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dimanche, 09 octobre 2016

Association de malfaisants

Publié par Guy Jovelin le 09 octobre 2016

 

zone anti-raciste

Toutes les associations ne sont pas malfaisantes, heureusement ! Ce n’est pas leur but et beaucoup, dans de nombreux domaines, sont utiles à la société par le lien social qu’elles créent auprès de populations souvent démunies face aux aléas de la vie. Mais quelques-unes, et pas des moindres, confondent allègrement humanitaire et militantisme politique : le bien commun n’est manifestement pas leur principal souci ! Et surtout, elles vivent grassement en recevant des pouvoirs publics, donc, des contribuables, des sommes considérables pour l’entretien de leur fonctionnement. Est-il normal que des associations caritatives, sportives ou autres, subventionnées par nos impôts, utilisent leurs vitrines pour faire de la propagande politique qui, la plupart du temps, va à l’encontre du but initial pour lequel elles ont été créées ?

Le manque de discernement dans l’action de certaines associations laisse pantois. C’est en toute illégalité que les unes aident des clandestins à s’installer en France et que d’autres, au nom du fameux « pas d’amalgame », ferment les yeux sur la déviance de leurs protégés. Comme l’inénarrable « SOS Racisme », qui refuse de prendre en compte le racisme anti-blanc et antifrançais et qui n’attente jamais de procès aux propos de haines proférés par des rappeurs en mal de reconnaissance. Mais qui envoie devant les tribunaux tous ceux qui osent aller à l’encontre de son credo gauchiste, car son président, proche du pouvoir socialiste, ne sait toujours pas faire la distinction entre liberté d’expression, violence des textes et insultes. Son combat sectaire et partisan pour le droit à la différence et pour l’exaltation des origines, contre l’assimilation et contre toutes les idées patriotes, le disqualifie dans la vraie lutte contre le racisme. Cela n’empêche pas qu’en 2009, selon les comptes publiés au Journal officiel, « SOS Racisme » a touché 579 000 euros d’argent public et en 2011, à l’occasion du 14 juillet, pour un concert, la mairie de Paris, en plus des 40 000 euros qu’elle lui donne chaque année, lui a octroyé une subvention exceptionnelle de 160 000 euros, plus 30 000 pour le village associatif et 40 000 pour le fonctionnement du concert… Pour l’année 2013, ses subventions d’État se sont élevées à 331 992 euros sans compter les fonds alloués aux échelons locaux. Cette association reçoit également des dons privés de Pierre Berger (100 000 euros) et de la Fondation Ford.

L’association « France Terre d’Asile », qui prend en charge les demandeurs d’asile et qui ne veut pas faire de distinction avec les clandestins, a obtenu que tous, en attendant la régularisation de leurs papiers, reçoivent une indemnité de 11 € par jour. L’association déclare un budget de 54 millions d’euros, dont 70 % sont pris en charge par des subventions publiques (26,16 millions d’euros, en 2011). Son président, Pierre Henry a été conseiller municipal sous l’étiquette PS, à Provins, de 1983 à 1989. En mai 2004, il « emprunta » dans la caisse de son association, 271 000 euros pour l’achat d’un appartement privé, qu’il a, certes, remboursé peu après. Une enquête préliminaire a tout de même été diligentée par le parquet de Paris, qui a classé l’affaire sans suite… Cela ne l’a pas empêché d’être nommé au grade de chevalier de la Légion d’honneur en 2013 ! Il est intéressant de savoir que cette association a le soutien de l’État, qui paye, chaque nuit, rien qu’à Paris, l’hôtel à 30 000 clandestins. En 2013, la dépense s’est élevée à 2 milliards d’euros pour l’accueil et l’hébergement de 66 000 clandestins demandeurs d’asile. Ce montant, selon la Cour des comptes, en 2015, équivaut à peu près à la somme engagée pour les déboutés. Dont 96 % ne repartiront jamais…

Il y a en France 1 300 000 associations. Les 200 associations les plus subventionnées, qui représentent 1 % du total, touchent plus de 700 millions d’euros, quand les 99 % restants se partagent 500 millions d’euros… Sont-elles, toutes, vraiment utiles au bon fonctionnement de notre célèbre « vivre ensemble » ? Combien méritent de recevoir des subsides de la part des contribuables ? Dans un pays en dépense de guerre contre l’islamisme, qui compte 5 millions de chômeurs et de précaires, plus 8 millions de pauvres, il serait peut-être temps d’arrêter la gabegie.

 

Source : ndf

mardi, 17 mai 2016

SOS RACISME: TOUCHE PAS A MES AIDES! par Fabrice Durtal

Publié par Guy Jovelin le 17 mai 2016  

Par Fabrice Durtal.

sos racisme credits sos racisme concert (licence creative commons)

Une bérézina : à peine une vingtaine de personnes s’étaient réunies, en novembre dernier, sur le campus de Poitiers pour assister à l’assemblée générale constitutive d’un comité local de SOS Racisme. Il est loin le temps où les « potes » défilaient par milliers dans les rues de Paris pour créer un «cordon sanitaire» autour du FN. Aujourd’hui, à Poitiers comme ailleurs, l’association ne fait plus recette.

SOS Racisme ne fait plus recette mais a besoin d’argent et même de beaucoup d’argent si on se réfère aux demandes de subventions que l’association a adressées il y a un an à l’ACSÉ (Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances, sur cette agence lire notre article « L’ACSÉ, un guichet à subventions »).

CC

Dans ce document, que Les Enquêtes du contribuable est parvenue à se procurer en exclusivité, l’association qui table sur un budget prévisionnel de près de 1,4 million d’euros en 2013, ouvre grande sa sébile. Après avoir encaissé 177 500 euros en 2011, puis 235 800 euros en 2012, elle réclame à nouveau, le 19 mars 2013, 160 000 euros au titre des aides qu’elle dispense aux victimes de racisme ou de discrimination ; 100 000 euros pour ses actions d’éducation populaire au nom du «vivre ensemble» et 75 000 euros pour une «mobilisation citoyenne par l’action militante».

sos racisme rené le honzec

Selon une note interne, il semble que Naïma Charaï, présidente de l’ACSÉ et conseillère régionale PS d’Aquitaine ait décidé de bien beurrer la tartine des potes en leur accordant immédiatement 150 000 euros d’aides. L’histoire ne dit pas si d’autres rallonges ont été accordées après le 19 mars 2013, l’association de Dominique Sopo quémandant aussi des subsides à travers un satellite comme la Fédération nationale des maisons des potes (FNDMP).

L’ACSÉ n’est pas la seule instance gratifiant cette association qui est progressivement passée de la défense des immigrés à la stigmatisation des autochtones. Si on se fie au budget prévisionnel que l’association a présenté à l’agence lors de sa demande de subventions, elle est aussi perfusée par le ministère de l’Éducation nationale, le ministère de la Jeunesse et des Sports, la Ville de Paris, le Conseil régional d’Ile-de-France, sans qu’il soit possible d’évaluer ce qu’elle perçoit aux échelons locaux puisque le total de ces aides n’est pas comptabilisé.

À côté de ces monceaux d’argent public, SOS Racisme a estimé que les cotisations, dons et legs représenteraient une somme nulle lors de l’élaboration du budget prévisionnel 2013, ce qui en dit long sur son assise populaire.

 

Source : http://www.temoignagefiscal.com/

vendredi, 06 juin 2014

Le Progrès « puni » pour avoir osé rapprocher nationalités et criminalité (par Marie Delarue)

Publié par Guy Jovelin

 

En France, la criminalité, c’est comme la ratatouille, mais pas question de se renseigner sur les légumes qui la composent. Je m’explique. Au marché, on achète des tomates, des poivrons, des aubergines, des courgettes, de l’ail, des oignons… et tout ça, dans la gamelle, fait une belle ratatouille. Eh bien, chez nous, on a juste le droit de soulever le couvercle et de regarder ce qui mitonne.

Le 22 avril dernier, le quotidien Le Progrès a voulu transgresser la règle. S’appuyant sur le « rapport SIRASCO » de la police judiciaire, il a publié un dossier consacré aux crimes et délits commis dans le département, titrant en une : « Délinquance, criminalité organisée, qui fait quoi dans le Rhône ? » Et d’affiner le sujet en offrant au lecteur un classement en fonction des « nationalités impliquées » par type de délit. Bref, un œil sur ce qui entre dans la ratatouille de la criminalité.

Horreur !

Ce genre de révélation est en soi, on l’a très vite compris, un délit bien supérieur à tous ceux dénoncés dans le papier. D’autant que, bêtement, il faut le reconnaître, les infographistes maison ont opéré un étrange classement, rangeant dans la colonne nationalités des « Roms », des « toxicomanes », des gens « des cités de Marseille », des « Africaines », chacun avec sa spécialité : cambriolages, vols de ferraille, prostitution, etc.

Aussitôt, tollé des associations, dénonciation en incompétence de la part des confrères, railleries de Canal+, remontrances du gouvernement et des ligues de vertu, kilomètres d’insultes sur les réseaux sociaux, plaintes et représailles.

La direction a présenté des excuses, s’est lavé les mains, la bouche et le reste à l’eau de Javel, a mis les infographistes au piquet avant de se couvrir la tête de cendres.

Traumatisé, un pigiste a même tenté de laver l’affront « en rappelant notamment sur sa page un épisode héroïque : le quotidien s’est sabordé et a stoppé sa publication en 1942, tandis que la zone libre était occupée par les nazis, pour ne reprendre que deux ans après, au moment de la Libération », nous rapporte Rue89. Pauvre garçon, inutile de te déculotter ainsi, c’était peine perdue.

Et pourtant… Le Progrès est à la pointe, si l’on peut dire ; c’est même un phare de l’antiracisme, organisateur depuis 6 ans de la soirée « Diversité et entreprises » au cours de laquelle sont récompensées par des trophées des « initiatives locales en rapport avec la “promotion de la diversité” ». Un rachat par anticipation, en somme, des bons points dans la musette, un crédit de bonne conduite ? Que nenni. La soirée a bien eu lieu lundi 2 juin dernier, mais amputée des 17.000 euros qu’avait promis la région Rhône-Alpes. Sa vice-présidente, Mme Farida Boudaoud, chargée de la Culture et de la Lutte contre les discriminations, l’a dit : « Je ne me voyais pas cautionner cet événement après un article pareil. Pas possible. » Ben tiens.

Le MRAP, SOS Racisme, l’UEJF et quelques autres ont porté plainte contre le journal, accusé d’incitation à la haine raciale et de fichage ethnique.

Au fond, on lui reproche d’avoir mal saisi le concept de nationalité, et mal fait son boulot. En face de « vol de câbles électriques », il aurait fallu écrire Roumains et non Roms. Quant à la colonne prostitution, un petit coup d’œil au dernier rapport du Sénat aurait éclairé nos amis du Progrès. En effet, on peut y lire : « Au début des années 1990, 80 % des personnes prostituées étaient françaises. » […] Aujourd’hui, « 90 % des personnes identifiées en France comme prostituées sont de nationalité étrangère. Selon l’OCRTEH, celles-ci sont pour l’essentiel originaires de Roumanie, de Bulgarie, du Nigeria, du Brésil et de Chine. » Mais est-ce bien publiable ?

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