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jeudi, 25 août 2016

Reprendre le pouvoir pour mener la guerre

Publié par Guy Jovelin le 25 août 2016


23 AOÛT 2016 par PIERRE JANNOT dans INTERNATIONAL



Reprendre le pouvoir pour mener la guerreMais non, mon pauvre « Normal Ier », ce n’est pas la « République » qui est attaquée cette Ré­publique qui, dans ta bouche, n’est même plus française.

Ta république, les barbares savent bien que, grâce à toi et aux tiens, elle est dans un état de déliquescence avancée.

Ce qui est visé, c’est la France éternelle, dont toi et tes congénères n’osez même plus prononcer le nom et que vous n’appelez plus que « la République », ou « ce pays », voire « l’Hexa­gone ».

Ce que nos ennemis veulent anéantir, c’est la France rayonnante, la France des cathédrales, fille aînée de l’Église, la France des rois « très chrétiens », de Clovis, de Charles Martel, de Charlemagne et de Saint Louis, de Godefroy de Bouillon et des rois francs de Jérusalem, la France chef de file de l’Occident chrétien, celle de Charles de Foucauld, de Lyautey et des moines de Tibéhirine.

Bref, la France façonnée, que tu le veuilles ou non, par quinze siècles de christianisme. Pourquoi crois-tu donc qu’ils viennent d’égorger un vieux prêtre dans son église en pleine célébration de la messe ? Le message est pourtant clair !

Certes, cette France, grande, puissante, sûre d’elle-même et fière de son passé, n’est plus que l’ombre d’elle-même.

Trente années de politiques ir­responsables en matière d’immigration, de sécurité et de justice, de défense et de politique étrangère, menées par une classe politique électoraliste, lâche, veule et sans vision en sont la cause.

Et vous avez même réussi, toi et tes complices, à effacer jusqu’à la mémoire de la grandeur passée de notre pays avec l’aide efficace d’une école que vous avez transformée en fabrique de clones analphabètes.

Mais le souvenir de cette France est tenace et c’est son fantôme qui hante les cavaliers d’Allah.

C’est cette France-là, la mienne, dans laquelle, grâce à Dieu, nombre de nos compatriotes se reconnaissent encore, dont nos ennemis veulent anéantir jusqu’au souvenir.

Et ils réussiront si nous continuons à ne nous battre qu’à coup de marches blanches, bouquets de fleurs, nounours en peluches, petites bougies et autres niaiseries larmoyantes.

Sommes-nous en guerre, oui ou non ? Si oui, menons cette guerre autrement qu’en agitant nos petits bras ; ce ne sont pas les déclarations ridicules de notre grand « chef de guerre » et les coups de menton martiaux de son acolyte, qui vont terroriser nos ennemis.

Et, tout d’abord, osons nommer les choses. En temps de guerre, des hommes qui portent les armes contre leur patrie sont des traîtres et non des « djihadistes », des « déséquilibrés » ou des « jeunes radicalisés ».

En d’autres temps, leurs complices eussent été fusillés pour intelligence avec l’ennemi.

La question qui se pose n’est pas celle de leur « déradicalisation », nouvelle tarte à la crème des sociologues télévisuels, mais celle de leur mise hors d’état de nuire. On ne fait pas la guerre à coup de bons sentiments, d’éducateurs et d’assistantes sociales mais en tapant et en tapant fort.

Par ailleurs, il est urgent que les ânes qui nous gouvernent et leur relais médiatiques complaisants, cessent de nous rebattre les oreilles avec leur sacro-saint État de droit.

Les lois du temps de guerre ne sont pas celles du temps de paix surtout lorsqu’il s’agit de se battre contre des barbares.

Alors, si, pour faire la guerre, il faut adapter notre législation, faisons-le et au diable la Cour européenne des Droits de l’Homme ! C’est notre survie qui est en jeu ; ce sont nos compatriotes qu’il faut protéger, et non leurs assassins…

Alors, reprenons notre souveraineté confisquée par une Europe impuissante. Contrôlons sévèrement nos frontières. Ouvrons d’urgence de nouvelles prisons et remplissons-les, en appliquant la « tolérance zéro ». Renvoyons chez eux tous les binationaux délinquants. Finis­sons-en avec ce stupide droit du sol qui a engendré une jeunesse qui déteste la France. Instaurons l’état de siège, si cela est nécessaire, en lieu et place d’un état d’urgence inefficace. Enfin, redonnons à nos armées et à nos forces de sécurité des moyens à la hauteur de la situation et de leurs missions.

Nous sommes en guerre, que diable ! Et il faut livrer cette guerre sans pitié, sans faiblesse et sans état d’âme. C’est à cette seule condition que nous pouvons espérer vaincre.

 

Source : les4verites