Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 12 juin 2018

L’idéologie du « genre » : le refus de la réalité

Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2018

enceinte,état civil,idéologie du genre,lgbt,transexuelleOn vit une époque renversante ! La réalité est niée et l’utopie érigée en certitude.

Une histoire survenue en Grande-Bretagne illustre parfaitement cette révolutionphilosophique et anthropocentrique qui corrompt l’intelligence et la société, et mène à la déconstruction de l’humanité.

Une femme veut devenir un homme et faire changer son inscription à l’état civil. Elle commence le processus clinique et bureaucratique de changement de sexe. Entre-temps elle est enceinte et accouche. Après la naissance du bébé, cette femme, désormais pour l’État britannique « homme », veut que sur l’acte de naissance de son enfant elle apparaisse comme « lui ». Le système juridique anglais évidemment ne le permet pas puisque seules les femmes accouchent.

La mère de l’enfant n’est pas d’accord. Elle débute un procès contre l’administration britannique en soutenant qu’avoir été enregistrée comme « mère » « viole son droit humain au respect pour la vie humaine et familiale » et qu’il s’agit « d’une interférence disproportionnée et non nécessaire à la lumière des changements survenus dans la société ». Face à l’objection que seule les femmes peuvent concevoir et accoucher, l’avocat de cette transsexuelle a répliqué que c’est désormais une pratique que les transsexuels puissent conserver certaines fonctions reproductives de l’ancien sexe. Donc les « hommes » transsexuels peuvent accoucher !

Cette histoire d’outre-Manche est la synthèse des aberrations monstrueuses échafaudées par la société nihiliste contemporaine : la réalité n’est plus reconnue comme telle mais n’est que le fruit de la volonté humaine, volonté qui, dans un délire d’omnipotence, ne doit connaître aucune limite. Les règles naturelles sont ainsi subverties par le désordre moral ambiant, chaque désir est élevé en droit. Et puisque est vrai tout et son contraire, alors la vérité n’existe pas : c’est le summum du nihilisme. La personne devient le centre de l’univers et elle est l’architecte de sa propre vérité, du moins cela est-il vrai pour les déjà nés, les sains, les protégés du politiquement correct. L’État est assujetti aux vouloirs des citadins mais pas de tous les citadins. Ce sont les modes qui font la vérité, Dieu et ses lois sont remisés au placard.

Le monde que veulent et préparent les Lgbt, le politiquement et sexuellement correct, défie dans un geste de révolte la Création divine ! Ce n’est que la continuité de la première révolte de Lucifer…

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

dimanche, 22 octobre 2017

Haute-Garonne : Ils appellent leur petit garçon... Jihad

Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2017

Le petit Jihad est né le 2 août. Photo d'illustration CC-By Fabrizio Salvetti

 Le petit Jihad est né le 2 août. Photo d'illustration CC-By Fabrizio Salvetti

Le choix du prénom de leur petit garçon ne fait pas l'unanimité. En août, deux parents vivant à Léguevin, dans la banlieue de Toulouse, ont décidé d'appeler leur garçon... Jihad, comme le révèle Actu Toulouse.

Dans le contexte d'attentats terroristes que connaît actuellement la France, la mairie de Toulouse, où la maman a accouché, a décidé de signaler le prénom au procureur de la République. Ce dernier pourrait saisir un juge s'il estime que le prénom est contraire à la loi. Et les parents devront ainsi trouver un nouveau prénom à leur enfant.

Jihad ne signifie pas "guerre sainte"

Le site d'actualités locales précise cependant que Jihad, bien que rare et peu usité en France, n'est pas un prénom nouveau. Et que, contrairement aux idées reçues, il ne signifie pas, en arabe, "guerre sainte".

Il signifie en réalité "abnégation", "effort", ou "lutte". Dans le contexte actuel, on peut néanmoins s'interroger sur le bien-être de l'enfant, qui devrait porter et assumer un tel prénom.

L'ÉTAT CIVIL PEUT-IL REFUSER UN PRÉNOM?

La réponse est non. En revanche, l'administration, si elle estime que le prénom est contraire à la loi, peut saisir le procureur de la République. Il s'agit d'un contrôle a posteriori, et l'officier d'état civil doit enregistrer le ou les prénoms choisis par les parents.

Que dit la loi ? Comme le dispose l'article 57 du Code civil: "Lorsque ces prénoms ou l’un d’eux, seul ou associé aux autres prénoms ou au nom, lui paraissent contraires à l’intérêt de l’enfant ou au droit des tiers à voir protéger leur nom de famille, l’officier de l’état civil en avise sans délai le procureur de la République. Celui-ci peut saisir le juge aux affaires familiales."

Le juge peut ensuite décider de supprimer le ou les prénoms contestés.

 

Source : ledauphine

vendredi, 15 mai 2015

Lu dans Nice Matin :

Publié par Johanna 

10408039_904029152996179_5452242033168038668_n.jpg

 

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/