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samedi, 27 janvier 2018

Le cas Karim Zéribi : le juteux business du vivre-ensemble

Publié par Guy Jovelin le 27 janvier 2018

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Il s’appelle Karim Zéribi. C’est le champion marseillais du « vivre-ensemble ». Il a été chargé de mission auprès du ministre Chevènement. Il a été candidat socialiste ou écologiste dans les quartiers nord. On l’entendait souvent dans l’émission d’Olivier Truchot, « Les Grandes Gueules », sur radio Monte-Carlo. A présent, on l’entend souvent devant les tribunaux. Il est aujourd’hui gravement mis en cause pour abus de confiance et abus de biens sociaux.

C’est que le vivre-ensemble est un fabuleux business. Zéridi, qui est malin, a compris très jeune comment marchait le système. Il s’est inscrit au Parti socialiste, a créé toutes sortes d’associations, attrape-gogos et attrape-monnaie, comme « le parlement des banlieues », « Agir pour la citoyenneté » etc. Ces associations ont décroché des subventions de toutes natures. Pensez, c’était pour le vivre-ensemble ! Il faut « faciliter l’accès des habitants des quartiers populaires et des jeunes à la citoyenneté », proclamait Zéribi à qui voulait l’entendre. Et il fallait surtout faciliter cet accès à un habitant des quartiers populaires, un jeune : lui-même.

Car cet argent collecté, ces subventions énormes du conseil régional, du conseil général, de mairies, d’entreprises même, semblent avoir surtout été utilisées à son profit personnel. C’est ce que, pudiquement, les contrôleurs ont appelé la création d’un « clientélisme politique ». Zéribi se comportait comme un politicien d’Afrique noire, façon République Démocratique du Congo de Kabila, par exemple. Un billet par-ci, un billet par-là, la famille rémunérée pour coller les affiches du parti etc.

Il faut dire qu’en jouant la carte du PS marseillais, ainsi que celle des écologistes, il était tombé dans un sacré panier de crabes, et ne bénéficiait pas de l’exemple de ses ainés pour ce qui est de l’intégrité.

Il était le « vivre-ensemble » fait homme !

L’acte d’accusation est rempli d’exemples d’utilisation des fonds pour permettre le « vivre-ensemble » sur un grand train de vie, pour Karim Zéribi et son clan. Néanmoins, quand il allait frapper à la porte du conseil général, il bénéficiait toujours d’une oreille attentive et complaisante de la part de l’ex-caïd socialiste local, Jean-Noël Guérini qui, indirectement, tirait parti de ce « vassal » stipendié. Un exemple parmi tant d’autres : le 13 novembre 2007, il vient demander 50 000 euros pour son association du vivre-ensemble. Le 30 novembre, il repart avec un chèque signé de Guérini. Même les fonctionnaires du conseil général, qui en avaient pourtant vu d’autres, n’en revenaient pas ! Vous pourriez, vous, frapper à la porte d’un conseil général, au nom de n’importe quelle association douteuse ou même réellement caritative, et repartir avec un tel chèque ? Zéribi y arrivait sans problème. Il était « l’Arabe de service » du PS, le « vivre-ensemble » sur pattes, le « vivre-ensemble » fait homme.

Après une dizaine d’années de gabegies, il a été « fait aux pattes », précisément. Il va vraisemblablement passer devant le tribunal correctionnel, après enquête du Parquet de Marseille. Cinq de ses complices et commensaux devraient être de la charrette des condamnables.

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Extrait de: Source et auteur

dimanche, 09 octobre 2016

Association de malfaisants

Publié par Guy Jovelin le 09 octobre 2016

 

zone anti-raciste

Toutes les associations ne sont pas malfaisantes, heureusement ! Ce n’est pas leur but et beaucoup, dans de nombreux domaines, sont utiles à la société par le lien social qu’elles créent auprès de populations souvent démunies face aux aléas de la vie. Mais quelques-unes, et pas des moindres, confondent allègrement humanitaire et militantisme politique : le bien commun n’est manifestement pas leur principal souci ! Et surtout, elles vivent grassement en recevant des pouvoirs publics, donc, des contribuables, des sommes considérables pour l’entretien de leur fonctionnement. Est-il normal que des associations caritatives, sportives ou autres, subventionnées par nos impôts, utilisent leurs vitrines pour faire de la propagande politique qui, la plupart du temps, va à l’encontre du but initial pour lequel elles ont été créées ?

Le manque de discernement dans l’action de certaines associations laisse pantois. C’est en toute illégalité que les unes aident des clandestins à s’installer en France et que d’autres, au nom du fameux « pas d’amalgame », ferment les yeux sur la déviance de leurs protégés. Comme l’inénarrable « SOS Racisme », qui refuse de prendre en compte le racisme anti-blanc et antifrançais et qui n’attente jamais de procès aux propos de haines proférés par des rappeurs en mal de reconnaissance. Mais qui envoie devant les tribunaux tous ceux qui osent aller à l’encontre de son credo gauchiste, car son président, proche du pouvoir socialiste, ne sait toujours pas faire la distinction entre liberté d’expression, violence des textes et insultes. Son combat sectaire et partisan pour le droit à la différence et pour l’exaltation des origines, contre l’assimilation et contre toutes les idées patriotes, le disqualifie dans la vraie lutte contre le racisme. Cela n’empêche pas qu’en 2009, selon les comptes publiés au Journal officiel, « SOS Racisme » a touché 579 000 euros d’argent public et en 2011, à l’occasion du 14 juillet, pour un concert, la mairie de Paris, en plus des 40 000 euros qu’elle lui donne chaque année, lui a octroyé une subvention exceptionnelle de 160 000 euros, plus 30 000 pour le village associatif et 40 000 pour le fonctionnement du concert… Pour l’année 2013, ses subventions d’État se sont élevées à 331 992 euros sans compter les fonds alloués aux échelons locaux. Cette association reçoit également des dons privés de Pierre Berger (100 000 euros) et de la Fondation Ford.

L’association « France Terre d’Asile », qui prend en charge les demandeurs d’asile et qui ne veut pas faire de distinction avec les clandestins, a obtenu que tous, en attendant la régularisation de leurs papiers, reçoivent une indemnité de 11 € par jour. L’association déclare un budget de 54 millions d’euros, dont 70 % sont pris en charge par des subventions publiques (26,16 millions d’euros, en 2011). Son président, Pierre Henry a été conseiller municipal sous l’étiquette PS, à Provins, de 1983 à 1989. En mai 2004, il « emprunta » dans la caisse de son association, 271 000 euros pour l’achat d’un appartement privé, qu’il a, certes, remboursé peu après. Une enquête préliminaire a tout de même été diligentée par le parquet de Paris, qui a classé l’affaire sans suite… Cela ne l’a pas empêché d’être nommé au grade de chevalier de la Légion d’honneur en 2013 ! Il est intéressant de savoir que cette association a le soutien de l’État, qui paye, chaque nuit, rien qu’à Paris, l’hôtel à 30 000 clandestins. En 2013, la dépense s’est élevée à 2 milliards d’euros pour l’accueil et l’hébergement de 66 000 clandestins demandeurs d’asile. Ce montant, selon la Cour des comptes, en 2015, équivaut à peu près à la somme engagée pour les déboutés. Dont 96 % ne repartiront jamais…

Il y a en France 1 300 000 associations. Les 200 associations les plus subventionnées, qui représentent 1 % du total, touchent plus de 700 millions d’euros, quand les 99 % restants se partagent 500 millions d’euros… Sont-elles, toutes, vraiment utiles au bon fonctionnement de notre célèbre « vivre ensemble » ? Combien méritent de recevoir des subsides de la part des contribuables ? Dans un pays en dépense de guerre contre l’islamisme, qui compte 5 millions de chômeurs et de précaires, plus 8 millions de pauvres, il serait peut-être temps d’arrêter la gabegie.

 

Source : ndf

mardi, 08 juillet 2014

SNCM : la gabegie incarnée

Publié par Guy Jovelin

SNCM : la gabegie incarnée

En grève longue durée, la société de transport maritime ne cesse de s'enferrer, sous le regard lâche des gouvernements successifs. Lire la suite