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jeudi, 23 novembre 2017

Après la Pologne et l’Italie, l’Irlande lance à son tour le Rosaire aux frontières

Publié par Guy Jovelin le 23 novembre 2017

Ecrit parPierre-Alain Depauw

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Après la Pologne et l’Italie qui ont vu des millions de catholiques se rassembler aux frontières pour réciter le rosaire, c’est au tour de l’Irlande d’ériger un rempart vivant de chapelets, le 26 novembre 2017.

Ce dimanche 26 novembre 2017, à 14h30, les catholiques d’Irlande sont invités à se rassembler le long des côtes irlandaises afin de prier le rosaire. Les intentions de prières sont la préservation de la foi catholique du pays et de la vie de l’enfant à naître. Elles font référence à la fois au contexte migratoire et à certains projets politiques de légaliser l’avortement en 2018.

Attachés à la foi de leurs ancêtres, les Irlandais ont organisé en quelques jours plus d’une centaine de points de rassemblement de cette manifestation religieuse.

Le District d’Irlande de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X s’est joint à cette initiative et organise quatre points de rassemblement dans le pays.

 

Source : medias-presse.info

lundi, 24 novembre 2014

Djihadistes : qu’on les laisse partir en Syrie ! (par Yann Vallerie)

 

Publié par Guy Jovelin

Mais enfin, qui sont les responsables politiques français pour juger de ce qu’est le bien, ce qu’est le mal ?

Qui sont-ils, ces dirigeants européens, pour décider qu’aller combattre en Syrie est désormais quasiment un crime contre l’humanité ?

Sont-ce les mêmes politiciens qui votaient il y a quelques mois pour armer massivement les « résistants »barbus à Bachar El-Assad ?

Sont-ce ces mêmes gouvernants qui vantaient hier le courage de ceux qui aujourd’hui égorgent pour effrayer la ménagère occidentale ?

Non, il n y a pas de bien et de mal, comme voudraient l’imposer au monde les fanatiques religieux américains dont Georges Bush était le pantin.
Non , il n y a pas deux mondes, l’un qui serait civilisé, l’autre qui serait celui de la barbarie organisée.
Il y a simplement dans le monde des civilisations différentes, des ethnies différentes, des religions différentes, des cultures différentes. Le « vivre-ensemble » n’existe pas, il va bien falloir l’assimiler un jour ou l’autre.
Et ce n’est pas grave !

L’Europe – pour mieux être contrôlée par les Etats-Unis – a servi depuis 1945 de laboratoire de Frankenstein, en devenant un lieu unique au monde où toute la planète devait venir se mélanger et vivre, sans égard aucun pour les autochtones.
Et aujourd’hui, on s’étonne que les enfants de cette expérience unique dans l’histoire de l’humanité – le mélange forcé de populations – soient hors de contrôle ?

On s’étonne que ceux qui ont des siècles d’islam gravés dans leurs gènes veuillent combattre les armes à la main pour défendre leur religion, leur civilisation (et non pas celle qu’on a voulu leur inculquer et leur imposer) ?

Et on s’étonne que dans un continent où on a appris depuis plusieurs décennies aux jeunes européens de souche à se haïr et à détester leur propre histoire, certains aillent chercher dans d’autres coins du monde l’accomplissement d’une virilité et d’un héroïsme qu’on tourne désormais au ridicule sur la terre d’Europe ?

On est horrifié que des vidéos circulent sur Internet où l’on voit des hommes en égorger d’autres ? Mais n’est-ce pas avant tout une guerre de l’information et de l’image ? Les mêmes qui s’en offusquent supporteraient-ils seulement le spectacle des rues ensanglantées d’une ville d’Irak ou d’un village afghan après une frappe préventive américaine ? Les soldats américains qui guerroient partout dans le monde sont-ils plus respectables que les combattants de l’Etat Islamique ? Question de point de vue.

On ne devrait pas empêcher quiconque de partir en Syrie se battre pour ses idées ou sa foi.

Par contre, le devoir d’une Europe forte et puissante serait de les empêcher de remettre un seul pied sur le sol européen.

Parce que ce ne sont tout simplement pas nos valeurs.
Parce que ça n’est pas notre civilisation.
Parce que ça n’est pas notre religion.

Parce que sinon, demain, le sang coulera en Europe et non plus en Syrie !

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