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mardi, 01 juillet 2014

« Jean-Marie Le Pen : dérapage ou expression d’un homme libre ? »

Publié par Guy Jovelin

Décidément ; les médias et l’association SOS racisme sont aux aguets depuis le score du FN aux élections européennes.

L’objet de leur « cible » : la dernière déclaration du président d’honneur Jean-Marie Le Pen.

Celui-ci est accusé, stigmatisé, d’avoir une fois de plus dérapé.

A y regarder de près, il n’y a pas de quoi en faire un scandale, Jean-Marie Le Pen propose une « fournée » concernant les artistes suivants : Mrs. Guy Bedos, Yannick Noah et Patrick Bruel.

Il serait intéressant de se pencher sur les propos de ces personnes envers le Front National.

Ce serait édifiant, tant la haine, la stupidité, le dédain, caractérisent leurs discours.

L’anti-France est là et bien là !

Les biens pensants s’offusquent sur les propos du président d’honneur du FN, certains y voient même, comble de l’absurde, de la médiocrité et de la bêtise : un crime contre l’humanité.

Mais jusqu’où iront-ils !

En quoi parler de « fournée » constitue une parole antisémite ?

Tous les prétextes sont bons actuellement pour nuire à l’essor du nationalisme.

De fait Jean-Marie Le Pen est un véritable nationaliste, son entourage l’est beaucoup moins.

Certains vices présidents du FN et un député, assimilé RBM sont consternés par des propos qui n’ont rien de consternants !

Le président d’honneur a employé un langage viril et il faut dire que ce n’est plus dans l’air du temps au FN…

Actuellement, les politiques doivent être aseptisés, hypocrites, même dans leurs propos.

La parole n’est pas libre, celle-ci doit être lisse pour ne pas blesser certaines sensibilités.

A ménager notre peuple, en lui cachant l’état réel du pays, tant d’un point de vue économique que moral, nous nous faisons complices de ceux qui veulent détruire notre nation.

Nous nous élevons contre cet état de mollesse, d’hypocrisie.

Jean-Marie Le Pen a eu raison, le seul tort qu’il ait eu, est d’avoir laissé, s’installer une équipe autour de sa fille, oeuvrant à la dédiabolisation, trahissant les fondamentaux du FN, l’idéal national, populaire, social.

Alors dérapage ou pas, pour nous il ne s’agit que de l’expression d’un homme libre, qui ne plie pas, en cela il mérite le respect.

Franck Pech

Responsable communication PdF 31

 

 

jeudi, 12 juin 2014

Marine l’a tuer

Publié par Guy Jovelin

 

Le psychodrame lepéno-lepénien se poursuit, en lien avec la cabale organisée depuis samedi contre l’ancien président du Front national. Jean-Marie Le Pen a annoncé avoir rompu tout contact avec sa fille. La nouvelle direction du parti a commencé à l’évincer, annonçant par exemple que désormais ses vidéos ne seraient plus retransmises par le site du Front national, dont il demeure le président d’honneur.

C’est dans l’une de ses vidéos que Jean-Marie Le Pen avait banalement utilisé l’expression de « fournée » lors d’un moment consacré au « con de la semaine », laissant entendre que Yannick Noah, Madonna, Guy Bedos et Patrick Benguigui, dit Bruel, seraient la prochaine « fournée » de cons. Plusieurs organisations anti-françaises, l’UEJF et SOS Racisme notamment, ont immédiatement déclenché une campagne de haine contre lui. Les extrémistes ont reçu le soutien inattendu de plusieurs hauts dirigeants du FN et du RBM, dont Louis Aliot, Gilbert Collard et Marine Le Pen qui ont repris les accusations mensongères contre Jean-Marie Le Pen.Ce dernier, qui leur a pourtant offert le pouvoir, s’estime désormais « trahi ».« Ma fille m’a poignardé dans le dos. Si je les emmerde, ils n’ont qu’à me tuer. Je ne me suiciderai pas » a-t-il annoncé, précisant à Europe 1. « La courtoisie ne domine pas dans cette affaire. Sur le plan affectif, je suis très blessé [...] Je supporte assez bien les coups de face, mais pas ceux qui sont donnés dans le dos, lâchement. »

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