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samedi, 20 octobre 2018

Rouen : une racaille prend en otage et frappe le bébé d’une femme pour l’emmener et la violer

Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2018

Auteur : admin4
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Horrible affaire, hélas appelée à se répéter dans la « France d’après ».

Lundi 15 octobre, vers 22 heures, dans la zone de sécurité prioritaire des Hauts-de-Rouen :

« une patrouille de police se rend à proximité d’un sous-bois afin de secourir une femme. Cette dernière, en état de choc, a alerté la police en déclarant avoir été victime d’un viol en présence de son enfant, âgé de 2 ans. Prise en charge par des policiers de la brigade anticriminalité (BAC), la victime est conduite à l’hôpital pour y recevoir les premiers soins. Malgré le traumatisme, elle parvient à relater les circonstances de son agression.

La jeune femme explique avoir été surprise par un inconnu alors qu’elle venait de stationner sa voiture devant son domicile. Un homme a surgi et l’a empoignée et poussée à l’intérieur de son véhicule. L’agresseur monte à l’arrière et s’installe juste à côté de l’enfant de la victime, installé dans un siège auto. Très vite, l’inconnu menace de s’en prendre à son bambin si elle n’accède pas à ses demandes. Dans un premier temps, il exige de se faire conduire «  au quartier  », distant de deux kilomètres. Pour se faire obéir, il porte des coups à la fillette. La mère de famille obtempère et prend la direction indiquée.

La victime indique encore avoir entendu son agresseur passer un appel téléphonique au cours duquel il a indiqué «  amener un cadeau  » à son interlocuteur. Comprenant alors la situation, la conductrice cherche à gagner du temps, mais l’inconnu l’oblige à stopper son véhicule à proximité d’un sous-bois. La victime a ensuite été frappée par son agresseur puis violée. L’inconnu a fini par prendre la fuite. […] »

Grâce à un portrait-robot, l’individu aurait été interpellé dans la rue hier (en possession d’un peu de drogue). (Source)

samedi, 05 avril 2014

Les crimes sexuels des “libérateurs” enfin dévoilés

Publié par Guy Jovelin

 Le 3 avril paraîtra en France un ouvrage intitulé Des GI’s et des femmes. Amours, viols et prostitution à la Libération, écrit par Mary Louise Roberts. Il y évoque ce que les nationalistes savent et dénoncent depuis des décennies : au comportement exemplaire vis-à-vis des Français des soldats allemands en France a succédé, après l’invasion américaine de l’Europe en 1944, viols, meurtres et pillages.

Évoquant le livre, Le Progrès titre « le sombre visage du débarquement », rappelant de manière voilée la surreprésentation des Africains de l’armée américaine dans ces crimes, ces « voyous à qui la France avait été vendue comme une “aventure érotique” ». Lors de la parution du livre aux États-Unis, l’auteur avait précisé que les faits n’étaient certainement pas « un grand secret pour les Normands, mais certainement une surprise pour les Américains. [Ils] ont toujours en tête le vieux mythe du GI viril et sans tache ».

Alors que des récits fantaisistes n’impliquant en rien les Américains remplissent des bibliothèques entières, il a fallu attendre 2014, 70 ans après, pour que ces faits soit portés à la connaissance du public américain, dont il n’y a plus à craindre la réaction sur les mensonges et les crimes de ses gouvernants.

Comme les armées communistes à l’Est qui commirent des millions de viols, les dirigeants américains utilisèrent le viol et la prostitution des femmes françaises pour « imposer leur pouvoir » rapporte l’auteur. Avant la pornographie, la généralisation et la promotion des comportements déviants, les criminels de guerres américains firent de certains lieux des bordels à ciel ouvert. « En plein air, en plein jour, dans les parcs, les cimetières, sur les rails de chemins de fer […] Les Havrais ne pouvaient pas sortir se promener sans voir quelqu’un en train d’avoir une relation sexuelle ». Les troupes d’occupation (afro-)américaines se conformèrent parfaitement à ce qui était attendu d’eux, eux à qui la France avait été présentée par la propagande officielle des “libérateurs” comme « un bordel génial habité par 40 millions d’hédonistes ».

« Quand les Allemands sont arrivés, les hommes ont dû se cacher. Mais quand les Américains sont arrivés, il a fallu cacher les femmes. » dit-on en Normandie… En octobre 1944, 152 soldats ont été poursuivis en justice. Parmi eux : 130 Afro-américains.

Des faits qui évoquent les crimes organisés sous le commandement du criminel de guerre française le général Juin en Italie en 1944, qui permit aux troupes afro-maghrébines de violer plusieurs milliers d’Italiennes – et même d’Italiens.

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