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mardi, 15 mars 2016

De l’utilisation politique des subventions

Publié par Guy Jovelin le 15 mars 2016

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14/03/2016 – POLITIQUE (NOVOpress)
Le ministère de la Culture envisage de suspendre sa subvention aux Chorégies d’Orange. En cause, le « coup de force » de la municipalité de Jacques Bompard (Ligue du Sud) sur le festival. Une décision en forme de vengeance politique.

Le ministère de la Culture a confirmé qu’il souhaite faire respecter « les règles de gouvernance » des Chorégies d’Orange et pourrait suspendre la subvention qui représente 6 à 7 % du budget du festival lyrique. « La ministre Audrey Azoulay constate qu’il y a une situation qu’elle considère comme anormale et, en accord avec Christian Estrosi (le président Les Républicains de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur), elle en tirera les conséquences en tout début de semaine », a déclaré à l’AFP un porte-parole du ministère. Audrey Azoulay et Christian Estrosi « ont échangé samedi sur le sujet et sur la conduite à tenir dans cette affaire »

En cause, le présumé « coup de force » de la municipalité sur la direction du festival. L’affaire remonte à janvier, lorsque le député Thierry Mariani avait annoncé sa démission de la présidence du festival. Selon les statuts de l’association, il revient à Marie-Thérèse Galmard, adjointe à la vie sociale à la mairie, d’assurer l’intérim de la présidence, avant que le conseil d’administration élise un nouveau président. Mais Marie-Thérèse entend rester à la présidence jusqu’à la fin du mandat de Thierry Mariani en 2018, selon le directeur général du festival, Raymond Duffaut, qui a annoncé vendredi sa démission pour dénoncer « ce coup de force ».

« On a une position simple : l’équipe dirigeante des Chorégies a été élue à l’unanimité. Le président démissionne et le texte dit que quand le président est empêché, c’est la vice-présidente qui préside », a pour sa part déclaré dimanche le maire d’Orange, Jacques Bompard. « Il y a un accord [avec le ministère] valable encore deux ans, donc (en menaçant de suspendre les subventions), la ministre affirme qu’elle méprise la loi », a-t-il ajouté. « Par ailleurs, est-ce que la ministre va rembourser toutes les subventions de la ville aux Chorégies depuis 20 ans ? » s’est-il interrogé.

Un bel exemple de chantage politique aux subventions et de l’alignement de Christian Estrosi sur les positions du PS à qui il doit sa victoire aux régionales.

 

Source : http://fr.novopress.info/

lundi, 15 février 2016

Audrey Azoulay, la nouvelle ministre de la Culture, huée lors de sa première sortie publique



 

audrey_azoulayAudrey Azoulay, la nouvelle ministre de la Culture huée lors de sa première sortie publique à la 31e édition des Victoires de la musique, au Zénith de Paris.

Virginie Guilhaume, co-présentatrice de l’événement, a souhaité signaler sa présence au micro:

«J’aimerais saluer la présence ici de Madame la ministre de la Culture et de la Communication, Audrey Azoulay, qui nous fait l’honneur de sa première soirée publique».

Aussitôt, des huées ont été poussées dans la salle.

 

Source : http://www.medias-presse.info/

lundi, 05 mai 2014

Fontainebleau : le théâtre Napoléon III rebaptisé Cheick Kahlifa Bin Zayed Al Nahyan !

 1472005532.jpgYves Darchicourt

C'était le "Théâtre Impérial" ou encore le "Théâtre Napoléon III", un des derniers théâtre de cour ouvert en 1857 dans l'aile Louis XV du château de Fontainebleau et invisible au public pour cause de restaurations à effectuer. Une illustration supplémentaire des inconséquences de notre ministère des "cultureux" qui épuise ses maigres dotations à subventionner de préférence la dégénérescence ou l'art métissé et qui en est réduit à mendier pour sauvegarder notre patrimoine civilisationnel.

Et bien depuis mercredi dernier, il est possible de voir le fort beau résultat de deux ans de travaux qui rendent ce théâtre accessible aux visiteurs en l'attente d'une réouverture à l'organisation de spectacles après réaménagement de la scène et des espaces supérieurs.

Une fort belle et bonne chose que la rénovation de ce bijou architectural témoin du savoir-faire ancestral de nos artisans d'art. Sauf que dans ce cas le ministère de la culture a dû faire appel au mécénat et quémander une aide...si généreusement accordée par les Emirats Arabes Unis que le théâtre porte désormais le nom de leur "président" ! Ce qui est contraire aux usages en France où en règle générale le nom ou les noms des généreux donateurs apparaissent simplement sur une plaque apposée à l'entrée des lieux.

Ce fut une condition sine qua non imposée par les pétroliers de sables pour débloquer 5 millions€, le "Théâtre Impérial Napoléon III" est si l'on ose dire rebaptisé "Cheick Khalifa Bin Zayed Al Nahyan", ce qu'un nommé Hébert, président de l'établissement public du Château de Fontainebleau "ne trouve pas choquant". Mercredi dernier, en présence d'un Cheick Sultan dégoulinant de satisfaction méprisante, la Filippetti (ministre de la culture de Valls) n'a eu aucune honte à encenser "la profondeur des relations qui unissent la France et les Emirats" ! On sait depuis Vespasien que l'argent n'a pas d'odeur, pas même celui du pétrole ou des camélidés ; mais quand même, soumettre la conservation de notre patrimoine aux appétits de satrapes levantins et s'en féliciter est limite scandaleux. D'autant que les émirs chameliers - enrichis par un pétrole dont ils ignoraient l'existence même il y a peu - et si étrangers à notre culture qu'au fond ils méprisent, sont les suppôts les plus farouches de l'islamisation du continent européen en général et de la France en particulier où ils "investissent" à tour de bras dans tous les domaines comme pour marquer le territoire destiné à devenir terre d'Islam. Faire d'un émir musulman d'Arabie l'éponyme d'un élément de notre patrimoine historique et culturel est bien évidemment un petit pas en avant supplémentaire vers l'islamisation de notre patrie. Alors exigence de conquérant et/ou trahison de collabo, le résultat est le même et va bien au-delà de l'anecdote: la France entre en dhimmitude. Rassemblement Résistance Reconquête.