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samedi, 30 juin 2018

Macron le petit frappe encore

Publié par Guy Jovelin le 30 juin 2018

Rédigé par notre équipe le 28 juin 2018 

Macron le Petit

Le mois de juillet arrive et Macron serait peut-être bien inspiré de prendre des vacances. Avec un tel phénomène, le temps de repos revient cher (une piscine à 34 000 euros, des frais de sécurité à faire pâlir Trump, etc.) mais au moins les Français les plus vulnérables pourraient peut-être sortir de la tempête dans laquelle ils se débattent depuis un an. La réforme de la SNCF est passée et c’est désormais aux retraités de prendre le train du libéralisme macronien en plein sur le corps.  

Non content de détruire tout ce qui reste d’une France martyrisée par des années de mensonges et de compromissions, Macron aime par dessus tout se mettre en scène. La dernière en date eut lieu dans son bureau ou copiant encore son ancien papa Trump, il signait la loi sur la fin de la SCNF sous prétexte de la sauver. Benjamin Griveaux entre sous l’œil des caméras suivi de sa sainteté jupitérienne, laquelle précède la ministre des Transports, Elisabeth Borne. L’équipe de destruction presque au complet s’assoie pour laisser signer le grand Macron.

Petit, mais violent avec les petites gens

Grand ? Pas si grand que ça malgré les images scénarisées. Car lors de leur entrée dans la pièce, on voit que le plus grand de la bande est sans conteste Griveaux. Pas étonnant, Macron ne fait qu’1m73 et Borne est insignifiante au sens propre comme au figuré. Mais lorsque les trois compères s’assoient, Macron dépasse les deux autres. La poudre de perlimpinpin aurait-elle de nouveaux effets insoupçonnés ? Le président et son ego ne peuvent pas paraître plus petits alors on a mis à disposition une chaise à l’assise plus basse pour le trop grand ministre. L’image filmée est idéale, les deux ministres sont comme deux enfants aux côtés du bon petit père des peuples.

Enfin, petit oui, père non et certainement pas du peuple français. Car avec sa politique de destruction systématique, rien n’y personne n’a de joker. Les difficultés pour joindre les deux bouts ne sont plus une garantie d’être laissé un peu tranquille par un matraquage fiscal grotesque, mais aux effets ignobles. La dernière preuve de cette politique qui s’en prend délibérément aux plus fragiles s’appelle la pension de reversion.

Le Gouvernement avait pourtant juré la main sur le cœur qu’il ne toucherait pas aux pensions de reversion. Même Macron avait dû intervenir en ce sens pour stopper une polémique mal venue pour lui, mais née d’inquiétudes réelles face à un exécutif qui veut faire les poches des plus démunies pour mieux aider les ultra-riches à remplir les leurs. Malgré les assurances au plus haut niveau de l’Etat, les retraités n’en ont rien cru et ils ont eu raison puisque Castaner a fait une sortie remarquée. Le chef d’En Marche et Secrétaire d’Etat aux Relations avec le Parlement a estimé que des pensions de reversion pourraient « baisser » pour certains retraités et « augmenter » « pour d’autres ». Baisser alors que la pension moyenne n’est même pas de 500 euros ? Baisser alors que la pension maximale est de 900 euros ?

L’ignominie du Gouvernement n’a pas de limite. La seule limite fixée est celle des routes départementales à 80 km/h alors que les Français n’en veulent pas. Les retraités qui ont le malheur d’être veufs vont donc avoir les poches plus vides encore. Moins d’argent, mais plus de plomb dans la tête pour ne plus voter pour Macron et son sourire carnassier ? Si tous les trompés du macronisme votaient pour défendre leurs intérêts, nul doute que Macron n’aurait déjà plus d’avenir. Avec un chômage en hausse de 0,3 % dont personne ne veut parler à commencer par le Gouvernement, cela fait des millions de mécontents. Le libéralisme débridé devait faire sortir la France du chômage de masse en moins de deux… Encore une fake news ?Décidément…

 

Source : 24heuresactu

mercredi, 18 mai 2016

Jusqu’où faudra-t-il descendre dans l’abjection ?

Publié par Guy Jovelin le 18 mai 2016

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Dr Bernard Plouvier

Il y a quelques années, un premier ministre de la Ve République, le socialiste Lionel Jospin faisait l’apologie des mutins de 1917, sans trop réfléchir aux conséquences des actes de ces nobles consciences si le mouvement s’était généralisé, en un moment où l’armée allemande était encore puissante et fort motivée. On peut comprendre que la tradition pacifiste et antimilitariste des Jospin s’exprime de façon privée. Le faire publiquement, lorsqu’on est aux affaires demande à la fois plus de subtilité, davantage de connaissances historiques et sociologiques, en un mot : de réflexion.

On pouvait préférer un Mitterrand qui, en dépit de ses innombrables tares, refusait de souiller l’État dont il avait la charge en lui reconnaissant la moindre responsabilité dans la Shoah… il fallut attendre Chirac pour que l’on assiste à cette ignominieuse repentance.

L’ennui avec une descente aux enfers, c’est qu’elle induit une surenchère perpétuelle dans l’ignominie. En 2016, on imagine de faire venir à Verdun un rappeur musulman très engagé dans l’islam conquérant et la haine anti-Blancs, pour… au fait dans quel but ?

On comprend bien qu’à une année d’élections qui vont remettre en question l’attribution d’une grande partie des sinécures dorées de la Ripoublique, les socialistes au bilan catastrophique ratissent au plus large et ne veulent laisser passer aucune voix musulmane.

Un autre but, pour nos féaux de la globalo-mondialisation, serait de prôner plus que jamais le pacifisme & l’antimilitarisme, en ridiculisant les anciens combattants, de Verdun et d’ailleurs, de 14-18 et de toutes les guerres… et vas-y que je te désinforme un peu plus sur la Guerre d’Algérie et la repentance pour la colonisation. Il y a un public de gogos pour ces âneries qui, en dépit de leur fausseté historique, font toujours recette. Item, donc, des voix de bobos à engranger.

D’autant que Môaaa Président d’un État surendetté n’a rien trouvé de mieux que de donner son accord pour financer un Musée de l’esclavage… où l’on omettra probablement d’insister sur les fournisseurs, ces « rois nègres » qui vendaient des Noirs aux marchands d’esclaves musulmans et/ou juifs, qui les revendaient à des exportateurs juifs ou chrétiens (vers l’Ouest : la Traite transatlantique) ou des exportateurs juifs et surtout musulmans (pour la Traite vers l’Est : péninsules arabique et indienne, Moyen-Orient, Insulinde etc.). Item : les voix des DOM-TOM entrent en urnes.

De la même façon, nul ne réagit à l’organisation, au sein de la contestation potacho-estudiantine, de cellules racistes, c’est-à-dire strictement réservées aux extra-européens de souche. Cela se passe en France, l’An 2016, où divers clowns ministériels distribuent en permanence des leçons fort stéréotypées (et en un français parfois approximatif) sur la tolérance, le « vivre ensemble », l’intégration-assimilation et – suprême confiserie - : les sacro-saints Doits de l’homme… dont la déclaration fut rédigée, en 1776, par le richissime planteur virginien Thomas Jefferson, qui était un esclavagiste, qui jamais ne reconnut son bâtard mulâtre. L’étude historique est une perpétuelle source de petites joies. Ohé, les fêtards de gauche, c’est encore un grand anniversaire à mettre en scène : 240 années de désinformation !

Que les socialistes de salon, alliés aux écologistes bobos et aux dinosaures marxistes, fassent dans la pire démagogie, cela n’étonnera personne : ils jouent dans leur cour et restent fidèles à leur registre. N’en subissant eux-mêmes, ni par leurs proches, aucune conséquence directe, ils se moquent des incendies de voitures, du vandalisme des biens publics et privés, des vols, viols et assassinats perpétrés de façon pluri-hebdomadaire par des « jeunes », fruits pourris de cette immigration d’origine extra-européenne qu’ils favorisent ouvertement et dont ils assurent la promotion par la très antidémocratique « discrimination positive ».

En revanche, si la majorité de la Nation autochtone, c’est-à-dire de souche européenne, ne réagit pas très vigoureusement par une sanction d’élimination aux scrutins de 2017, la France passera, une fois de plus, à la traîne de la Grande-Bretagne, et nul ne pourra s’étonner si un musulman devient maire d’une grande ville. La veulerie se paie très cher.

Il est inutile d’hurler : « Au secours Jeanne ! ». Il suffit de se souvenir de notre plus grand fabuliste : « Aides-toi et le ciel t’aidera ».

 

Source : synthesenationale