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dimanche, 22 octobre 2017

Haute-Garonne : Ils appellent leur petit garçon... Jihad

Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2017

Le petit Jihad est né le 2 août. Photo d'illustration CC-By Fabrizio Salvetti

 Le petit Jihad est né le 2 août. Photo d'illustration CC-By Fabrizio Salvetti

Le choix du prénom de leur petit garçon ne fait pas l'unanimité. En août, deux parents vivant à Léguevin, dans la banlieue de Toulouse, ont décidé d'appeler leur garçon... Jihad, comme le révèle Actu Toulouse.

Dans le contexte d'attentats terroristes que connaît actuellement la France, la mairie de Toulouse, où la maman a accouché, a décidé de signaler le prénom au procureur de la République. Ce dernier pourrait saisir un juge s'il estime que le prénom est contraire à la loi. Et les parents devront ainsi trouver un nouveau prénom à leur enfant.

Jihad ne signifie pas "guerre sainte"

Le site d'actualités locales précise cependant que Jihad, bien que rare et peu usité en France, n'est pas un prénom nouveau. Et que, contrairement aux idées reçues, il ne signifie pas, en arabe, "guerre sainte".

Il signifie en réalité "abnégation", "effort", ou "lutte". Dans le contexte actuel, on peut néanmoins s'interroger sur le bien-être de l'enfant, qui devrait porter et assumer un tel prénom.

L'ÉTAT CIVIL PEUT-IL REFUSER UN PRÉNOM?

La réponse est non. En revanche, l'administration, si elle estime que le prénom est contraire à la loi, peut saisir le procureur de la République. Il s'agit d'un contrôle a posteriori, et l'officier d'état civil doit enregistrer le ou les prénoms choisis par les parents.

Que dit la loi ? Comme le dispose l'article 57 du Code civil: "Lorsque ces prénoms ou l’un d’eux, seul ou associé aux autres prénoms ou au nom, lui paraissent contraires à l’intérêt de l’enfant ou au droit des tiers à voir protéger leur nom de famille, l’officier de l’état civil en avise sans délai le procureur de la République. Celui-ci peut saisir le juge aux affaires familiales."

Le juge peut ensuite décider de supprimer le ou les prénoms contestés.

 

Source : ledauphine

vendredi, 18 novembre 2016

Nice : un couple appelle son fils Mohamed Merah

Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2016

18 novembre 2016 par Pierrot

Bébé Merah

A noter : la République menace certaines familles catholiques de retirer l’autorité parentale pour des broutilles. Il faudra suivre l’affaire pour vérifier qu’une enquête est bien diligentée contre cette famille admirative du terroriste.

Nice compte depuis début novembre un nouvel habitant, un petit garçon prénommé « Mohamed, Nizar Merah ».

Un choix de prénom très peu apprécié des édiles, pour qui la référence à l’auteur des actes terroristes survenus à Toulouse et Montauban en 2012 est particulièrement malvenue et « susceptible d’être contraire à l’intérêt » de l’enfant.

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