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mercredi, 20 février 2019

Marine Le Pen s’incline pour les victimes de l’antisémitisme et est invitée par la télévision israélienne

Publié par Guy Jovelin le 20 février 2019

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

Faute de pouvoir se rendre à Yad Vashem, Marine Le Pen, indésirable aux marches contre l’antisémitisme chapeautées par les organisations communautaires de type CRIF, a tenu à déposer des fleurs devant une plaque commémorative en mémoire d’Ilan Halimi.

Sur Twitter, la présidente du Rassemblement National écrit :

“Nous rendons ce soir hommage aux victimes de l’antisémitisme, et exprimons à cette occasion notre solidarité avec tous nos compatriotes juifs qui ne veulent plus vivre dans la crainte.”

Nous cherchons en vain une cérémonie équivalente organisée par Marine Le Pen à la suite de profanations antichrétiennes… 

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Marine Le Pen
 
@MLP_officiel

Nous rendons ce soir hommage aux victimes de l’antisémitisme, et exprimons à cette occasion notre solidarité avec tous nos compatriotes juifs qui ne veulent plus vivre dans la crainte. MLP

Seuls les plus mal intentionnés rapprocheront cette information avec le passage de Marine Le Pen, le même 19 février, sur la télévision israélienne I24.

 

Source : medias-presse.info

 

jeudi, 07 février 2019

La dérive financière du RN sous Marine Le Pen

Publié par Guy Jovelin le 07 février 2019

Par  le 07/02/2019 
 

INTERVIEW – Un ancien du FN [André Murawski] dénonce la gestion du parti par la cheffe de l’extrême droite. En sept ans, la dette a explosé de +785% pour atteindre 24 millions d’euros, alors que la subvention publique grimpait dans le même temps de 1,8 à 5 millions d’euros par an.

(…)

Il existe une véritable dérive de la gestion financière du FN depuis que Marine Le Pen en est la présidente. Depuis 2012, le parti est en effet en déficit permanent alors même que ses recettes ont sensiblement augmenté. En six ans, les recettes ont progressé de 26% et, si l’on retire des rentrées financières exceptionnelles de 2011, la hausse atteint même 136% ! Les financements publics payés par les contribuables sont par exemple passés de 1,8 million d’euros en 2011 à 5 millions d’euros en 2017. Les dons ont grimpé de 262.600 euros en 2011 à 960.000 euros en 2017 (+265%) et les contributions des élus de 577.760 euros en 2011 à un million en 2017.

Avec de telles augmentations de recettes, comment le parti de Marine Le Pen peut-il être en déficit permanent depuis six ans ?

Tout simplement parce que les dépenses ont progressé encore plus vite et de manière continue. Entre 2011 et 2017, leur montant a explosé de 284%, passant de 5,9 millions à près de 23 millions d’euros ! (…)

La ligne budgétaire incluant les déplacements, voyages et frais de bouche a, elle, bondi de 230 % en six ans, de 2,2 millions d’euros à 7,3 millions d’euros.

(…) Le parti est pris dans une spirale folle de l’endettement. En sept ans, sa dette a explosé de + 785% ! Au vu des comptes du parti, je ne vois pas comment le prêt russe de 9,4 millions d’euros pourrait être remboursé dans sa totalité en septembre 2019 sans remettre en cause gravement le fonctionnement du parti. Le Rassemblement national paraît en situation de grande difficulté financière et la fermeture de ses comptes bancaires par la Société générale il y a un an semble presque logique. Quand on pense que Marine Le Pen promettait durant la campagne présidentielle de « remettre de l’ordre dans les finances publiques », cela prête à sourire. Si elle n’est même pas capable de gérer les comptes d’un parti, on la voit mal s’occuper du budget de la France.

 

Challenges via fdesouche

mardi, 29 janvier 2019

En 7 ans, Marine Le Pen a surendetté et ruiné son parti

Publié par Guy Jovelin le 29 janvier2019

Un ancien du FN dénonce la gestion du parti par Marine Le Pen. En sept ans, la dette a explosé de + 785% pour atteindre 24 millions d’euros, alors que la subvention publique grimpait dans le même temps de 1,8 à 5 millions d’euros par an. 

 
En 7 ans, Marine Le Pen a surendetté et ruiné son parti

Conseiller régional dans les Hauts-de-France, André Murawski a claqué la porte du Rassemblement national en septembre dernier. Cet intendant dans un collège déplore la dégradation des comptes du parti qui a conduit à "une spirale folle de l'endettement""Si Marine Le Pen n'est même pas capable de gérer un parti, on la voit mal s'occuper du budget de la France", assène-t-il.   

Challenges - Vous avez ausculté l’évolution des comptes du Front national, devenu Rassemblement national, depuis que Marine Le Pen en a pris les rênes, quelle conclusion en tirez-vous ? 

André Murawski : Il existe une véritable dérive de la gestion financière du FN depuis que Marine Le Pen en est la présidente. Depuis 2012, le parti est en effet en déficit permanent alors même que ses recettes ont sensiblement augmenté. En six ans, les recettes ont progressé de 26% et, si l’on retire des rentrées financières exceptionnelles de 2011, la hausse atteint même 136% ! Les financements publics payés par les contribuables sont par exemple passés de 1,8 million d’euros en 2011 à 5 millions d’euros en 2017. Les dons ont grimpé de 262.600 euros en 2011 à 960.000 euros en 2017 (+265%) et les contributions des élus de 577.760 euros en 2011 à un million en 2017. 

Avec de telles augmentations de recettes, comment le parti de Marine Le Pen peut-il être en déficit permanent depuis six ans ? 

Tout simplement parce que les dépenses ont progressé encore plus vite et de manière continue. Entre 2011 et 2017, leur montant a explosé de 284%, passant de 5,9 millions à près de 23 millions d’euros ! Marine Le Pen a laissé filer les dépenses sans mesure. Exemple : la masse salariale du FN représentait la moitié de la subvention publique annuelle en 2011 et en pèse plus de 90% aujourd’hui, alors même que cette subvention a été multipliée par 2,7… D’après mes calculs, les cinquante permanents du parti bénéficiaient en 2017 d’un salaire moyen de 7.693 euros par mois, charges sociales comprises [soit 3.900 euros net, NDLR]. La ligne budgétaire incluant les déplacements, voyages et frais de bouche a, elle, bondi de 230 % en six ans, de 2,2 millions d’euros à 7,3 millions d’euros. 

Dès lors, le parti a été contraint d’emprunter… 

Avec des dépenses qui progressent plus vite que les recettes, le Front national, devenu Rassemblement national, a en effet été obligé d’emprunter tous azimuts. En 2017, la dette du parti a ainsi atteint la somme record de 24 millions d’euros, soit le double de la dette de 2016. Outre le fameux emprunt de 9,4 millions à une banque tchéco-russe, le Rassemblement national avait emprunté un million d’euros auprès de Cotelec, le micro-parti de Jean-Marie Le Pen, et pas moins de 12,6 millions d’euros auprès de particuliers, dont 7,7 millions auprès d’une seule personne. En comparaison, les prêts de particuliers représentaient à peine 1,8 million d’euros en 2016. 

Le Rassemblement national ne risque-t-il pas la banqueroute ? 

Le parti est pris dans une spirale folle de l’endettement. En sept ans, sa dette a explosé de + 785% ! Au vu des comptes du parti, je ne vois pas comment le prêt russe de 9,4 millions d’euros pourrait être remboursé dans sa totalité en septembre 2019 sans remettre en cause gravement le fonctionnement du parti. Le Rassemblement national paraît en situation de grande difficulté financière et la fermeture de ses comptes bancaires par la Société générale il y a un an semble presque logique. Quand on pense que Marine Le Pen promettait durant la campagne présidentielle de "remettre de l’ordre dans les finances publiques", cela prête à sourire. Si elle n’est même pas capable de gérer les comptes d’un parti, on la voit mal s’occuper du budget de la France. 

Source : http://challenges.fr 

lundi, 19 novembre 2018

Assimilation: Marine Le Pen souhaite l’ajout d’un prénom français pour les personnes naturalisées

Publié par Guy Jovelin le 19 novembre 2018

Par  le 18/11/2018

 

Décidément, Marine Le Pen a une affection profonde pour les questions de prénom. En 2011, elle avait critiqué le couple Sarkozy pour avoir choisi un prénom italien, Giulia, plutôt que français pour leur fille. Ce dimanche, Marine Le Pen, invitée du «Grand Jury» RTL-Le Figaro-LCI s’est dite favorable à la proposition d’un député LR d’ajouter un prénom « adapté à la culture nationale » aux personnes naturalisées françaises, assurant défendre cette proposition « depuis longtemps ».

« Ce serait bien que la naturalisation, la demande de naturalisation, puisse s’exprimer au travers de cela, mais là encore je l’ai dit depuis longtemps », a déclaré la dirigeante du Rassemblement national (RN).[…]

 

20minutes via fdesouche

samedi, 27 octobre 2018

Le « journaliste » Elkabbach ment grossièrement sur Faurisson, Marine Le Pen acquiesce (et attaque Gollnisch ailleurs)

Publié par Guy Jovelin le 27 octobre 2018

Auteur : admin4

elkabbach.jpg

Le pseudo journaliste – mais vrai militant et inquisiteur communautaire – Jean-Pierre Elkabbach recevait ces jours-ci Marine Le Pen et évoqua à un moment le professeur Faurison, récemment décédé après une vie de persécution. Mais sa mort n’arrête pas les calomniateurs.

Comment Elkabbach présente-t-il celui qui a enquêté toute sa vie sur la « possibilité technique des chambres à gaz homicides » ?

D’après lui, jusqu’à la fin de sa vie, le professeur « a nié l’existence des camps, pour lui Auschwitz n’a jamais existé » !

Un énorme bobard, évidemment volontaire de la part de ce journaliste expérimenté, qui essaye là de faire croire au grand public ignorant que Faurisson est un fou furieux qui nie l’existence des camps de concentration, ce qu’évidemment personne ne fait.

Marine Le Pen, évidemment au garde-à-vous devant le tribunal médiatique, ne bronche pas, et, espérant que le révisionnisme historique ne soit plus de mise en France, rejette cet encombrant bébé sur « les pays arabes ».

Tout le monde est content.


Par ailleurs, l’eurodéputé Bruno Gollnisch avait, à l’annonce de la mort de Robert Faurisson, déclaré simplement et honnêtement : « il paraît que ses positions sont abominables, affreuses, qu’elles ne reposent sur rien. Il devrait être facile de le prouver »,jugeant l’homme « persécuté ».

Une prise de position qui a irrité Marine Le Pen. « C’est par ce genre de déclarations que Bruno Gollnisch s’est marginalisé au sein du RN. Nous n’avons au mouvement aucune proximité ni aucune complaisance à l’égard de monsieur Faurisson, qui a fait du révisionnisme l’alpha et l’omega de son existence » a-t-elle indiqué.

On se permettra d’avoir d’autres idées concernant l’éviction de Bruno Gollnisch à la tête du Front national (Marine Le Pen parle de « RN » faisant un anachronisme).

 

Source : contre-info