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jeudi, 09 mars 2017

Une députée verse 10.000€ à une association de réfugiés

Publié par Guy Jovelin le 09 mars 2017

Par Infos Toulouse - 8 mars 2017

Depuis 2012, l’Assemblée Nationale publie sur son site internet l’utilisation de la réserve parlementaire accordée à tous les députés. Il est ainsi possible de consulter le montant et les bénéficiaires des ressources budgétaires dont disposent les élus. L’enveloppe de 2016 a permis à ces derniers de distribuer pas moins de 81 millions d’euros, dans des secteurs variés dont la construction et l’aménagement urbain (Kléber Mesquida, Sylvia Pinel, Jean-Claude Perez…), les médias (Gilbert Collard, Patrick Vignal, Carole Delga…)  ou bien encore les associations sportives et de loisirs (Martine Martinel, Laurence Arribagé…). Mais Catherine Lemorton a d’autres préoccupations.

Catherine Lemorton, députée socialiste de la 1ère circonscription de la Haute-Garonne depuis 2007 et spécialisée dans la santé, a donc distribué des aides financières dans les domaines qui lui semblaient prioritaires : 3000 euros pour le Club des Aînés de Beauzelle, 5000 euros pour l’USEP (Union Sportive Ecole Primaire) de Beauzelle et 10 000 euros à l’intention du COMEDE – Comité Pour la Santé des Exilés. Créée en 1979, cette association veille à « agir en faveur de la sante des exilés et de défendre leurs droits« . Pour Catherine Lemorton, la seule priorité relative à l’accès aux soins se situe dans la prise en charge médicale des clandestins et des étrangers. L’urgence est telle qu’elle verse 10 000 euros à la seule association qui s’occupe uniquement des étrangers en situation irrégulière. A l’hôpital de Bicêtre (94), les consultations de médecine générale sont donc gratuites pour les étrangers « primo-arrivants »; ils étaient pratiquement 3000 à y être pris en charge en 2013. 28% d’entre eux ne disposaient pas de protection maladie et souffraient d’exclusion sociale selon ActuSoins, un magazine en ligne sur l’actualité infirmière.

De par sa généreuse contribution financière, la députée souligne le soutien qu’elle apporte aux étragers. Pour autant, son attachement aux valeurs sociales ne l’empêchait pas de se pencher sur le cas des français oubliés, pourtant si nombreux. En 2016, le film Médecin de Campagne avec François Cluzet relançait le débat des déserts médicaux, au nombre de 192 en France. La Haute-Garonne n’est pas exclue et l’on remarque que certaines zones à l’image de Bagnères-de-Luchon connaissent une grave crise des médecins, passant de 7 à 4 en raison des départs à la retraite non remplacés. Des personnes âgées ne bénéficient pas d’une telle facilité d’accès aux soins médicaux mais sont pourtant délaissées par le mécénat de Catherine Lemorton.

Ce don de 10 000 euros symbolise bien plus qu’une simple aide à une association médicale. Par ce geste, Catherine Lemorton privilégie ouvertement la santé des étrangers à défaut d’aider financièrement et moralement les citoyens de sa région. Cette humiliation démontre bien une nouvelle fois que le français moyen est délaissé et dénigré, spectateur d’une politique qui soutient désormais tout le monde sauf lui.

 

Source : infos-toulouse

dimanche, 10 avril 2016

Catherine Lemorton raconte n’importe quoi

Publié par Guy Jovelin le 10 avril 2016

Rédigé par Louis Blase le 10 avril 2016.

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La présidente PS de la commission des affaires sociales de l’Assemblée Nationale a perdu une bonne occasion de se taire quand elle ose déclarer : «Je rappelle que la terreur blanche a fait plus de morts que la terreur rouge !». Un effet de manche complètement raté, puisqu’elle est se révèle en cette occasion telle qu’en elle-même, inculte, obtuse et falsificatrice. Carton rouge pour Lemorton.

Cette élue de la Nation, pharmacienne de profession, est favorable aux salles de shoot et a fait concevoir ses deux filles par PMA. Le décor est campé. Elle se déclare «très jacobine» et «robespierriste», mais à la vue de ses connaissances historiques moins qu’élémentaires, il est probable qu’elle n’ait pas vraiment conscience de ce qu’elle dit. Dans ce cas, on se tait.

Ce que les historiens appellent «la terreur blanche» a fait entre 300 et 500 morts, et fut conduite en réaction aux persécutions de la République, alors que le roi l’avait absolument interdite. En revanche, l’embryon de la terreur rouge qu’on situe généralement en Vendée, fit a minima 115 000 morts, jusqu’à 700 000 morts selon certains, et fut non seulement planifiée par le comité de salut public, mais encore militarisée et votée par deux lois génocidaires de la convention, d’aout et octobre 1793.

Ne parlons même pas des crimes communistes qui sont les enfants bâtards de la terreur rouge révolutionnaire ; Lénine déclarait «il nous faut des Vendées» rappellera à juste titre Alexandre Soljénistysne, et jusqu’aux kmers rouges de Pol Pot qui trouvèrent leur inspiration chez Jean-Jacques Rousseau, les centaines de millions de morts de la terreur rouge dont elle se réclame, viennent rappeler à Catherine Lemorton l’impudicité de son propos indigne. Scandaleux !

 

Source : http://24heuresactu.com/