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jeudi, 21 septembre 2017

Discours de rentrée de Viktor Orbán : christianisme et identité contre libéralisme occidental

Publié par Guy Jovelin le 21 septembre 2017

  

Hongrie, Budapest – Pour la rentrée parlementaire, le Premier ministre conservateur Viktor Orbán a de nouveau tenu des propos forts et a annoncé la couleur pour les derniers mois de ce mandat.

Mi-septembre, pour la rentrée parlementaire, Viktor Orbán a tenu deux discours qui se complètent. Le premier discours a eu lieu devant un parterre d’intellectuels chrétiens invités au parlement, parmi lesquels le cardinal de Hongrie Péter Erdő, sur la même ligne que le gouvernement concernant la migration.

Durant son allocution, M. Orbán a estimé que l’adoption par la Hongrie et l’Europe centrale du “libéralisme occidental signifierait un suicide spirituel pour les centre-européens”. Selon l’homme fort de Budapest, cela signifierait pour l’Europe centrale de “devenir des sociétés mixes de notre vivant, balayant ainsi irréversiblement nos identités nationales et chrétienne”.

Le Premier ministre hongrois a ensuite nommé le coupable pour ce projet de transformation radical des sociétés européennes. “Ce programme de transformation des pays en pays d’immigration est communément désigné sous l’appellation de Plan Soros”, du nom du spéculateur milliardaire et activiste multiculturaliste de citoyenneté hongro-étatsunienne George Soros. “Ce plan décrit exactement comment tourner des pays récalcitrant d’Europe centrale à l’immigration en pays d’immigration”, a-t-il continué.

Mais parlant toujours au nom de l’Europe centrale, Viktor Orbán ne s’est pas montré découragé. “Mais nous savons bien sûr ce que nous avons à faire : joindre nos forces, agir ensemble et ne laisser personne pénétrer nos défenses”.

Le Premier ministre a conclu en appelant tout patriote et chrétien à donner son avis lors de la prochaine consultation nationale sur le Plan Soros, rappelant qu’il “vaut la peine de donner un plus grand pouvoir et une plus grande autorité que jamais à ceux qui sont prêts à défendre le futur de la Hongrie chrétienne”, et que le gouvernement hongrois y était prêt.

Quelques jours plus tard, Viktor Orbán tint son deuxième discours de rentrée, cette fois devant le parlement réuni. Après avoir abordé des questions de politique intérieure, le Premier ministre hongrois a abordé encore une fois la question migratoire, le Plan Soros et l’aspect civilisationnel de ces positions politiques.

Selon Viktor Orbán, “l’ancien ordre mondial économique et politique est terminé et un nouvel ordre mondial vient, et on ne peut l’empêcher”. La mise en place de ce “nouvel ordre mondial” est responsable des grands mouvements de population actuels, selon M. Orbán. Et ces migrations vont de pair avec “la nouvelle offensive mondiale d’une des religions principales, l’Islam”.

Concernant les vagues migratoires vues à ce jour, il ne s’agissait “que de l’échauffement”. Selon Viktor Orbán, les informations fournies par l’OTAN font état de 60 millions de personnes en Afrique se mettant en route d’ici 2020 vers l’Europe. Il accuse donc la politique migratoire de Bruxelles d’être ainsi responsable des “actes terroristes devenus hebdomadaires, de la dramatique chute de la sécurité publique, et du changement visible à l’œil nu du visage démographique, religieux et culturel de l’Europe”.

“C’est de cela que nous voulons préserver la Hongrie, l’Europe centrale, et si cela est encore possible, toute l’Union européenne,” a déclaré Viktor Orbán. Selon le Premier ministre hongrois, la politique migratoire détermine à l’heure actuelle deux camps au sein de l’Union européenne.

D’un côté, les pays qui “invitent voire organisent la venue […] de peuples invasifs”, devenus des “pays mixés”. Rappelant que les données indiquent “une croissances des populations “non-chrétiennes et une décroissance des Chrétiens”, le Premier ministre fait un sous-entendu fort en concluant sa phrase par un laconique “le reste n’est que mathématique simple pour en connaître l’issue”.

De l’autre, les pays opposés à l’immigration, tel que la Hongrie, qui tiennent à “leur sécurité, leur mode de vie, leurs identités nationales et religieuses”, avant d’ajouter que “nous voulons une Hongrie hongroise, et en soupirant nous disons, que nous souhaiterions aussi une Europe européenne”.

Ainsi pour Viktor Orbán, l’avenir de l’Union européenne repose sur la possibilité pour ces deux groupes de pays de s’entendre sur un nouvel ordre en Europe pour cohabiter, ce qui ne serait possible “qu’en respectant les volontés démocratiques de chacun”.

Mais pour le moment, les pays d’immigration suggèrent comme solution à cette rupture entre pays pro et anti-immigration, que “les pays refusant l’immigration l’acceptent. Sans quoi ils nous agressent, et nous y contraignent. C’est de cela qu’il s’agit dans l’affaire des quotas obligatoires […]. C’est ce que j’appelle le Plan Soros,” a conclu le Premier ministre, réitérant l’importance stratégique de son opposition à cette menace identifiée et nommée, accusant les bureaucrates bruxellois de manger dans la main de l’influent milliardaire.

 

Source : visegradpost

samedi, 28 janvier 2017

Citoyenneté et nationalité

Publié par Guy Jovelin le 28 janvier 2017

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Richard Dessens EuroLibertés cliquez ici

Les débats sur l’identité qui se succèdent depuis une dizaine d’années sèment une confusion et provoquent des antagonismes pour la raison qu’ils reposent sur des fondements faussés. En effet, avant d’évoquer une « identité », il faudrait d’abord définir sur quoi elle porte. Or, le véritable problème est celui qui est créé par la confusion qui existe, en France notamment, entre la « citoyenneté » et la « nationalité ». La citoyenneté est de nature juridique et ouvre des droits politiques. À ce titre, elle procède d’une logique administrative qui permet d’accorder, ou pas, la citoyenneté, à n’importe qui résidant sur un territoire donné. Aucun autre critère ne peut être requis. Délivrer la citoyenneté est donc un acte qui ne prend en compte aucune appartenance particulière à des valeurs, ou à une communauté, ou l’attachement à une histoire, une culture, et encore moins à une civilisation. Elle n’implique aucun engagement de fidélité à quoi que ce soit.

Au contraire la nationalité induit une notion ethnique, un lien avec une nation, c’est-à-dire une entité humaine aux valeurs communes et à la communauté de destin de ses membres. L’histoire, les traditions, la défense de son identité, en font la substance et la réalité quotidienne, avec la volonté d’adhérer de bonne foi, naturellement donc, à ses règles de convivialité, à ses codes sociaux. La patrie est un sentiment charnel, la nation une organisation et un ordre social de femmes et d’hommes au passé et au devenir communs et identifiés.

Tant que notre système juridico-politique s’entêtera, pour des raisons idéologiques, à confondre citoyenneté et nationalité, tout débat sur l’« identité » et sur l’« Europe » restera stérile, inutile, voire dangereux. Or, la source de cette confusion se situe dans la création factice des « États-Nations » qui mêlent citoyenneté et nationalité, travestissant la notion même de nationalité, en fabriquant une fausse nationalité conforme aux contours géographiques de l’État, à partir des nationalités régionales dévalorisées, et justifiée par la citoyenneté, liée aux États nouveaux et aux idées des « Lumières » concrétisées par la Révolution.

C’est là que se situent l’imposture, et les ambiguïtés qui en découlent, des États-Nations et l’impossible débat sur toute notion d’« identité », devenue essentielle dans le monde nouveau de la globalisation. Globalisation financière ne veut pas dire globalisation humaine, malgré la volonté de nos élites « droits-de-l’hommistes » dominantes.

Séparer citoyenneté et nationalité aboutit ainsi à la suppression des États-Nations européens, pour donner un sens à des « identités » qui retrouveraient leurs véritables racines. Ainsi, une Europe nouvelle pourrait voir le jour, la nationalité entraînant d’office la citoyenneté, mais non l’inverse. N’importe qui pourrait être « citoyen », c’est-à-dire posséder des droits politiques, le droit de vote notamment, sans bénéficier des avantages sociaux, sans participer automatiquement à la vie culturelle, sans être non plus soumis aux contraintes imposées aux membres de la nation, et notamment sa défense à titre militaire par exemple. La nationalité renvoie à une communauté humaine spécifique de destin, la citoyenneté à un acte juridico-administratif.

Cette conception a été évoquée par des esprits d’origines très diverses, depuis Yann Fouéré et son excellent ouvrage, déjà ancien, L’Europe aux cent drapeaux, jusqu’à Dominique Schnapper dans Qu’est-ce que la citoyenneté ?, autre excellente étude, plus récente, sur la citoyenneté vue sous un angle certes très différent de celui de Fouéré. Ce n’est donc pas une question d’idéologie lorsque l’honnêteté intellectuelle et l’impartialité amènent à des réflexions finalement proches de la part de personnages aussi différents politiquement que ces deux auteurs prestigieux.

L’Europe nouvelle ne pourra exister sans reconnaître qu’elle comporte « cent drapeaux » nationaux. Et une citoyenneté supplémentaire.

 

Source : synthesenationale

dimanche, 21 août 2016

Comme les Corses, affirmons nous aussi notre identité !

Publié par Guy Jovelin le 21 août 2016

Publié le 20 août 2016 - par

 

Attaque-Corses-Sisco

Un article de Frédéric Saint Clair paru ces jours-ci dans le Figaro revient sur l’affaire de Sisco, où aux dires du procureur, « les Maghrébins auraient passé leur journée à agresser tout le monde », et sur la saine réaction des Corses vis-à-vis de représentants et de stigmates d’une idéologie prosélyte et agressive qui prétendraient s’y imprimer. Y sont énoncées quelques évidences parfaitement pensées.

Le constat est sans appel : la réponse de nos compatriotes corses est à la hauteur de l’affront : tu es accueilli, tu te tiens à carreau ; tu t’en prends aux miens, attends-toi à la réplique. Clair, net, sans bavures.

« La Corse est le lieu où l’esprit nationaliste et conservateur est demeuré intact. Elle est, en actes, ce que le reste du pays n’est qu’en pensée et en parole ».

Hélas pour les continentaux qui n’ont pas ce légendaire caractère trempé, il en va tout autrement. « Babtous » rendus fragiles parce qu’élevés chaque soir à 20h à l’amour inconditionnel de l’Autre paré d’une aura de sainteté à faire pâlir Ste Blandine, même lorsque cet Autre libère ses bas instincts sexuels sur des octogénaires qui pourraient être votre propre mère, il est de bon ton de comprendre, de trouver des circonstances atténuantes, d’accepter. Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, sauf le Gaulois sempiternellement dénoncé comme l’unique méchant de la galaxie, sans que cela ne semble suspect aux braves gogos abreuvés de propagande Pujadasienne. Pauvres de nous !

Le régime socialiste, entré en France sur un malentendu sexuel et sur un vote islamique massif lui apportant la victoire à coups d’arrosage sonnant et trébuchant dans les banlieues, a définitivement remisé sa virilité au placard, si tant est qu’il en ait eu un jour.

« Pas de bol », dit Hollande au peuple qui l’a porté au pinacle. J’ai tout foiré parce que j’ai la mouise, résume-t-il à quelques mois de son éjection. On s’en doutait dès le début avec toute cette pluie, cette foudre s’abattant sur son avion. Il a persisté et aujourd’hui notre pauvre pays agonisant se retrouve avec une délinquance inédite, des attentats, des religieux arriérés convaincus que la vie de bédouin peut se parfaire de chaque côté de la Loire. Bientôt ils nous importeront du sable pour reproduire leur désert…

Alors en Corse, avec un bon sens imparable, on montre le poing aux Mahométans, qu’ils soient dits « modérés » ou qu’ils soient djihadistes.

D’ailleurs, même Louis-Georges Tin, président du CRAN, a dans un tweet clairement fait le lien entre les femmes en burkini et le terrorisme…

Louis-Georges-Tin-terrorisme-burkinis

L’auteur assène : le peuple corse se refuse à toute compromission avec une culture qui ne serait pas la sienne, mieux même, c’est à la culture corse de s’imposer en Corse. Une évidence, mais qui va mieux en la disant. Sur le continent, on nous a dépossédé de cette évidence-là.

On se souvient des émeutes de décembre dernier sur l’île de Beauté lorsque aux cris de « Arabi fuori ! » (les Arabes dehors !), les compatriotes de Napoléon ont fait connaître leur refus de se laisser emm…ouscailler par des individus démangés par le désir d’une conquêtre trop longtemps contenue.

Frédéric Saint Clair poursuit : « Tout d’abord une dimension nationaliste revendiquée: la Corse a pris fait et cause pour la définition de la nation énoncée par Renan, «la volonté de continuer à faire valoir l’héritage qu’on a reçu indivis.» C’est là la définition à la fois du nationalisme et du conservatisme: préserver un héritage et le faire valoir. La masse des individus de Sisco affirme haut et fort ce que la France rêve de dire sans oser le faire: «L’islam n’est pas notre héritage». Refus double ; tout d’abord de reconnaître l’islam comme participant de l’héritage français, et ensuite refus d’accepter qu’il en fasse partie un jour ».

Le juste rappel à l’ordre par les Corses est agréé après que ceux-ci aient montré des signaux forts indiquant que le vivre ensemble avec des gens se trimballant avec des haches ne les intéressait, somme toute, que très moyennement. « Le peuple s’estime alors libre et légitime de reprendre ses droits ; il décide de faire justice lui-même ».

Là où l’auteur se contredit, c’est lorsqu’il estime que l’approche nationaliste devrait être « purgée de sa composante identitaire ». Or, si les Corses sont capables de telles réactions, c’est bien parce qu’ils sont avant tout identitaires. Si l’on « purge » notre identité, cela signifie que celle-ci serait néfaste, alors que nous en avons impérieusement besoin pour lutter contre ce qui nous agresse et nous est hostile. Notre identité est notre anticorps le plus précieux et aussi le plus légitime, d’autant que les musulmans ont, eux, une identité extrêmement forte. Curieusement, à eux les bien pensants ne leur en font pas grief…

La Corse est française mais son âme est restée corse, alors que la France continentale a perdu la sienne dans on ne sait quelle fange mondialiste, destructrice, esclavagiste, multiculturaliste, consumériste et avare de pouvoir jusqu’à en détruire des peuples, des identités, une civilisation entière sous ses propres applaudissements. La France plonge dans un maelström sans fin avec ses voisins européens. Pour qu’elle en arrive là, il a fallu lui ôter toutes ses défenses immunitaires, son identité, sa moelle, son amour d’elle-même, elle qui a tant donné au monde, quoi que ses dirigeants – et seulement ses dirigeants, en aucun cas son peuple qui peut au moins se regarder dans une glace sans honte – aient pu faire pour s’en mettre plein les poches.

Nos dirigeants nous spolient depuis quarante ans de nos libertés, à commencer par la liberté de choisir qui peut ou qui ne peut pas entrer chez nous. Il nous est refusé de contester l’installation en notre sein de la charia, ce machin pestilentiel qui faisait en janvier 1979 se pincer le nez de tout le monde, à l’exception d’un Michel Foucault dépeignant l’infâme Khomeiny alors protégé de Giscard comme un « saint homme » ou encore du couple Sartre-Beauvoir se précipitant à Téhéran pour féliciter l’affreux de la mise sous bâches des malheureuses Iraniennes qui ne rêvent aujourd’hui que de s’en libérer, et qui s’étale et se vend aujourd’hui en Occident jusque dans nos vitrines de mode, jusque dans les auto-écoles, jusque dans les cours de récré.

La charia ça chlingue, la charia c’est la mort de l’humain au bénéfice d’un dieu avarié, troisième du nom, rejeton débile des deux précédents qui suffisaient déjà amplement à créer un certain désordre, la charia c’est l’antithèse de nos valeurs, de notre héritage historique, c’est la fin de tout ce que la France a inventé, c’est le retour à l’âge de pierre.

Alors basta ! N’ayons pas peur de dire que nous refusons ce machin islamique ! Redevenons patriotes et défendons notre pays ! Pour une fois, soyons corses !

Caroline Alamachère

 

Source : ripostelaique

mercredi, 06 mai 2015

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vendredi, 24 janvier 2014

L'appel du Mont Saint-Michel

civilisation,europe,identitéC’est sur ce Mont Saint-Michel dédié à l’archange qui terrassa le dragon, à l’archange “chef des armées célestes” qui appela Jeanne d’Arc à sauver le royaume de France, sur ce lieu qui symbolise les valeurs de la France éternelle et les racines chrétiennes de l’Europe, sur cette terre d’Occident que j’ai choisi de lancer cet appel à la résistance nationale et européenne.

Jamais dans l’histoire de la France et de l’Europe nos valeurs de civilisation n’ont été autant menacées, jamais l’identité de nos peuples et de nos cultures provinciales et nationales n’a été autant mise en péril, jamais les droits des peuples d’Europe à disposer d’eux-mêmes et à rester eux-mêmes n’ont été autant bafoués, jamais l’Europe n’a connu de telles menaces sur son identité et sur l’identité même de ses Nations.

Notre devoir politique est de revendiquer haut et fort les droits historiques, politiques, démocratiques, culturels, économiques et sociaux de nos peuples et de nos Nations d’Europe, d’affirmer notre projet de préférence nationale et européenne, de protection nationale et européenne.

Nos identités et nos cultures provinciales et nationales, nos valeurs communes, helléniques, latines, humanistes et chrétiennes qui fondent la civilisation européenne doivent forger le socle d’un nouveau modèle politique européen pour le XXIème siècle.

Les dirigeants de l’Europe apatride de Bruxelles suscitent l’hostilité des peuples parce qu’ils s’opposent à l’Europe réelle et historique et veulent imposer à tout prix un modèle artificiel, supranational et centralisateur qui est la négation de l’essence même de la véritable Europe des peuples et des Nations.

Les peuples libres qui ont rejeté ou refusé l’internationalisme communiste ne souhaitent pas se soumettre à l’internationalisme ultralibéral.

Nous ne voulons ni du modèle mondialiste financier et ultralibéral, ni du modèle altermondialiste collectiviste et marxiste. Ces deux systèmes doivent être combattus et rejetés.

L’affirmation du principe national et le retour de l’Etat national sont plus que jamais une nécessité, non seulement politique, mais aussi économique et sociale.

L’idéologie dominante des extrémistes du marché ouvert et du libre-échange planétaire est économiquement et socialement criminelle. C’est au nom de ce dogme économique que sont sacrifiés nos paysans, nos pêcheurs, nos industries, nos travailleurs, nos politiques familiales et nos droits sociaux. Désindustrialisation, délocalisations, chômage, régression sociale, précarité et nouvelle pauvreté sont les fruits amers du régime de collaboration euro-mondialiste des institutions européennes et des gouvernements.

Aux ravages du mondialisme libéral et financier, s’ajoutent les ravages du mondialisme migratoire, facteur de destruction et de désintégration de nos identités. L’immigration continue et planétaire est devenue une immigration de peuplement et sera demain, si les Européens ne réagissent pas, une immigration de remplacement. Prise en main par les mouvements islamistes, elle entraînera la destruction de notre civilisation et de nos libertés.

Les peuples d’Europe doivent, aujourd’hui et avant qu’il ne soit trop tard, relever ces défis économiques, sociaux, démographiques, institutionnels, politiques, culturels, spirituels et historiques en affirmant leur volonté de mettre en place une nouvelle Europe libre et démocratique des nations souveraines, forte de ses valeurs, de son indépendance, de sa puissance et de son identité.

Il n’y a pas de fatalité au déclin économique et à la décadence historique. Nous avons le choix entre le renoncement et l’action, entre l’abandon et la volonté, entre la soumission et la résistance, entre la déchéance et le renouveau.

Nous faisons, nous, nationaux et patriotes français, par cet appel à la résistance nationale et européenne, le choix de l’engagement et de l’Espérance.

Vive le peuple français !
Vive la France !
Vive l’Europe des Nations !

Reconquête Sociale

Reconquête sociale