

TV 22 mars 2017

ILLUSTRATION. Jean-Pierre Pernaut en 2015. (LP/Olivier Corsan)

Selon l'instance de contrôle, les propos du présentateur de TF1 peuvent «encourager un comportement discriminatoire».

«Plus de places pour les sans-abris mais, en même temps, les centres pour migrants continuent à ouvrir partout en France». Ce commentaire de Jean-Pierre Pernaut, prononcé au JT de 13h de TF1, le 10 novembre, en clôture d'un reportage sur les sans-abris, ne passe pas auprès du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA). Mercredi, l'instance de contrôle a adressé un rappel à l'ordre au présentateur et à sa chaîne. 

«Après examen de la séquence, le Conseil a regretté la formulation choisie par le journaliste, estimant que celle-ci était de nature à sous-entendre que les migrants seraient privilégiés par les autorités publiques par rapport aux personnes sans domicile fixe. Il a donc considéré que ces propos pouvaient encourager un comportement discriminatoire», écrit le CSA dans un communiqué. 

VIDEO. Le JT de 13 heures du TF1 du jeudi 10 novembre (à 6'25)

Les propos du journaliste avaient suscité de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux. Dans quel but opposer le sort des migrants à celui des sans-abri ?», s'était notamment demandée la Licra (Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme) sur son compte Twitter.  

 

Source : leparisien

samedi, 14 janvier 2017

TV : selon le CSA, les personnes « non-blanches » sont surreprésentées dans les activités illégales

Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2017

14 janvier 2017 par Pierrot

TV : selon le CSA, les personnes « non-blanches » sont surreprésentées dans les activités illégales 14 janvier 2017 par Pierrot Le CSA vient de publier les résultats de son « baromètre de la diversité » (rapport à télécharger ici). En effet, depuis 2006, le CSA doit veiller « à ce que la programmation reflète la diversité de la société française ». Cette étude de 20 pages est réalisée en se basant sur 2 semaines de visionnage de plusieurs programmes de la TNT.

Les statistiques révèlent que : « La représentation des personnes « perçues comme non blanches » à la télévision a légèrement augmenté en deux ans (16% en 2016 vs 14% en 2014) ».

Avec cette augmentation du nombre d’halogènes à la télévision, le CSA est content, même s’il note que c’est grâce aux programmes sportifs et aux fictions américaines.

Là où le bât blesse, c’est concernant l’attitude, négative ou positive, des progénitures de la République :

« S’agissant des attitudes, celles qui sont négatives sont incarnées à 25% par des personnes « perçues comme non-blanches » (vs 20% en 2015 sur le périmètre des 3 genres étudiés en commun : fictions, informations, magazines / documentaires) et les attitudes positives le sont à 23% (vs 14% en 2015 sur le même périmètre). On peut également noter que les personnes « perçues comme non-blanches » sont surreprésentées dans les activités marginales ou illégales, à hauteur de 34%. »

Et oui ! Alors que les statistiques ethniques sont interdites (sauf pour le CSA ?), et qu’il n’y a pas de chiffres (publics) concernant la proportion de non-blancs impliqués dans des activités illégales, le CSA juge de sa propre autorité que c’est trop !

Pour Mémona Hintermann, commissaire politique en charge de la diversité au CSA, ce résultat est une distorsion qui serait « un déni de citoyenneté » !!! Fanatique, elle considère que « notre système audiovisuel n’est pas à la hauteur. Si on voit l’autre majoritairement dans des circonstances où il nous fait peur, où il représente un danger, alors nous contribuons, par l’audiovisuel, à rendre cette société haineuse. La télévision a un rôle majeur dans la constitution des opinions de notre pays ».

Nota bene : Selon Wikipédia, Mémona Hintermann est le résultat d’un mélange peu ordinaire, fille d’un père indien musulman et d’une métisse créole catholique (sic!).

 

Source : contre-info

vendredi, 19 février 2016

Recommandation du CSA : écrans avant 3 ans = retard du développement

Publié par Guy Jovelin le 19 février 2016

18 février 2016 par Pierrot

Serait-ce un début de prise de conscience ? Le CSA publie aujourd’hui des recommandations au jeune public et proscrit notamment, les écrans avant l’âge de trois ans. Les effets nocifs du petit écran sur le développement des enfants (même sur les adultes!) sont pourtant connus depuis longtemps : TV lobotomie – « La vérité scientifique sur les effets de la télévision » de Michel Desmurget.

Pour le CSA, le Ministère de la santé et plusieurs experts, la télévision n’est pas adaptée aux enfants de moins de 3 ans car elle peut freiner leur développement, même lorsqu’il s’agit de chaînes qui s’adressent spécifiquement à eux.

Avant 3 ans, l’enfant se construit en agissant sur le monde : la télévision risque de l’enfermer dans un statut passif de spectateur à un moment où il doit apprendre à devenir acteur du monde qui l’entoure.

Il existe plusieurs étapes dans le développement de l’enfant de moins de trois ans : le bébé est d’abord attiré par tout ce qui bouge puis il découvre qu’il peut agir sur son environnement et, dès que sa motricité le lui permet, il désigne les choses et les touche. À partir de neuf mois, il imite sans comprendre ce qu’il voit. Vers un an et demi ou deux ans, il met des mots sur les choses et comprend des expressions de base.

 

Pour développer ses capacités, l’enfant doit utiliser activement ses cinq sens en s’appuyant notamment sur la relation avec un adulte qui répond à ses sollicitations. Il a besoin de se percevoir comme pouvant transformer le monde, ce qu’il fait par exemple quand il manipule des objets autour de lui. L’exposition passive à des images diffusées sur un écran ne favorise pas ce type d’interactions et peut au contraire freiner le développement du tout-petit enfant.

On croit souvent que la télévision a un effet apaisant sur les tout-petits. Or, le regard du bébé est capté par le flux d’images et de sons provenant de l’écran et qu’il ne comprend pas, ce qui peut donner l’illusion d’un effet calmant. Pourtant, ce calme sera souvent suivi d’une agitation mal comprise qui amènera les parents à augmenter l’exposition à la télévision, risquant ainsi d’accentuer son effet néfaste sur l’enfant.

Source : CSA