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samedi, 31 mars 2018

Edouard Philippe confie la lutte contre les propos politiquement incorrects sur le net à Laetitia Avia, qui avait brutalement mordu un taxi

Publié par Guy Jovelin le 31 mars 2018

Auteur : admin4

Le Premier ministre de (l’Anti)France Édouard Philippe a un grand projet pour le quinquennat en cours, la « lutte contre le racisme et l’antisémitisme », autrement dit contre les Français qui expriment leur refus de l’invasion migratoire ou de la dictature du CRIF. Voilà apparemment le principal problème de la France, selon les politiciens… Edouard Philippe a donc mandaté le député macroniste africain Laetitia Avia, qui s’était illustré récemment en mordant violemment à l’épaule un chauffeur de taxi qui lui avait déplu…

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Ceux qui tiennent des propos politiquement incorrects sur internet

doivent-ils craindre physiquement Laetitia Avia ?!

Avec Avia sont mandatés Karim Amellal et Gil Taïeb (vice-président du CRIF).

Le racisme anti-blanc n’existe donc toujours pas officiellement, apparemment, alors qu’il est de loin le plus pratiqué en… France.

Laetitia Avia produit sur twitter la lettre de mission :

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Laetitia Avia
 
@LaetitiaAvia

J'ai reçu d'@EPhilippePM ma lettre de mission sur le renforcement de la lutte contre le racisme et l’antisémitisme sur internet. Objectifs : construire un projet que la  portera en , rendre + effectives les sanctions existantes, s’inspirer des bonnes pratiques étrangères.

jeudi, 22 mars 2018

Le « grand remplacement » fait son cinéma

Publié par Guy Jovelin le 22 mars 2018 

 

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Quel est le point commun entre Lancelot, Jules césar, la reine Marguerite d’Anjou et Jeanne d’Arc ? Certainement - entre autres - le fait que tous font partie de l’Histoire ou de la mythologie européenne. Aujourd’hui, un nouveau point commun leur a été trouvé: ils sont tous d’origine extra-européenne !

 

Si l'élection par le comité Jeanne d'Arc de Mathilde Edey Gamassou pour représenter la pucelle d'Orléans lors des prochaines fêtes johanniques a beaucoup fait parler, le fait que les autres personnalités historiques susmentionnées aient également été interprétées par des acteurs d’origine africaine est plutôt passé inaperçu chez nous.

 

C’est au Royaume-Uni que l’adaptation cinématographique de l’Histoire européenne a en premier été revisitée de façon multiculturelle. Dans la série télévisée « The Hollow Crown », une actrice nigérienne incarne la reine Marguerite d’Anjou. Il est peu probable qu’une souveraine anglaise ayant régné entre 1445 et1461 aie eu la peau noire, surtout lorsqu’il s’agit de la fille de René Ier d'Anjou, roi de Naples, duc d'Anjou, de Bar, de Lorraine et comte de Provence, et d'Isabelle Ire, duchesse de Lorraine.

 

Bien plus connu que Marguerite d’Anjou, Lancelot fait partie des mythiques chevaliers de la table ronde du roi Arthur. Un mythe fondateur pour le Royaume-Uni. Il est surtout connu par le roman courtois de Chrétien de Troyes, Lancelot le Chevalier de la charrette, et La légende du roi Arthur . Il est l'un des chevaliers de la Table Ronde, faisant ainsi partie du cycle du Graal. La légende de Lancelot a inspiré nombre de romans et de films jusqu’à aujourd’hui. En 2016, la série américaine « Once upon a time » produite par la chaine ABC a engagé un acteur noir pour le rôle du chevalier à la charrette…

 

Jules césar n’a pas non plus échappé aux retouches colorées des metteurs en scène. Il fut lui aussi interprété par un acteur noir lors d’une représentation au « Nashville Shakespeare Festival »en 2012.

 

L’interprétation de Jeanne d’arc par une jeune métisse de 17 ans n’est donc pas un cas sans précédent dans l’interprétation artistique d’événements historiques européens.

 

Mais pourquoi engager des acteurs noirs pour incarner des rôles de personnalités manifestement blanches ? S’agit-il d’une simple provocation ?

 

Le fait de donner actuellement des rôles de personnalités historiques européennes à des personnes de couleur dépasse en fait la simple provocation. N'est-ce pas aussi une attitude particulièrement perfide qui revient à imposer un discours raciste anti-blanc par le biais de la culture? Bien que nous soyons habitués à une attitude politiquement correcte outrancière de la part du milieu culturel, nous pouvons nous demander si l’interprétation de personnages blancs par des noirs (en contradiction totale avec l’Histoire) n’est pas simplement une autre illustration du grand remplacement des populations.

 

Albert Leimgruber, 22.3.2018

 

Source : lesobservateurs

dimanche, 26 novembre 2017

DANIÈLE OBONO LÉGITIME LE RACISME ANTI-BLANC : PAS DE JUGE POUR DEMANDER LA LEVÉE DE SON IMMUNITÉ ?

Publié par Guy Jovelin le 26 novembre 2017

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 Vincent Vauclin (Boulevard Voltaire)

Danièle Obono est, décidément, notre meilleur atout. La députée franco-gabonaise, d’obédience mélenchoniste, s’est une nouvelle fois distinguée par une sortie polémique en défendant la « non-mixité raciale » de réunions organisées par le syndicat SUD Éducation 93. Des réunions tout simplement interdites aux Blancs, dans la France de 2017.

Ne pouvant s’empêcher de saisir la moindre occasion pour déblatérer sur la France et les Français de souche, animée d’une haine revancharde, insatiable et compulsive, elle nous offre régulièrement des outrances telles que même des cégétistes patentés ou des journalistes bobos ne peuvent que s’en indigner et s’interroger sur les dérives de cette « lutte contre les discriminations » qui oscille aujourd’hui entre le grotesque totalitaire et l’hystérie collective.

On se souviendra, ainsi, de cette polémique née après son passage sur RMC où cette « élue de la nation » semblait incapable de prononcer ces quelques mots : « Vive la France ». Ou encore de ce soutien ambigu au groupe ZEP et à son morceau « Nique la France » où l’on fustigeait le « paternalisme et le colonialisme » de notre pays. Ou encore de sa « fraternisation » avec la non moins sulfureuse Houria Bouteldja, présidente monomaniaque du Parti des indigènes de la République, et qui s’était notamment distinguée en qualifiant les Français de « souchiens ». De quoi suffire à désorienter jusque dans son propre camp.

Mais si ses acolytes d’extrême gauche feignent l’indignation, c’est davantage sur la forme que sur le fond de ses propos. Car Danièle Obono n’est pas en rupture avec l’idéologie dominante : elle la précède, elle en annonce les prochains développements et ne fait qu’en pousser la mécanique jusqu’à ses conclusions logiques.

Et c’est bien là le problème : le timing. Danièle Obono entend sauter les étapes.
 
À rebours du processus lent et souterrain de Grand Remplacement – dont il s’agit, pour nos élites, de dissimuler le plus longtemps possible la réalité, l’ampleur et les implications -, l’urticante Obono pèche par son impatience et accélère malgré elle le lent réveil du peuple français, tant ses sorties médiatiques heurtent une opinion publique pourtant sévèrement anesthésiée.

Mais il y a mieux. En revendiquant ouvertement un droit à la discrimination raciale, Danièle Obono crée un précédent, une jurisprudence à double tranchant qui enterre de facto la fiction du vivre ensemble et légitime, par ricochet, les futures revendications identitaires et communautaires de la majorité silencieuse. Ces Français de plus en plus ulcérés par l’arrogance prosélyte immigrée et qui finiront bien par comprendre qu’il nous faut tuer le multiculturalisme avant qu’il ne nous tue.

On peut, enfin, s’interroger sur l’inertie de la Justice républicaine – pourtant prompte à condamner sans relâche les « incitations à la haine raciale » et à demander des levées d’immunité parlementaire d’élus mal-pensants – qui semble soudainement bien laxiste, tardant à réagir face à ce qu’il faut bien appeler une véritable ségrégation raciale.

 

Source : synthesenationale

mardi, 12 septembre 2017

Banalisation du racisme anti-blanc dans le discours médiatique

Publié par Guy Jovelin le 12 septembre 2017

Publié le 11 septembre 2017 Auteur par Pierrot

discours médiatique,racisme anti-blanc,saint-martin

Dans ce reportage du groupe Radio France après le passage du cyclone Irma, les journalistes s’en prennent aux touristes blancs de Saint-Martin parce qu’ils ont pu partir de l’île. L’ethno-masochisme et maintenant le racisme anti-blanc se sont installés sans résistance dans le discours médiatique.

 

Source : contre-info

dimanche, 06 août 2017

Racisme anti-blanc – Le CSA prône le grand remplacement télévisuel

Publié par Guy Jovelin le 06 août 2017

 

Cette semaine, le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA) a présenté un rapport au Parlement destiné à encourager les chaînes de télévision à se fixer des objectifs « plus ambitieux » et « chiffrés » pour améliorer la représentation de la diversité à la télévision.

Le sujet racial semble obséder le CSA. Dans son baromètre annuel de la diversité à la télévision, publié en début d’année, le CSA estimait que l’expression de la diversité de la société française avait trop faiblement progressé l’an dernier. Selon ce baromètre, le taux de personnes « perçues comme non blanches » dans les programmes diffusés à la télévision avait légèrement augmenté (à 16% contre 14% en 2014).

Dans son rapport remis au Parlement, le CSA revient sur ce sujet racial et « relève que les héros et personnages principaux sont peu ou pas issus des minorités visibles ». Le CSA appelle donc les chaînes à veiller à la qualité des rôles attribués à des personnes « perçues comme non blanches ».

Ces dernières années, le politiquement correct martelait que les races n’existent pas. Mais le CSA semble bien faire de la question raciale l’un de ses thèmes d’études préférés. Avec une curieuse dose d’ethno-masochisme (combien de Noirs à la tête du CSA ?), le conseil supérieur de l’audiovisuel classe le monde entre blancs et non-blancs. Mais selon le CSA, il y a trop de blancs à la télé. Sa recommandation vise donc à instaurer la discrimination positive, c’est-à-dire l’engagement prioritaire de non-blancs qui n’est rien d’autre qu’une forme de racisme anti-blanc.

Vous avez dit grand remplacement ?

 

Source : medias-presse.info