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lundi, 11 février 2019

Les djihadistes, auteurs de tueries abominables, ont subitement peur de mourir.

Publié par Guy Jovelin le 11 février 2019

 
 

lundi, 04 février 2019

Retour des djihadistes, c'est NON ! Sauf… si c'est pour leur mettre 12 balles dans la peau !

Publié par Guy Jovelin le 04 février 2019

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Retour des djihadistes, c'est NON ! Sauf…    
si c'est pour leur mettre 12 balles dans la peau !
 
Faut-il procéder au retour des djihadistes emprisonnés par les troupes kurdes dès lors que nos services ne sont pas parvenus à les tuer lors des combats ou par attaques ciblées et que le retrait américain, risque de créer les conditions d'une nouvelle déstabilisation ?
L'intense polémique en cours ces derniers jours, alimentée aussi par des calculs politiques, est biaisée : la véritable question ne doit pas être le RETOUR des djihadistes, logique en droit (encore que, la plupart étant binationaux, on ne voit pas pourquoi la France devrait procéder à leur transfert davantage que l'Algérie, le Maroc ou la Tunisie), mais aberrante d'un point de vue national, pour y être jugés et incarcérés surtout dans l’état actuel de notre hiérarchie des peines ; la vraie question est l'immense et légitime défiance d'une large majorité de la population contre une justice trop clémente au vu des chefs d'accusation et inadaptée à un contexte de guerre au moment où plusieurs dizaines de criminels islamiques vont être libérés des geôles de la République que, grâce à elle, à ses juges et à ses lois, ils n'auront connues que quelques années (sept ans dans le meilleur des cas).
Dans l'État national que nous voulons, la question du retour en France des djihadistes ne se poserait pas. Celle de leur départ non plus qui n'est, au demeurant, pas notre problème.
Dès lors qu'un ressortissant français part faire le Djihad, il rompt dans le même temps avec la France. Pour ceux-là, bi nationaux ou pas, avec le Parti de la France la déchéance de la nationalité serait automatique et nos services spéciaux seraient largement mis à contribution pour élimination.
Quand aux rescapés de nos opérations faits prisonniers par nos amis peshmergas, ils pourraient éventuellement être transférés sur le territoire français, puis jugés rapidement pour actes de guerre contre la France et la civilisation par une Cour de sûreté de l'État ou un Tribunal militaire avec toutes les chances, la peine de mort ayant été rétablie, de finir, comme il se doit, avec douze balles dans la peau devant un peloton d'exécution.

Jean-François Touzé, Délégué national du Parti de la France aux études et argumentaires

jeudi, 31 janvier 2019

Gilets jaunes, non ! Djihadistes oui ?

Publié par Guy Jovelin le 31 janvier 2019

Rédigé par notre équipe le 30 janvier 2019.

Il est de notoriété publique que ce Gouvernement travaille contre les intérêts des Français, mais il y a des limites inadmissibles qu’il ose franchir sans la moindre vergogne. Ainsi, les gilets jaunes sont criminalisés, car ils ont le tort d’exiger d’être considérés avec dignité. Les djihadistes partis massacrer en Irak et en Syrie, font, eux, l’objet d’une attention particulière et assez bienveillante de la part du pouvoir. Plus d’une centaine d’entre eux seraient amenés à être « rapatriés » au nom du prochain départ des troupes américaines au Levant… Des djihadistes aguerris et plus que jamais haineux bientôt dans nos rues quoi qu’en dise Christophe Castaner.

Invité sur BFM TV hier pour stipendier les gilets jaunes et leur rêve d’insurrection populaire, Christophe Castaner a frappé un grand coup là où ne l’attendait plus. La lutte contre le terrorisme reste une priorité du Gouvernement et interrogé sur un sujet précis, le ministre de l’Intérieur a enfin évoquer la prison pour ceux qui essaient de semer la mort dans les rues de France. Enfin une bonne idée chez Castaner ! Pas tout à fait…

Quand Castaner espère rapatrier les djihadistes français

La rumeur était donc vraie. Pas de fake news malheureusement pour le pouvoir et surtout pour les Français. Environ 130 djihadistes arrêtés par les forces kurdes s’apprêtent à revenir en France. Selon les explications d’un Castaner dont les connaissances en géopolitique se rapprochent dangereusement de son incompétence en matière de maintien de l’ordre, ce retour mortel (pour de nombreux innocents) est dû au méchant Trump. « Les Américains se désengagent de Syrie. Il y a actuellement des gens qui sont en prison et qui sont tenus parce que les Américains sont là et qui vont être libérés. Ils vont vouloir revenir en France ».

En fait, Castaner parle des Kurdes qui détiennent des terroristes dont plus d’une centaine sont issus de nos belles villes salafisées. Des Kurdes qui ont fait « du bon boulot » pour reprendre une expression chère à Laurent Fabius, mais qui n’ont pas les moyens matériels de garder près de 1 000 combattants djihadistes capturés. Ce sont donc les Américains qui font office de geôliers et avec leur départ, le pouvoir macronien pense que les Kurdes qui ont perdu des milliers de civils et combattants vont les laisser s’échapper dans la nature… Alors pour éviter cela, le grand Castaner prépare le retour des djihadistes français.

« Des Français avant d’être des djihadistes » clame le ministre. « Certains sont déjà revenus, nous les mettons en prison, nous les connaissons. Ceux qui reviendront, s’ils devaient revenir, seront mis en prison » assure Castaner. Comme si tous les djihadistes qui pullulent en France étaient en prison… Et ceux qui le sont se donnent aux joies du prosélytisme. Une situation excellente qui va devenir idéale avec ces 130 djihadistes rompus aux massacres.

Les semaines portes ouvertes en France se profilent même si le ministère des Affaires étrangères assure « examiner toutes les options ». Quelles options ? Celle des assassinats ciblés ? L’évocation d’une pratique dont le gros Hollande s’est vanté a mis en émoi tout un plateau de télévision hier. Il faut rester dans la bien-pensance. Les djihadistes français en France et dans peu de temps en liberté. Comme si massacrer des villages entiers en Syrie et en Irak ne valait que 20 ans de prison.

Les Kurdes sont au niveau pour se battre contre les terroristes qui veulent aussi leur mort, mais ils n’ont pas le niveau pour les juger… Ce sera donc au laxisme français de s’exprimer avant de prochains attentats dont les auteurs n’auront rien d’inconnu pour les autorités. A moins que les gilets jaunes ne virent ces irresponsables qui sèment le chaos et la mort en prétendant que c’est ça la démocratie.

 

Source : 24heuresactu

mercredi, 30 janvier 2019

David Thomson : « Il est impossible de s’assurer de la sincérité du repentir d’un djihadiste »

Publié par Guy Jovelin le 30 janvier 2019

Auteur : Pierrot
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A l’heure ou le gouvernement de Macron envisage de faire rentrer près de 130 jihadistes « français » emprisonnés en Syrie, rappelons les paroles de David Thomson, un des premiers lanceurs d’alerte en France sur la dangerosité de ces fanatiques de l’islam.

Le Figaro : Le débat sur le sort à réserver aux djihadistes arrêtés en zone irako-syrienne fait rage en France. Trois avocats, Marie Dosé, William Bourdon et Martin Pradel, dénoncent par des plaintes le refus de la France de rapatrier ses ressortissants. Le gouvernement estime que les prisonniers doivent être jugés sur place. Fait-il preuve de cynisme ou de réalisme ?

En rejoignant un groupe terroriste, les djihadistes savaient où ils mettaient les pieds. Dès septembre 2014, de Syrie, ils promettaient, je cite, de «mettre la France à genoux» en tuant des civils. Sur zone, tous les djihadistes ont porté les armes. Les avocats font leur travail. Il est à noter que William Bourdon faisait partie de mes contradicteurs les plus virulents en 2014, quand j’essayais d’expliquer que les djihadistes partis en Syrie avaient des intentions terroristes contre la France. Son erreur d’analyse s’explique sans doute par le fait qu’il a parmi ses clients un authentique ex-djihadiste, ancien de Guantanamo, que je connais et qui lutte aujourd’hui contre cette idéologie. Mais ces cas sont très rares dans ce milieu. Par ailleurs, je connais très bien Martin Pradel, puisque c’est mon avocat. Il est très attaché à la défense des libertés fondamentales en France mais aussi en Afrique, au Maghreb et en Turquie. Je comprends sa démarche en tant que juriste, mais, à mes yeux, un détenu terroriste n’est pas un détenu comme un autre. Il est impossible de s’assurer de la sincérité du repentir d’un djihadiste.

N’oublions pas les précédents, comme celui du Belge Oussama Atar, parti rejoindre le premier djihad irakien, condamné en 2005 à dix ans de prison en Irak. Se présentant comme repenti et malade, il avait bénéficié en Europe d’une vaste campagne de soutien conduisant à sa libération anticipée. Il a ensuite regagné le djihad en Syrie pour devenir un des coordinateurs des attentats du 13 novembre. Je pourrais citer des dizaines d’autres exemples comme celui-ci.

 

Source : contre-info

mardi, 25 septembre 2018

Attentats du 13 Novembre : une preuve accuse les frères Clain, les deux djihadistes toulousains

Publié par Guy Jovelin le 25 septembre 2018

Par  le 25/09/2018
 

Quelques jours après les attentats du 13 novembre, qui ont causé la mort de 130 personnes et fait plus de 400 blessés Paris, les frères Clain, membres historiques de la mouvance radicale toulousaine, ont clairement été identifiés comme ayant participé au message diffusé par Daech pour revendiquer cette tuerie.

Fabien Clain, 38 ans, a été identifié comme la voix du message sonore du groupe EI diffusé au lendemain des attaques perpétrées par trois commandos d’hommes revenus de Syrie. Son frère Jean-Michel, 40 ans, a lui été identifié dans les Anasheeds — chants religieux — de l’enregistrement.

Vétérans du jihad, les deux Toulousains sont dans le viseur des services antiterroristes depuis des années et se trouvent toujours probablement en Syrie, où ils seraient partis au cours de l’année 2014. Les juges d’instruction antiterroristes chargés de l’enquête sur les attentats du 13 novembre 2015 à Paris et Saint-Denis ont délivré fin juin des mandats d’arrêt à l’encontre des frères Clain. La délivrance de ces mandats d’arrêts internationaux signifie que les juges réclament leur audition, en vue de leur mise en examen dans le dossier.

Mais outre cet enregistrement de revendication, les enquêteurs ont pour la première fois découvert un lien matériel entre les deux djihadistes français et le commando qui a perpétré ces attentats.

« Il s’agit d’une carte d’identité belge falsifiée au nom de Elene J. et supportant la photo de l’épouse de Fabien Clain, Mylène Foucre. Celle-ci est issue du même lot de faux documents que ceux utilisés par les terroristes pour louer des planques et voyager incognito en Europe. Salah Abdeslam y a notamment eu recours », relatent ce matin nos confrères du Parisien. Pourquoi l’épouse de Fabien Clain a-t-elle bénéficié d’un document réservé au commando ? Les enquêteurs pensent que la djihadiste de 39 ans l’a utilisé pour gagner la Syrie en 2015.