Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 19 mars 2018

Saint-Denis (93) : des clandestins et des militants d’extrême-gauche envahissent la basilique, la messe du dimanche soir annulée

Publié par Guy Jovelin le 19 mars 2018

Le collectif Coordination des sans-papiers a investi le lieu de culte pour protester contre le projet de loi « Asile Immigration » du gouvernement. Ils ont été évacués par les forces de l’ordre.

Environ 80 personnes ont investi la Basilique de Saint-Denis ce dimanche vers 15 heures en soutien aux migrants et sans-papiers. Le collectif Coordination des sans-papiers a déployé une banderole pour dénoncer le projet de loi « Asile – Immigration » porté par le gouvernement. […] Après plus d’une heure, les manifestants ont été évacués par la police. Un homme, qui s’opposait à l’entrée des fonctionnaires, a été arrêté. Le cortège s’est alors rendu devant le commissariat, en présence du député (FI) Eric Coquerel. Suite à l’incident, la Basilique a été fermée vers 17h30, sous la vigilance d’un fourgon de police pour s’assurer que les manifestants ne reviennent pas. La messe du dimanche soir a été annulée. […]

Le Parisien

L’article Saint-Denis (93) : des clandestins et des militants d’extrême-gauche envahissent la basilique, la messe du dimanche soir annulée est apparu en premier sur Fdesouche.

 

Extrait de: Source et auteur via lesobservateurs

samedi, 04 novembre 2017

Chronopost ne livre plus dans certains quartiers de Saint-Denis

Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2017

Ivan Capecchi|03 novembre 2017, 20h18

Saint-Denis. Le quartier du Franc-Moisin fait partie des zones qui ont connu des problèmes de livraison ces derniers mois. LP/G.B.

Depuis plusieurs mois, des habitants ayant utilisé le service Chronopost se plaignent de ne pas être livrés à leur domicile. « Priorité à la sécurité de nos chauffeurs », répond en substance l’entreprise qui a blacklisté les zones qu’elle juge sensibles.

Cité du Franc-Moisin, quartier Delaunay-Belleville… Depuis plusieurs mois, des habitants de Saint-Denis se plaignent de ne pas recevoir, à leur domicile, des colis commandés via Chronopost. Dans un courrier adressé à la mairie à l’été, courrier que nous nous sommes procuré, le PDG de cette filiale du groupe La Poste s’en explique. Il invoque des problèmes d’insécurité : « Durant l’année 2016, sur le territoire national, 51 de nos chauffeurs ont été victimes de vols avec violence(s) ». Et de préciser que, le 4 janvier 2017, un chauffeur a été « agressé par trois individus » à Saint-Denis. « Ceinturé » puis « immobilisé contre un mur », le livreur aurait reçu des coups de poing, avant d’être défaussé d’une partie de sa marchandise. Pour prévenir de tels risques, l’entreprise aurait dressé une « liste » de quartiers jugés sensibles à éviter.

Madjid Messaoudene, conseiller municipal délégué à l’égalité des droits, ne se satisfait pas de cette explication. Même s’il dit entendre l’argument sécuritaire, il ne peut constituer la « seule réponse ». « On ne peut pas, dit-il, condamner tout un secteur parce qu’un livreur a été agressé. » « Pourquoi devrait-on payer pour les bêtises des autres ? », renchérit Aïcha*, une habitante du quartier Franc-Moisin. Elle aussi a connu des problèmes de livraison. La première fois, c’était il y a environ un an et demi. Après avoir passé une commande, elle finit par « recevoir un message lui disant qu’elle devait récupérer son colis dans un point relais » alors qu’elle avait « bien précisé qu [’elle] souhaitait le recevoir chez [elle] ».

Situation similaire pour Thomas, un habitant du quartier Delaunay-Belleville. Par deux fois, il a tenté de commander des couches sans qu’elles ne parviennent jusqu’à chez lui. Le 16 mars, il a décidé d’interpeller la société via Twitter afin de réclamer la « liste officielle » des quartiers considérés comme sensibles. En message privé, l’entreprise lui rétorque que « cette liste n’est pas à la disposition [des] clients dans la mesure où elle est en constante évolution ».

Un peu court pour Madjid Messaoudene qui, lui aussi, demande l’accès à cette fameuse liste. Ne serait-ce, dit-il, que pour avoir un aperçu de l’étendue des problèmes. De son côté, Thomas a saisi Christian Raoult, délégué du Défenseur des droits en Seine-Saint-Denis, pour qu’il statue sur son cas. Si le défenseur des droits ne peut pas rendre d’avis contraignant, il émet une expertise juridique ainsi que des recommandations. « Nous nous réservons le droit de saisir, nous aussi, le défenseur des droits », réagit pour sa part Madjid Messaoudene. Contacté, Chronopost n’a pas été en mesure de répondre à nos questions.

*Le prénom a été modifié.

Comment l’entreprise définit ses zones sensibles

Dans son courrier adressé à la mairie pour justifier la réduction de ses services, Chronopost donne un début d’explication quant à la façon dont elle détermine une zone à risques pour ses livreurs. L’entreprise indique par exemple que sa « Direction Sûreté, régulièrement en relation avec les autorités de police, est amenée à vérifier […] les risques potentiels ou réels des opérations de livraison ». Si restriction de services il y a, Chronopost assure toutefois en limiter l’impact « à une ou plusieurs rues, […] en évitant de l’étendre à des quartiers entiers ». « Notre entreprise et nos chauffeurs, précise toutefois la société, ne peuvent […] feindre d’ignorer la réalité de terrain, et les risques qui sont en rien hypothétiques. »

 

Source : leparisien

lundi, 21 août 2017

Saint-Denis : un lance-roquettes et des explosifs saisis dans une cité

Publié par Guy Jovelin le 21 août 2017 

Des armes à feu, des kilos de cannabis, du matériel de police et de l'argent liquide ont également été retrouvés. Un gardien d'immeuble a été entendu par la police.

SOURCE AFP
Publié le  | Le Point.fr
La police a saisi un lance-roquettes et des explosifs dans une cité de Saint-Denis. (Illustration)
La police a saisi un lance-roquettes et des explosifs dans une cité de Saint-Denis. (Illustration) © AFP/ LOIC VENANCE
La police a saisi un lourd arsenal jeudi 17 août dans une cité de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Un lance-roquettes, des explosifs, du matériel de police, plusieurs kilos de cannabis ont été retrouvés et un gardien au moins a été entendu par les autorités, a-t-on appris dimanche auprès d'élus locaux. La saisie a eu lieu dans la cité Jacques-Duclos, minée par le trafic de drogue, a déclaré à l'Agence France-Presse Stéphane Peu, le député (PCF-LFI) de la circonscription, confirmant une information du Parisien.

mercredi, 15 février 2017

Saint-Denis (93) : l’université musulmane veut doubler sa capacité d’accueil

Publié par Guy Jovelin le 15 février 2017 

 

Hebergeur d'image

Quelques étudiants discutent calmement dans le dédale de couloirs étroits. D’autres se concentrent sur leur copie, dans les salles de classe. Dans la minuscule bibliothèque tapissée d’ouvrages, c’est la même ambiance studieuse. Janvier est une période d’examens à l’Institut européen des sciences humaines (IESH) de Saint-Denis.

Son nom ne le dit pas, mais l’établissement est l’un des principaux centres de formation musulmans privés en France, et dispense des cours de langue arabe et de théologie à des étudiants post-bac. Il est installé depuis 2001 dans les anciens locaux d’une entreprise de matériel photographique, boulevard de la Libération. Mais les bâtiments, situés entre la gare SNCF et la Seine, sont devenus trop étroits, à en croire Ahmed Jaballah, fondateur de l’Institut (et ancien président de l’Union des organisations islamiques de France).

En quinze ans, souligne-t-il, l’IESH est passé de 180 inscrits à près de 1 500, parmi lesquels de jeunes étudiants, mais aussi un public plus âgé d’imams, de responsables associatifs…

La direction de l’établissement veut donc s’agrandir, avec un projet d’extension et de rénovation estimé à plus de 10 M€. D’après Ahmed Jaballah, le futur campus permettrait de doubler la capacité d’accueil. « Nous ne pouvons pas actuellement satisfaire la forte demande d’inscriptions car nous manquons de salles de cours et de bureaux. Notre salle de conférences est trop petite, tout comme notre bibliothèque qui rassemble 17 000 ouvrages », énumère le doyen.

Le projet prévoit la construction de deux nouveaux bâtiments. L’un dédié à l’enseignement, avec un auditorium et un amphithéâtre. Le second, plus petit, pourrait être loué pour des activités tertiaires (bureaux, librairie, salle de sport, centre médical…), et constituer une source de revenus pour l’association gérant l’IESH. Celle-ci indique aujourd’hui s’appuyer principalement sur les frais d’inscription pour couvrir ses dépenses de fonctionnement. Mais elle doit en appeler aux dons pour boucler son budget — une quarantaine de professeurs, salariés, vacataires ou bénévoles travaillent au sein de l’IESH. Mais elle semble optimiste sur sa capacité à financer les travaux à venir.

Aucune demande de permis de construire n’a encore été déposée, même si des discussions ont été amorcées dès 2011 avec les services techniques de la ville, « Des détails techniques restent à régler », indique l’IESH. La municipalité, qui a refusé de répondre à nos sollicitations, a toutefois indiqué ne pas s’opposer à la délivrance du permis de construire si le projet s’il respecte les règles d’urbanisme.

Dans l’immédiat, l’association a acquis un pavillon à La Courneuve, pour y loger quelques étudiants. A Saint-Denis, dans le meilleur des cas, les travaux pourraient démarrer fin 2018. Les premiers visuels laissent entrevoir des bâtiments tout en hauteur, censés pousser au cœur d’un quartier lui-même en pleine rénovation. Ahmed Jaballah défend l’idée d’un lieu « ouvert sur la société civile et son environnement social », « aux Musulmans comme aux non-Musulmans ». (…)

Source

 

Source  2 : fdesouche

vendredi, 30 décembre 2016

Saint-Denis : Bientôt le premier campus universitaire musulman ?

Publié par Guy Jovelin le 30 décembre 2016

par 29 décembre 2016

Saint-Denis, ses tombeaux des Rois de France et son campus universitaire musulman… Est-ce ainsi qu’on présentera bientôt cette commune ? Il semble que le projet IESH (Institut d’Etude des Sciences Humaines), un campus universitaire musulman, avance à grands pas. Il comprend deux sites qui s’étendraient au total sur environ 8.000 mètres carrés.

La photo ci-dessous est prise lors de la présentation du projet d’extension de l’IESH au Salon de l’Union des Organisations Islamiques de France (UOIF) du Bourget en mai 2016, par Ahmed Jaballah, « doyen » de l’IESH, et ex-Président de l’UOIF, une organisation très proche des Frères Musulmans.

Mais où sont passés les ayatollahs de la laïcité ?

 

Source : medias-presse.info