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mercredi, 15 août 2018

Toulouse : Un an ferme en comparution immédiate pour Adel, le cambrioleur de vieilles dames

Publié par Guy Jovelin le 15 août 2018

 

Par  le 14/08/2018
 

Lundi 6 août, à 7 heures du matin, Danielle, 78 ans, a entendu du bruit au rez-de-chaussée de sa maison, dans le quartier des Chalets. « Je pensais que c’était les tortues dans leur terrarium qui ont l’habitude de bouger des cailloux », poursuit-elle.

Cependant, en descendant, elle est tombée nez à nez avec Adel, un jeune homme de 19 ans, « certainement entré par le jardin mitoyen ou en escaladant son portail ». Dans la confusion, Adel a tenté de s’emparer du véhicule de Danielle, garé dans sa cour : « J’étais montée chercher mon téléphone pour appeler la police, mais je me suis trompée de numéro. Alors quand j’ai entendu la voiture se mettre en marche, je suis allé fermer le portail pour l’empêcher de partir avec. Il a reculé plusieurs fois dedans pour le casser », poursuit Danielle.
(…) le jeune homme s’est échappé avec deux ordinateurs portables, une tablette, des bijoux et des foulards d’une grande valeur : « J’en avais un depuis 65 ans. Je l’avais gagné après une course équestre à La Cépière. L’autre, c’est un souvenir de ma mère décédée en 1997, ils ont une grande valeur sentimentale ». Les dégâts ont rendu son véhicule inutilisable.

Dans la foulée de ce home-jacking, l’individu a récidivé quelques rues plus loin, chez une autre vieille dame. Cette dernière l’a également fait fuir. Il ne lui a rien volé. Il a été arrêté dans un squat boulevard des Minimes, le même jour.

Il a comparu détenu aux audiences des comparutions immédiates du tribunal correctionnel de Toulouse. La procureure de la République requiert un an de prison ferme avec maintien en détention : « Les victimes ont beaucoup de courage et de cran, les faits sont très désagréables ».
(…) Il est finalement condamné à un an ferme assorti d’un maintien en détention.

www.ladepeche.fr via fdesouche

jeudi, 17 juillet 2014

Prison ferme pour Anne-Sophie Leclère : la dictature antiraciste franchit un nouveau cap

Publié par Guy Jovelin

Christiane Taubira s’est tue quand une Blanche a été violée et battue collectivement par plusieurs Afro-Maghrébins à Évry le 30 mars 2014, comme l’ensemble de la classe politique. Trois mois et demi après les faits, plus aucun média – pour ceux qui en avaient parlé – n’évoque ce crime.

Un silence qui tranche avec la surmédiatisation des persécutions contre l’ancienne tête de liste du Front national (FN) à Rethel Anne-Sophie Leclère qui, pourtant, n’avait que publié sur un compte Facebook peu fréquenté une image à caractère humoristique mettant en scène un singe et Christiane Taubira.

Cette dernière avait feint de ne pas se préoccuper de l’affaire : se plaçant dans une position victimaire chère à son peuple, elle affirmait ne pas « vouloir en faire un feuilleton ». Elle s’était pourtant servie de ce simple visuel pour créer de toutes pièces une affaire aux rebondissements très étudiés : ovation à l’Assemblée antinationale, tribune dans Libération et, bien entendu, une plainte ordonnée par la ministre de la Justice du gouvernement d’occupation via le mouvement antifrançais Walwari à son propre sujet. La séparation des pouvoirs n’est pas le fort du Parti socialiste et de ses alliés. Un Français ne peut pas porter plainte contre un ministre par les voies ordinaires, mais un ministre le peut, avec l’ensemble des moyens du système, pour écraser un citoyen qui refuse l’invasion de sa terre, la destruction de la famille et la décadence de son pays dans une vendetta menée au nom de l’anti-France.

Cette bataille de l’offensive antiraciste s’est achevée hier à Cayenne. Alors que les prétendus faits avaient été commis en métropole, c’est dans le fief de Christiane Taubira, qui en revendique l’indépendance contre la France, que s’est déroulé le procès d’Anne-Sophie Leclère.

Elle a écopé mardi de neuf mois de prison ferme et 5 ans d’inéligibilité et 50.000 euros d’amende.

La violence de cette condamnation est extraordinaire, quand on se souvient qu’en janvier, le violeur d’une handicapée à Nice avait écopé de 6 mois de prison et que cinq hommes ont été relaxés après le viol collectif d’une personne déficiente mentale à Chalais.

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