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samedi, 30 décembre 2017

De la pub jusqu’à la lie

Publié par Guy Jovelin le 30 décmbre 2017

Rédigé par notre équipe le 29 décembre 2017

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 Les services publics de propagande, c'est mainetnnat !
 

Assaillis par la publicité. Même loin des écrans de télévision et d’ordinateur, il est impossible d’échapper à ce fléau moderne. Une fois dans la rue, les panneaux publicitaires agressent les yeux et amollissent l’esprit. Un outil parfait pour faire passer la propagande et continuer la chute de toute une société. Nouvelle trouvaille : les publicités éphémères sur les trottoirs.

Il n’y en a jamais trop. La publicité doit être partout et remplir le « temps de cerveau disponible ». La télévision a joué un rôle crucial, mais dépassée par l’Internet, les annonceurs sont en quête de nouveaux supports. En effet, les pubs peuvent toujours être bloquées sur la Toile, alors pourquoi ne pas l’imposer aux yeux dès qu’on décroche de l’écran ? C’est ainsi que les publicités sur les trottoirs viennent d’être lancées dans plusieurs villes de France.

Toujours plus, toujours plus grotesque

Les panneaux publicitaires sont des verrues qui se sont imposées dans nos villes depuis trop longtemps. Le temps est-il à un retour à la normale ? Bien sûr que non ! Il faut toujours plus de pub et tant pis pour le business model des JC Decaux et consorts. Désormais, il faut mettre de la publicité à même le sol. A chaque pas une publicité. Des milliers de mètres carrés disponibles pour assommer le marcheur-consommateur. Ces pubs ne feront pas plus de 3massure-t-on. Et pour couronner le tout, elles sont biodégradables et s’effacent au bout de dix jours. Seulement dix jours… avant qu’une nouvelle ne vienne la remplacer.

Il n’y aura donc plus d’espace libre de toute publicité. La ville devenue une énorme boîte à pub ! Le plan parfait pour s’assurer le vide dans les cerveaux les plus faibles. Les enfants grandiront les yeux rivés sur le sol quand il faudrait leur apprendre à regarder vers le ciel pour comprendre le monde. Leur vérité sera celle des publicités pour chaudières où l’on voit une femme nue en guise de promotion grotesque…

Les femmes, les corps et les fantasmes sont devenus les seuls moyens de faire la promotion d’un produit. Vendre une montre ? Un mannequin se trémousse. Vendre une voiture ? Un mannequin expose ses formes. Vendre un parfum ? Là, on arrive dans une zone presque interdite aux mineurs… Il faut susciter le désir même pour vendre la lessive.

Le citoyen-consommateur doit être un abruti lobotomisé qui passe d’un désir à l’autre. En assouvir un ne fait que renforcer sa passion pour le suivant. Les règles du marché ne sont pas nouvelles, mais ce dernier est complètement débridé. Certaines municipalités ont fait savoir qu’elles ne souhaitaient pas en venir aux publicités sur les trottoirs. Verra-t-on des villes sans le sou cracher sur le Dieu Argent ?

 

Source : 24heuresactu

mardi, 17 octobre 2017

Ubuesque : l'islamisation de Noël !

 Publié par Guy Jovelin le 17 octobre 2017

15 Octobre 2017 , Rédigé par Parti de la France - Calvados

Incroyable et grotesque ! Un internaute a révélé que pour la commande des colis de Noël de la ville de Rantigny, dans l'Oise, les habitants peuvent choisir un colis de Noël "sans alcool et sans porc" !

Cette soumission aux mœurs et coutumes des musulmans est insupportable !

Tout d'abord, on se demande en quoi des chrétiens devraient se soucier des musulmans lorsqu'ils célèbrent la naissance de Jésus Christ !

Ensuite, on se demande pour quelle obscure raison des musulmans devraient être destinataires de colis de Noël ! Tout comme on se demande pourquoi les musulmans, habituellement si revendicatifs et si fiers de leur foi, ne restituent jamais à la CAF ou au Pôle Emploi leur "prime de Noël" !

La seule chose à laquelle les musulmans ont légitimement droit est le rapatriement dans leurs pays d'origine !

 

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vendredi, 23 juin 2017

Le plus grotesque !

Publié par Guy Jovelin le 23 juin 2017

Rédigé par notre équipe le 22 juin 2017.

 

La politique nous offre un panel exceptionnel des faiblesses de l’être humain. Le lâche, le traitre, le nul, le crétin, il y en a pour tous les goûts. Si François Bayrou peut être affublé de tous ces jolis noms, celui de « grotesque » semble lui ravir particulièrement. De tous les mauvais combats depuis trop longtemps, il a passé de la pommade à tous ceux qui ont pu à un moment l’aider à gravir les marches du pouvoir. Enfin arrivé au ministère de la Justice, il est tombé comme un fruit pourri au bout d’un mois. L’artiste sort de scène et le public ne fera pas de rappel.

Un mois et quatre jours ! Un exploit qui restera dans les annales de l’histoire gouvernementale. Bayrou était convaincu qu’il laisserait une trace. Il a réussi, mais la manière a dû le surprendre. Alors non, notre cher François n’a pas battu le record de l’éphémère secrétaire d’Etat, Philippe Briand, qui a renoncé à son poste après 14 jours en 2004. Non, le record de Nicole Bricq, ministère de l’Ecologie pendant un mois et deux jours reste inviolé, mais pourtant la performance artistique de Bayrou est tout simplement hors norme ! Vingt années à tenter de devenir président et à se coucher devant les plus forts pour un mois et quatre jours sous les ors de la République avec chauffeur privé.

Bayrou est le Sisyphe de la politique française, mais le rocher est désormais trop lourd à rouler et le temps manque cruellement. Attendre vingt années supplémentaires ferait de lui un ministre fringant de 86 ans… Pas certain que les Français lui passent ce nouveau caprice. Mais pourquoi le rocher du désormais ex-ministre de la Justice est-il devenu si encombrant ? Peut-être parce que les pratiques du Modem qu’il préside sont condamnables sur le plan du droit et de la morale. Peut-être aussi parce que faute de proposer des solutions aux Français pour se distinguer, il a uniquement joué sur l’image fabriquée de l’homme politique au dessus de tout soupçon… Patatras, celui qui devait moraliser la vie politique française est condamné à se retirer dans les Pyrénées comme un vieil ermite gâteux qui n’est même plus toléré.

Une sortie rageuse par la fenêtre

Invité à quitter le navire gouvernemental après la démission de sa collègue Sylvie Goulard, il a entraîné dans sa chute l’incompétente de Sarnez. Un coup double pour la France, mais aussi pour Macron qui met sur la touche un oncle sénile qui aime un peu trop prendre la parole pour dire n’importe quoi du moment que cela lui donne le sentiment d’exister. Pourtant, il s’était fait discret au début de son bien court mandat, car pas très à l’aise avec la troublante affaire Ferrand. On disait le ministre au travail, il était surtout occupé à mettre la pression sur les journalistes pour qu’ils cessent de s’intéresser à la tambouille du Modem.

En conférence de presse, on a senti le vieux dinosaure très agacé par les questions des journalistes. Pourquoi sont-ils si gentils avec Macron et pas avec lui ? Cerise sur le gâteau, il a assuré à la toute nouvelle Garde des Sceaux, Nicole Belloubet, qu’il « l’aiderait de toutes ses forces » pour mener à bien sa loi de moralisation de la politique. Une belle promesse qui signifie qu’il va tout révéler aux enquêteurs ? On peut en douter. L’homme est touché, mais ne veut pas couler complètement et a dû s’en assurer avant sa sortie par la fenêtre du Gouvernement.

Elément troublant, il a affirmé que son nom n’était pas cité dans l’enquête. Mensonge ? Impossible à dire car l’enquête n’est normalement accessible à personne. Comment Bayrou pourrait-il affirmer de telles choses ? Aurait-il usé de son portefeuille de ministre de la Justice pour obtenir des informations ? Là encore impossible à dire, mais il est certain que derrière le sympathique François se cache une créature peu gracieuse.

Envoyé à Pau en seconde classe, il laisse Marielle de Sarnez à l’Assemblée nationale pour prendre la tête du groupe Modem. Une trajectoire similaire à Ferrand qui a été sorti du gouvernement pour mieux rebondir comme président du groupe En Marche à l’Assemblée. On comprend que tous les crasseux de l’exécutif sont assez propres pour présider les groupes de députés. Inquiétant… Bayrou, lui, n’avait pas osé se prendre une nouvelle baffe aux législatives. Maintenant déconnecté du pouvoir, il commence une nouvelle traversée du désert dans son fief de Pau. Paris n’est pas fait pour le béarnais. Dommage pour lui. Les Français ne s’en porteront pas plus mal !

Place désormais à l’affaire Muriel Pénicaud, ministre du Travail qui doit peut-être son poste aux largesses accordées à Macron alors qu’elle était à la tête de l’organisme public Business France… Ils voulaient laver plus blanc que blanc, aidons-les donc un peu !

La politique nous offre un panel exceptionnel des faiblesses de l’être humain. Le lâche, le traitre, le nul, le crétin, il y en a pour tous les goûts. Si François Bayrou peut être affublé de tous ces jolis noms, celui de « grotesque » semble lui ravir particulièrement. De tous les mauvais combats depuis trop longtemps, il a passé de la pommade à tous ceux qui ont pu à un moment l’aider à gravir les marches du pouvoir. Enfin arrivé au ministère de la Justice, il est tombé comme un fruit pourri au bout d’un mois. L’artiste sort de scène et le public ne fera pas de rappel.

Un mois et quatre jours ! Un exploit qui restera dans les annales de l’histoire gouvernementale. Bayrou était convaincu qu’il laisserait une trace. Il a réussi, mais la manière a dû le surprendre. Alors non, notre cher François n’a pas battu le record de l’éphémère secrétaire d’Etat, Philippe Briand, qui a renoncé à son poste après 14 jours en 2004. Non, le record de Nicole Bricq, ministère de l’Ecologie pendant un mois et deux jours reste inviolé, mais pourtant la performance artistique de Bayrou est tout simplement hors norme ! Vingt années à tenter de devenir président et à se coucher devant les plus forts pour un mois et quatre jours sous les ors de la République avec chauffeur privé.

Bayrou est le Sisyphe de la politique française, mais le rocher est désormais trop lourd à rouler et le temps manque cruellement. Attendre vingt années supplémentaires ferait de lui un ministre fringant de 86 ans… Pas certain que les Français lui passent ce nouveau caprice. Mais pourquoi le rocher du désormais ex-ministre de la Justice est-il devenu si encombrant ? Peut-être parce que les pratiques du Modem qu’il préside sont condamnables sur le plan du droit et de la morale. Peut-être aussi parce que faute de proposer des solutions aux Français pour se distinguer, il a uniquement joué sur l’image fabriquée de l’homme politique au dessus de tout soupçon… Patatras, celui qui devait moraliser la vie politique française est condamné à se retirer dans les Pyrénées comme un vieil ermite gâteux qui n’est même plus toléré.

Quelle moralisation de la vie politique ?

Invité à quitter le navire gouvernemental après la démission de sa collègue Sylvie Goulard, il a entraîné dans sa chute l’incompétente de Sarnez. Un coup double pour la France, mais aussi pour Macron qui met sur la touche un oncle sénile qui aime un peu trop prendre la parole pour dire n’importe quoi du moment que cela lui donne le sentiment d’exister. Pourtant, il s’était fait discret au début de son bien court mandat, car pas très à l’aise avec la troublante affaire Ferrand. On disait le ministre au travail, il était surtout occupé à mettre la pression sur les journalistes pour qu’ils cessent de s’intéresser à la tambouille du Modem.

En conférence de presse, on a senti le vieux dinosaure très agacé par les questions des journalistes. Pourquoi sont-ils si gentils avec Macron et pas avec lui ? Cerise sur le gâteau, il a assuré à la toute nouvelle Garde des Sceaux, Nicole Belloubet, qu’il « l’aiderait de toutes ses forces » pour mener à bien sa loi de moralisation de la politique. Une belle promesse qui signifie qu’il va tout révéler aux enquêteurs ? On peut en douter. L’homme est touché, mais ne veut pas couler complètement et a dû s’en assurer avant sa sortie par la fenêtre du Gouvernement.

Elément troublant, il a affirmé que son nom n’était pas cité dans l’enquête. Mensonge ? Impossible à dire car l’enquête n’est normalement accessible à personne. Comment Bayrou pourrait-il affirmer de telles choses ? Aurait-il usé de son portefeuille de ministre de la Justice pour obtenir des informations ? Là encore impossible à dire, mais il est certain que derrière le sympathique François se cache une créature peu gracieuse.

Envoyé à Pau en seconde classe, il laisse Marielle de Sarnez à l’Assemblée nationale pour prendre la tête du groupe Modem. Une trajectoire similaire à Ferrand qui a été sorti du gouvernement pour mieux rebondir comme président du groupe En Marche à l’Assemblée. On comprend que tous les crasseux de l’exécutif sont assez propres pour présider les groupes de députés. Inquiétant… Bayrou, lui, n’avait pas osé se prendre une nouvelle baffe aux législatives. Maintenant déconnecté du pouvoir, il commence une nouvelle traversée du désert dans son fief de Pau. Paris n’est pas fait pour le béarnais. Dommage pour lui. Les Français ne s’en porteront pas plus mal !

Place désormais à l’affaire Muriel Pénicaud, ministre du Travail qui doit peut-être son poste aux largesses accordées à Macron alors qu’elle était à la tête de l’organisme public Business France… Ils voulaient laver plus blanc que blanc, aidons-les donc un peu !

 

Source : 24heuresactu

jeudi, 26 février 2015

LE CHARLES-DE-GAULLE EST ENGAGÉ CONTRE DAECH : POUR QUOI FAIRE ?

Publié par Guy Jovelin 

Le Charles-de-Gaulle est engagé contre Daech : pour quoi faire ?
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