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dimanche, 30 septembre 2018

Exemples de persécution des chrétiens dans le monde, rapport de mars 2018

Publié par Guy Jovelin le 30 septembre 2018

• Si l’on veut un minimum de paix entre musulmans et chrétiens, aucune église ne doit exister dans le village, ont dit les musulmans. « Les seuls lieux de culte qui peuvent être construits dans ce village sont des lieux de culte musulmans pour Allah. » – Watan International, Égypte.

• « Les Shebab font maintenant la chasse aux enfants à Mogadiscio, et nous avons déplacé le centre de soins dans un endroit un peu plus sûr… Les enfants semblent accablés et malnutris, c’est pourquoi, en tant qu’Eglise secrète, nous appelons nos frères et sœurs du monde libre à envisager de tendre la main à ces enfants persécutés. » – Pasteur d’une église clandestine, Somalie.

• « Il semble que les musulmans cherchaient délibérément la bagarre avec nous. » – Pasteur de l’église du Roi Jésus, Pakistan.

Pakistan, Lahore : Une chrétienne sur le point d’accoucher arrive à l’hôpital. La doctoresse de garde est en train de pianoter sur son téléphone en sirotant son thé : elle lui dit d’attendre dehors. Au bout d’un moment, les douleurs s’accentuent et la patiente revient. La doctoresse l’insulte, la patiente proteste, la doctoresse la gifle et la jette à terre : comment une mécréante ose-t-elle contester ses ordres ? Entendant le bruit, la famille veut intervenir. La doctoresse crie pour alerter ses collègues et les agents de sécurité. Au total, près de 30 personnes se ruent sur les chrétiens avec des barres de fer, des chaises, etc. Ensuite, la plupart des agresseurs décampent. Les hommes sont grièvement blessés, le frère de la femme enceinte meurt de ses blessures, sans que les médecins restants lui prêtent la moindre attention. Et pourtant les médecins sont censés être des personnes éduquées, qui ont prêté serment de sauver des vies sans distinction de caste, de couleur ou de religion.

[L’article cite encore d’autres exemples de discrimination, de persécution, d’agressions : Pakistan - Nigeria - Egypte - Irak - Somalie - Turquie - Indonésie - Algérie - Ouganda - Arabie Saoudite. À la fin, liens vers les rapports des mois précédents.]

[N. d. t. : Contrairement au titre anglais, les persécuteurs ne sont souvent pas des extrémistes, mais des musulmans ordinaires.]

Source : Gatestone Institute

Extraits traduits par Cenator pour LesObservateurs.ch

Voir aussi : Index mondial de persécution des chrétiens

vendredi, 20 mars 2015

Persécution politico-judiciaire : Alexandre Gabriac condamné à deux mois de prison ferme et une lourde amende

 Publié par Guy Jovelin

Le fondateur des Jeunesses nationalistes (JN) a été condamné ce jeudi à deux mois de prison et 4.000 euros d’amende pour une prétendue « manifestation interdite » le 29 septembre 2012 à Paris. Alors que tous les rassemblements du mouvement nationaliste s’étaient jusque-là déroulés dans le calme le plus parfait, le préfet antifrançais de Lyon Jean-François Carenco avait commencé à interdire arbitrairement les manifestations des Français, rapidement suivi par son congénère de Paris, sur les ordres directs de Manuel Valls et de lobbies étrangers.

La répression et les actes dictatoriaux ne faisaient que commencer : moins d’un an plus tard, prenant le prétexte d’une agression d’un gang antifasciste contre des patriotes, dont aucun n’était membre des Jeunesses nationalistes, Manuel Valls avait fait interdire le mouvement ainsi que l’Œuvre française.

Le jour et à l’heure dits de la manifestation interdite, Alexandre Gabriac se trouvait dans un bar éloigné du lieu de rassemblement prévu avant l’interdiction. C’est alors que d’importantes forces de leur police politique avaient surgi et avaient violemment agressé le chef des Jeunesses nationalistes. Interpellé, il avait été placé durant de longues heures en garde à vue.

À travers la capitale, la tchéka avait raflé tout ce qui ressemblait à des patriotes, soit 57 personnes en tout, sans raison, et aucune n’avait été poursuivie.

La manifestation interdite avait pour but de dénoncer les zones de non-droit et le racisme anti-blanc. Les nationalistes savent aujourd’hui qu’à la longue liste des cités occupées il faut ajouter les tribunaux qui devront eux aussi être délivrés d’une présence antifrançaise particulièrement nocive et désastreuse pour notre pays. Rappelons que ce sont des juges parisiens qui, il y a quelques jours, ont fait relâcher deux islamistes partis égorger des innocents en Syrie avec l’État islamique (ÉI).

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