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jeudi, 02 août 2018

Meylan (38) : Adrien, 26 ans, tué d’un coup de couteau pour avoir secouru des amis agressés, Younes et Yanis El Habib sont les meurtriers présumés

Publié par Guy Jovelin le 02 août 2018

Par  le 01/08/2018

 

Dans une interview accordée au Dauphiné Libéré, les parents d’Adrien Perez – le jeune homme de 26 ans tué d’un coup de couteau dimanche matin à Meylan – évoquent longuement la mémoire de leur fils et se disent révoltés par ce drame.

Trois jeunes hommes ont été mis en examen dans cette affaire. Deux d’entre eux, Younes El Habib et Yanis El Habib, deux frères, respectivement suspectés du meurtre d’Adrien et de tentative de meurtre sur un ami d’Adrien, ont été placés sous mandat de dépôt.

« (…)  On pourra toujours organiser des marches blanches pour tenter de mobiliser l’opinion, cela ne servira à rien.  Car il y aura encore d’autres victimes : une jeune fille demain, une grand-mère ensuite. Et cela ne s’arrêtera jamais. Le niveau de violence dans l’agglomération grenobloise est inadmissible. La police et les gendarmes font tout ce qu’ils peuvent, mais la vérité, c’est que l’Etat a peur de cette minorité de personnes ultra-violentes qui terrorisent la majorité des pauvres gens dans les quartiers », estime notamment Bruno Perez, le père d’Adrien.

« Mon fils a tenté de venir au secours d’un couple d’amis qui était pris à partie par les agresseurs. C’est en venant les aider qu’il a été tué. Il a fait preuve d’héroïsme. Ni lui ni ses copains n’étaient évidemment armés, alors que les autres avaient des couteaux. Mais comment est-il possible que des gens puissent entrer dans une discothèque en étant armés ? », s’interroge, effondrée, la mère d’Adrien, Patricia. « En tuant notre fils, ils ont détruit notre vie », ajoute Bruno Perez, qui explique qu’il ne « pardonnera jamais ».

Le Dauphiné

French Lives Matter@FrenchLivesM
 
C'est avec autant de colère que de tristesse que nous ajoutons Adrien Perez, 26 ans, tué ce dimanche à par Younes El Habib et Yanis El Habib, à notre carte https://frenchlivesmatter.fr.
Source : https://www.ledauphine.com/isere-sud/2018/08/01/meurtre-de-meylan-en-tuant-notre-fils-ils-ont-detruit-notre-vie 

Meylan (38) : un jeune de 26 ans tué et deux blessés au cours d’une bagarre en boîte de nuit

Les faits se sont déroulés dans la nuit de samedi à dimanche devant la boîte de nuit Le Phoenix à côté du Carrefour Meylan. Une rixe entre plusieurs jeunes – qui aurait peut-être débuté à l’intérieur de l’établissement, mais rien n’est sûr à ce stade de l’enquête – a éclaté aux alentours de 5h30 du … Lire la suite deMeylan (38) : un jeune de 26 ans tué et deux blessés au cours d’une bagarre en boîte de nuit

jeudi, 02 novembre 2017

L'incendie des voitures de gendarmes de Meylan (Isère) revendiqué par des anarchistes féministes

Publié par Guy Jovelin le 02 novembre 2017

Par Véronique Saviuc et Gérard FourgeaudFrance Bleu Isère

 L'incendie des voitures a gagné la façade des logements de gendarmes de Meylan

L'incendie des voitures a gagné la façade des logements de gendarmes de Meylan © Radio France - Alexandre Berthaud

L'incendie des voitures de gendarmes à la caserne de Meylan dans la nuit du 25 au 26 octobre vient d'être revendiqué par un groupe féministe sur le site libertaire Indymedia, le même site où d'autres incendies ont été revendiqués ces derniers mois dans l'agglomération grenobloise.

L'incendie des voitures de gendarmes à la caserne de Meylan dans la nuit du 25 au 26 octobre vient d'etre revendiqué. Cette nuit-là, le grillage autour de la caserne avait été découpé et 4 voitures brûlées, sous les fenêtres des logements des gendarmes et de leur famille. Heureusement réveillés, ils avaient pu évacuer le bâtiment, lutter contre les flammes et personne n'avait été blessé. Mais pour le Procureur de la République de Grenoble, Jean-Yves Coquillat, "Nous aurions pu avoir des blessés, voire des morts".

 

L'incendie a été revendiqué sur Indymedia, le même site où d'autres groupuscules se sont attribués les actions contre la gendarmerie de Grenoble en septembre, contre des véhicules d'Enedis en mai et le saccage de 185 composteurs du réseau TAG en avril dans l'agglomération grenobloise.

L'article raconte comment un groupe de femmes auraient incendié les voitures pour exprimer leur "revanche contre la société". Dans ce communiqué, il est écrit : " Nous ne voulons pas rester dans la position de victimes dans laquelle la société voudrait nous placer comme meufs (femmes en verlan)". Elles disent plus loin qu'elles veulent lutter contre "le sexisme et contre le genre".

Les enquêteurs prennent cette revendication au sérieux

Elles expliquent qu'elles auraient commencé par cadenasser les grilles, puis elles auraient versé 10 litres d'essence sur les véhicules personnels des gendarmes. Pourquoi les voitures personnelles ? Parce qu'elles avaient "envie de s'attaquer aux individus" , partant du principe que si personne n'a envie de devenir gendarmes, il n'y aurait plus de gendarmes, ce qu'elles souhaitent.

Cela ne prouve pas que les signataires du communiqué soient les auteurs de l'incendie. Mais les enquèteurs prennent cette revendication très au sérieux. A cause aussi des autres incendies déjà revendiqués sur ce site anarchiste.

 

Source : francebleu.fr

mercredi, 01 novembre 2017

Gendarmerie incendiée de Meylan : l’impunité antifa se paie cash…

Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2017

La milice auxiliaire du régime, certaine de son impunité, passe au cran au-dessus. Cette fois, à Meylan, dans la banlieue de son fief de Grenoble, la vermine rouge s’en est prise directement aux familles des gendarmes, en faisant un trou dans le grillage à la cisaille et pénétrer nuitamment dans l’enceinte non pas de la gendarmerie elle-même, mais des immeubles de l’allée des Frênes, où vivent les neuf familles des militaires, soit 24 personnes.

Dans la nuit du 25 au 26 octobre (plus exactement à 3 heures du matin), un incendie s’est déclaré à la caserne de gendarmerie de Meylan. Les gauchistes ont mis le feu à 3 véhicules, crevé les pneus d’un autre et ont cadenassé le portail donnant accès au parking afin de ralentir les secours. Ce sont des véhicules personnels des gendarmes qui ont été visés : « Les gendarmes ont été réveillé par les odeurs de fumée, elles provenaient de dessous les bâtiments où sont logés les militaires et leurs familles Les occupants des logements ont été évacués et le feu a été rapidement maîtrisé par les pompiers. Les véhicules visés sont des véhicules civils, qui appartiennent aux familles. C’est un nouveau cap qui est franchi » déclare le colonel Yves Marzin. Selon le maire de la ville, Jean-Philippe Blanc : « Deux voitures ont pris feu sous l’auvent de l’immeuble, ce qui a provoqué l’incendie de la façade. Des fenêtres ont fondu, d’autres ont explosé, mais la fumée n’est pas rentrée dans les appartements, il ne devrait heureusement pas y avoir de relogement ». Les services techniques de la ville sont mobilisés pour rétablir l’eau et l’électricité.

Pour le général Olivier Kim, commandant la région de gendarmerie de Bourgogne-Franche-Comté :

« les événements sont récents, donc bien sûr il y a une véritable émotion, mais on ne doit pas céder à l’émotion, simplement en regardant l’histoire. Au cours de la guerre d’Algérie, certaines gendarmeries étaient l’objet d’attaques. Dans certaines régions de France, des mouvements séparatistes s’en sont parfois pris aux gendarmeries. Il faut réagir avec sang-froid, et ne pas tomber dans une paranoïa qui nous gênerait dans l’exécution de nos missions. En un mot, la gendarmerie continue de protéger ses concitoyens, comme elle le faisait avant ce type d’événement ».

C’est la deuxième fois en un mois que des locaux militaires isérois sont ciblés par des incendies, selon le même mode opératoire. Le 21 septembre, c’est la gendarmerie de Grenoble qui a été touchée, plus exactement les locaux techniques du groupement de gendarmerie de l’Isère. Un feu revendiqué par des membres de la mouvance anarcho-libertaire sur le site internet Indymedia. Rappelons que cet incendie a opportunément détruit une partie des éléments d’enquête sur la disparition de la petite Maëlys de Araujo…

Déjà à Limoges, le 19 septembre, cinq véhicules garés sur un parking de la caserne Jourdan, abritant le groupement de gendarmerie de la Haute-Vienne, avaient été détruits par les flammes. Dans les deux cas, la mouvance liée à l’extrême-gauche est suspectée d’être à l’origine de ces incendies, qui coïncident avec ceux ayant visé la société Enedis, qui installe les compteurs électriques Linky, à Grenoble et à Limoges.

Au moment des faits, le Figaro avait indiqué que la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) s’inquiétait du risque de dérives de certaines factions de l’ultragauche et redoutait un scénario analogue à celui qui vit la formation du groupe terroriste Action Directe, formé et entraîné par le KGB avec quelques piges pour le Mossad…

Il n’est pas étonnant que dans une ville détenue par l’extrême gauche comme Grenoble, la vermine se sent chez elle. Assurés de l’impunité gouvernementale, les nervis rouge et noir (non, il ne s’agit pas de hooligans de l’OGC Nice ou du Stade Rennais) ont attaqué le 25 septembre des militants royalistes. Le 29 juin, leur torchon La Horde lançait la chasse à notre camarade Alexandre Gabriac, le tout aboutissant aux épisodes que l’on sait à Fontaine. Puisqu’on parle de La Horde, ces derniers se sentent menacé par le développement de la résistante catholique à Chambéry, citant même dans un article votre serviteur (nous en reparlerons).

Rappelons aussi qu’il y a quelques années (en 2011-2012 je pense), des blattes courageusement anonymes avaient fiché les mouvements patriotes, avec également publication des photos des enfants des militants, précisément dans la région de Grenoble.  Ce n’est pas d’aujourd’hui que datent les problèmes. Déjà, le 20 avril 1944, à Voiron, on tuait les bébés de 15 mois pour crime de filiation…

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info