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jeudi, 04 janvier 2018

A Madrid, l’extrême gauche au pouvoir remplace la parade des Rois Mages par un défilé LGBT

Publié par Guy Jovelin le 04 janvier2018

 

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Espagne – Par décision du président du Conseil (élu du parti d’extrême gauche Podemos), la parade des Rois Mages du quartier madrilène de Vallecas sera remplacée par un défilé de « reines mages » organisé par le lobby LGTBQI.

Les trois « reines » choisies par le lobby LGBTQI sont une drag queen, une danseuse de cabaret et une fille issue du milieu « hip hop ».

Un char plein de couleurs, de paillettes, décoré avec le drapeau arc en ciel du lobby homosexuel, sur lequel seront juchées les trois « reines » en question, voilà le programme qu’a prévu l’extrême gauche au pouvoir.

La provocation antichrétienne est évidente. La célébration traditionnelle des Rois Mages venant rendre hommage à l’Enfant-Jésus fera place à un défilé façon gay pride.

Pour compléter, la provocation blasphématoire, la Sainte Famille sera remplacée par « une famille diversifiée de deux mamans, qui sont en couple, avec leurs jumeaux et les enfants d’une école de danse, entre autres ».

 

Source : medias-presse.info

vendredi, 23 décembre 2016

A Madrid, les catholiques répondent par des centaines de crèches de Noël au laïcisme du maire

Publié par Guy Jovelin le 23 décembre 2016

par 22 décembre 2016

Espagne – Manuela Carmena, maire de Madrid et membre du parti d’extrême gauche Podemos, a trouvé un moyen pour faire parler d’elle dans tout le royaume hispanique : interdire la présence d’une crèche de Noël à la fameuse Puerta de Alcalá de la capitale espagnole. Un geste antichrétien qu’elle avait déjà fait l’année dernière, n’autorisant que des décorations sans connotation religieuse chrétienne pour des “fêtes” dès lors totalement dénaturées. Comment fêter Noël sans fêter la Nativité ? Absurde. L’extrême gauche athée se trouve ainsi main dans la main avec l’hyper-capitalisme des multinationales et le Père Noël de Coca-Cola…

Mais la réaction des Madrilènes est exemplaire : jour après jour, ils sont des centaines à venir y déposer une crèche de Noël et s’y faire photographier ! Sur les réseaux sociaux, les messages abondent pour rappeler que l’Espagne est catholique et doit le rester.

 

Source : medias-presse.info

lundi, 26 septembre 2016

MADRID : LES ANCIENS DE LA LEGION SE REBIFFENT

 

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A l’appel de la confrérie nationale des anciens chevaliers de la Légion, plusieurs centaines de légionnaires et de sympathisants se sont donnez rendez vous hier à Madrid Place Mayor pour dénoncer le projet du maire de Madrid, Manuela Carmena, de débaptiser la rue qui porte le nom du général Millan-Astray le fondateur en 1920 de la Légion Etrangère pour le remplacer par celui de rue de « l’Intelligence ». La provocation qui fleur bon le révisionnisme historique à la mode en Espagne pour tout ce qui a trait à la période de la guerre civile, a soulever l’indignation des membres de la confrérie lesquels ont prévenu le Maire qu’ils reviendraient chaque jour remettre en place l’ancienne plaque portant le nom de celui qu’ils considèrent comme leur père. Le Maire gauchiste qui ne manque pas une occasion d’afficher le mépris que lui inspire toute référence au patriotisme s’est inspiré pour le choix de ce nouveau nom à un incident qui le 12 octobre 1936 au cours d’une réception avait opposé le recteur de l’université de Salamanque, Miguel de Unamuno au général Milan-Astray. Le général, alors chargé de l’information et de la propagande par le général Franco pour le compte du camp nationaliste s’étant senti blessé par certains propos du philosophe lui aurait envoyé à travers la figure la devise de la Légion Etrangère « Vive la Mort » non sans lui avoir dit en préambule que si l’intelligence sert le mal, alors que meurt l’intelligence. Sur quoi Unamuno aurait rétorqué « vive l’Intelligence ». Le contexte de l’époque ne se prêtait évidemment pas aux finasseries de langage et ce sera Dona Carmen, la femme du général Franco qui évitera au philosophe de se faire lyncher par les phalangistes et les légionnaires présents dans la salle. 27 rues madrilènes portant le nom de personnalités franquistes devraient subir le même sort au nom de l’application de la Loi sur la mémoire Historique qui prévoit l’effacement dans l’espace publique de tous les symboles susceptibles d’être interprétés comme faisant l’apologie du régime franquiste.

Source : Alerta digital

Source : national-hebdo