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dimanche, 21 août 2016

Comme les Corses, affirmons nous aussi notre identité !

Publié par Guy Jovelin le 21 août 2016

Publié le 20 août 2016 - par

 

Attaque-Corses-Sisco

Un article de Frédéric Saint Clair paru ces jours-ci dans le Figaro revient sur l’affaire de Sisco, où aux dires du procureur, « les Maghrébins auraient passé leur journée à agresser tout le monde », et sur la saine réaction des Corses vis-à-vis de représentants et de stigmates d’une idéologie prosélyte et agressive qui prétendraient s’y imprimer. Y sont énoncées quelques évidences parfaitement pensées.

Le constat est sans appel : la réponse de nos compatriotes corses est à la hauteur de l’affront : tu es accueilli, tu te tiens à carreau ; tu t’en prends aux miens, attends-toi à la réplique. Clair, net, sans bavures.

« La Corse est le lieu où l’esprit nationaliste et conservateur est demeuré intact. Elle est, en actes, ce que le reste du pays n’est qu’en pensée et en parole ».

Hélas pour les continentaux qui n’ont pas ce légendaire caractère trempé, il en va tout autrement. « Babtous » rendus fragiles parce qu’élevés chaque soir à 20h à l’amour inconditionnel de l’Autre paré d’une aura de sainteté à faire pâlir Ste Blandine, même lorsque cet Autre libère ses bas instincts sexuels sur des octogénaires qui pourraient être votre propre mère, il est de bon ton de comprendre, de trouver des circonstances atténuantes, d’accepter. Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, sauf le Gaulois sempiternellement dénoncé comme l’unique méchant de la galaxie, sans que cela ne semble suspect aux braves gogos abreuvés de propagande Pujadasienne. Pauvres de nous !

Le régime socialiste, entré en France sur un malentendu sexuel et sur un vote islamique massif lui apportant la victoire à coups d’arrosage sonnant et trébuchant dans les banlieues, a définitivement remisé sa virilité au placard, si tant est qu’il en ait eu un jour.

« Pas de bol », dit Hollande au peuple qui l’a porté au pinacle. J’ai tout foiré parce que j’ai la mouise, résume-t-il à quelques mois de son éjection. On s’en doutait dès le début avec toute cette pluie, cette foudre s’abattant sur son avion. Il a persisté et aujourd’hui notre pauvre pays agonisant se retrouve avec une délinquance inédite, des attentats, des religieux arriérés convaincus que la vie de bédouin peut se parfaire de chaque côté de la Loire. Bientôt ils nous importeront du sable pour reproduire leur désert…

Alors en Corse, avec un bon sens imparable, on montre le poing aux Mahométans, qu’ils soient dits « modérés » ou qu’ils soient djihadistes.

D’ailleurs, même Louis-Georges Tin, président du CRAN, a dans un tweet clairement fait le lien entre les femmes en burkini et le terrorisme…

Louis-Georges-Tin-terrorisme-burkinis

L’auteur assène : le peuple corse se refuse à toute compromission avec une culture qui ne serait pas la sienne, mieux même, c’est à la culture corse de s’imposer en Corse. Une évidence, mais qui va mieux en la disant. Sur le continent, on nous a dépossédé de cette évidence-là.

On se souvient des émeutes de décembre dernier sur l’île de Beauté lorsque aux cris de « Arabi fuori ! » (les Arabes dehors !), les compatriotes de Napoléon ont fait connaître leur refus de se laisser emm…ouscailler par des individus démangés par le désir d’une conquêtre trop longtemps contenue.

Frédéric Saint Clair poursuit : « Tout d’abord une dimension nationaliste revendiquée: la Corse a pris fait et cause pour la définition de la nation énoncée par Renan, «la volonté de continuer à faire valoir l’héritage qu’on a reçu indivis.» C’est là la définition à la fois du nationalisme et du conservatisme: préserver un héritage et le faire valoir. La masse des individus de Sisco affirme haut et fort ce que la France rêve de dire sans oser le faire: «L’islam n’est pas notre héritage». Refus double ; tout d’abord de reconnaître l’islam comme participant de l’héritage français, et ensuite refus d’accepter qu’il en fasse partie un jour ».

Le juste rappel à l’ordre par les Corses est agréé après que ceux-ci aient montré des signaux forts indiquant que le vivre ensemble avec des gens se trimballant avec des haches ne les intéressait, somme toute, que très moyennement. « Le peuple s’estime alors libre et légitime de reprendre ses droits ; il décide de faire justice lui-même ».

Là où l’auteur se contredit, c’est lorsqu’il estime que l’approche nationaliste devrait être « purgée de sa composante identitaire ». Or, si les Corses sont capables de telles réactions, c’est bien parce qu’ils sont avant tout identitaires. Si l’on « purge » notre identité, cela signifie que celle-ci serait néfaste, alors que nous en avons impérieusement besoin pour lutter contre ce qui nous agresse et nous est hostile. Notre identité est notre anticorps le plus précieux et aussi le plus légitime, d’autant que les musulmans ont, eux, une identité extrêmement forte. Curieusement, à eux les bien pensants ne leur en font pas grief…

La Corse est française mais son âme est restée corse, alors que la France continentale a perdu la sienne dans on ne sait quelle fange mondialiste, destructrice, esclavagiste, multiculturaliste, consumériste et avare de pouvoir jusqu’à en détruire des peuples, des identités, une civilisation entière sous ses propres applaudissements. La France plonge dans un maelström sans fin avec ses voisins européens. Pour qu’elle en arrive là, il a fallu lui ôter toutes ses défenses immunitaires, son identité, sa moelle, son amour d’elle-même, elle qui a tant donné au monde, quoi que ses dirigeants – et seulement ses dirigeants, en aucun cas son peuple qui peut au moins se regarder dans une glace sans honte – aient pu faire pour s’en mettre plein les poches.

Nos dirigeants nous spolient depuis quarante ans de nos libertés, à commencer par la liberté de choisir qui peut ou qui ne peut pas entrer chez nous. Il nous est refusé de contester l’installation en notre sein de la charia, ce machin pestilentiel qui faisait en janvier 1979 se pincer le nez de tout le monde, à l’exception d’un Michel Foucault dépeignant l’infâme Khomeiny alors protégé de Giscard comme un « saint homme » ou encore du couple Sartre-Beauvoir se précipitant à Téhéran pour féliciter l’affreux de la mise sous bâches des malheureuses Iraniennes qui ne rêvent aujourd’hui que de s’en libérer, et qui s’étale et se vend aujourd’hui en Occident jusque dans nos vitrines de mode, jusque dans les auto-écoles, jusque dans les cours de récré.

La charia ça chlingue, la charia c’est la mort de l’humain au bénéfice d’un dieu avarié, troisième du nom, rejeton débile des deux précédents qui suffisaient déjà amplement à créer un certain désordre, la charia c’est l’antithèse de nos valeurs, de notre héritage historique, c’est la fin de tout ce que la France a inventé, c’est le retour à l’âge de pierre.

Alors basta ! N’ayons pas peur de dire que nous refusons ce machin islamique ! Redevenons patriotes et défendons notre pays ! Pour une fois, soyons corses !

Caroline Alamachère

 

Source : ripostelaique