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vendredi, 08 août 2014

Il y a 69 ans, les « libérateurs » atomisaient Hiroshima

Publié par Guy Jovelin

samedi, 05 avril 2014

Les crimes sexuels des “libérateurs” enfin dévoilés

Publié par Guy Jovelin

 Le 3 avril paraîtra en France un ouvrage intitulé Des GI’s et des femmes. Amours, viols et prostitution à la Libération, écrit par Mary Louise Roberts. Il y évoque ce que les nationalistes savent et dénoncent depuis des décennies : au comportement exemplaire vis-à-vis des Français des soldats allemands en France a succédé, après l’invasion américaine de l’Europe en 1944, viols, meurtres et pillages.

Évoquant le livre, Le Progrès titre « le sombre visage du débarquement », rappelant de manière voilée la surreprésentation des Africains de l’armée américaine dans ces crimes, ces « voyous à qui la France avait été vendue comme une “aventure érotique” ». Lors de la parution du livre aux États-Unis, l’auteur avait précisé que les faits n’étaient certainement pas « un grand secret pour les Normands, mais certainement une surprise pour les Américains. [Ils] ont toujours en tête le vieux mythe du GI viril et sans tache ».

Alors que des récits fantaisistes n’impliquant en rien les Américains remplissent des bibliothèques entières, il a fallu attendre 2014, 70 ans après, pour que ces faits soit portés à la connaissance du public américain, dont il n’y a plus à craindre la réaction sur les mensonges et les crimes de ses gouvernants.

Comme les armées communistes à l’Est qui commirent des millions de viols, les dirigeants américains utilisèrent le viol et la prostitution des femmes françaises pour « imposer leur pouvoir » rapporte l’auteur. Avant la pornographie, la généralisation et la promotion des comportements déviants, les criminels de guerres américains firent de certains lieux des bordels à ciel ouvert. « En plein air, en plein jour, dans les parcs, les cimetières, sur les rails de chemins de fer […] Les Havrais ne pouvaient pas sortir se promener sans voir quelqu’un en train d’avoir une relation sexuelle ». Les troupes d’occupation (afro-)américaines se conformèrent parfaitement à ce qui était attendu d’eux, eux à qui la France avait été présentée par la propagande officielle des “libérateurs” comme « un bordel génial habité par 40 millions d’hédonistes ».

« Quand les Allemands sont arrivés, les hommes ont dû se cacher. Mais quand les Américains sont arrivés, il a fallu cacher les femmes. » dit-on en Normandie… En octobre 1944, 152 soldats ont été poursuivis en justice. Parmi eux : 130 Afro-américains.

Des faits qui évoquent les crimes organisés sous le commandement du criminel de guerre française le général Juin en Italie en 1944, qui permit aux troupes afro-maghrébines de violer plusieurs milliers d’Italiennes – et même d’Italiens.

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