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jeudi, 31 janvier 2019

Castelsarrasin (82): Les gérants du kebab faisaient travailler des clandestins qu’ils payaient parfois avec des cigarettes

Publié par Guy Jovelin le 31 janvier 2019

Par  le 31/01/2019

Contrôlés par deux fois avec des salariés sans-papiers payés parfois avec des paquets de cigarettes, les gérants de restaurations rapides à Montauban et Castelsarrasin ont écopé de 3 mois sursis et 58 000 € de redressement.

Absents à l’audience, les gérants d’un kebab à Castelsarrasin et Montauban ont payé cher d’avoir fait travailler des sans-papiers dans leurs établissements. C’est loin du Tarn-et-Garonne que l’un de ces «salariés clandestins» est interpellé au cours d’un banal contrôle de police à la gare des Mureaux (Yvelines), en août 2016.

Ce sans-papiers déclare «aux enquêteurs qu’il travaille dans un kebab de Montauban». Un établissement appartenant à deux hommes qui n’avaient jusqu’ici pas fait parler d’eux auprès de la juridiction. Un an plus tard, les agents de l’URSAFF effectuent un nouveau contrôle cette fois de l’établissement de restauration rapide située en zone de Barrouet, à Castelsarrasin. «Ils y découvrent, indique la présidente Vanessa Maury, deux salariés non-déclarés et surtout sans titre de séjour».

Parmi eux un ressortissant du Bangladesh qui est logé et nourri par les gérants et payé parfois en paquet de cigarettes.

[…]

La Depeche via fdesouche

mardi, 13 novembre 2018

AFFLUX DE CLANDESTINS À LA FRONTIÈRE FRANCO-ESPAGNOLE : UN PROBLÈME DE PRISE EN CHARGE POUR LES MÉDIAS

Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2018

 Publié le 12 novembre 2018 | Étiquettes : 

CES DERNIERS TEMPS, LES MÉDIAS PARLENT MOINS DES BATEAUX DES PSEUDO O.N.G. QUI CHERCHENT À DÉBARQUER EN EUROPE DES CLANDESTINS VENUS D’AFRIQUE, DONT NOUS VOUS PARLIONS FIN OCTOBRE 2018. LEUR AFFLUX NE TARIT POURTANT PAS, BIEN AU CONTRAIRE. IL S’EST SEULEMENT DÉPORTÉ. ALORS QUE L’ITALIE A PRIS DES MESURES POUR MAITRISER SES FRONTIÈRES, C’EST PAR L’ESPAGNE QUE DE NOMBREUX CLANDESTINS ARRIVENT. NOUS EN AVONS FAIT UNE REVUE DE PRESSE.

LA FRONTIÈRE FRANCO-ESPAGNOLE DÉBORDÉE

Arte nous informe le 11 septembre qu’« en 2018, l’Espagne est devenue la principale porte d’entrée en Europe. Quelque 50 000 personnes migrantes sont arrivées sur les côtes andalouses depuis le début de l’année ». Le Monde du 2 novembre indique qu’« entre l’Espagne et la France, la nouvelle route migratoire prend de l’ampleur ».

Les conséquences de cet afflux sont tangibles dans le sud-ouest de la France, en particulier à Bayonne. La ville accueille ainsi l’équivalent d’un Aquarius par jour : La République des Pyrénées du 24 octobre nous informe que « près de 100 migrants arrivent chaque jour d’Espagne ! ». Cet afflux de clandestins est traité par de nombreux médias sous l’angle humanitaire.

France Bleu indique que « les migrants en transit (sont) accueillis à Bayonne par l'association Diakité », pour « permettre à ces jeunes hommes, à ces jeunes femmes parfois avec enfants de s'abriter, manger, récupérer un peu avant de continuer la route vers le nord de l'Europe ».

Europe 1 nous apprend que « Bayonne (est) la nouvelle halte des migrants venus d'Espagne ». « Associations et élus locaux s’organisent pour les accueillir pendant quelques heures avant leur nouveau départ ». Selon France Info, « les associations demandaient plus de moyens pour accueillir les migrants, elles ont été entendues ». Information confirmée par Infomigrants : « face à l’afflux de migrants, le maire de Bayonne ouvre un accueil d’urgence ».

 

Source : ojim.fr

jeudi, 05 juillet 2018

Seine Saint-Denis : la situation migratoire est catastrophique !

Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2018

Auteur : Pierrot

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Selon un rapport parlementaire (voir ici), les clandestins pèsent entre 8 % et 20 % de la population de la Seine Saint-Denis. Dans certaines villes, plus près de neufs enfants sur dix (de moins de 25 ans) ont au moins un parent immigré… La situation est catastrophique, mais selon les médias « mainstream », la substitution des Français par des populations allogènes est une théorie complotiste.

« Le département est un sas d’entrée de la France par l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle qui accueille chaque année 65 millions de passagers, dont 35 en entrée sur le territoire. Sur le flot d’entrants figurent des personnes désireuses de demeurer en France mais ne disposant pas des titres de séjours les y autorisant. S’ils ne figurent pas dans les statistiques officielles, ces hommes, femmes et enfants sont une réalité démographique avec laquelle les pouvoirs publics doivent compter », poursuivent les auteurs. Les « personnes en situation irrégulière seraient entre 150.000, 250.000 voire 400.000 », ce qui équivaut à la population d’un département comme l’Ariège (152.000 habitants), le Jura (259.000 habitants), voire les Landes (411.000). Bref, entre 8 % et 20 % de la population.

Pour la seule immigration régulière, le rapport rappelle que, « parmi les 36 communes de France métropolitaine comptant plus de 10.000 habitants et dont plus de 30 % de la population est d’origine étrangère, 15 sont situées en Seine-Saint-Denis». Pour autant, selon ce document, «cette population immigrée n’est majoritaire dans aucune commune. Les maximums sont atteints à La Courneuve et Aubervilliers (43 %). Dans ces deux communes, plus de huit enfants sur dix (de moins de 25 ans) ont au moins un parent immigré (88 % à La Courneuve, 84 % à Aubervilliers). »

« Cette réalité amène assurément à sous-estimer la réalité sociale de la Seine-Saint-Denis eu égard au poids de la population étrangère irrégulière. Or, affronter la réalité dans un cadre d’action publique exige d’être plus précis », assurent les auteurs du rapport. Ils ajoutent même: « Pour identifier des phénomènes urbains de ghettoïsation, pour expliciter des difficultés scolaires, pour lutter contre les discriminations, pour adapter les moyens de la police et de la justice à une population spécifique, se pose alors la question de l’établissement de statistiques dites ethniques. »

 

Source : contre-info



mardi, 12 juin 2018

Mario Borghezio propose d’expulser « 300 clandestins par jour »

Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2018

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Il est l’une des figures les plus connues de la Lega Nord. Le député européen Mario Borghezio refait parler de lui avec des propositions de mesures draconiennes face à l’immigration extra-européenne en Italie.

« 300 clandestins par jour »

Les déclarations de Mario Borghezio passent rarement inaperçues car l’homme est réputé pour ses prises de positions souvent tranchées. Une réputation confirmée lors de son interview par la radio RTL le 8 juin dernier.

Actuel député européen de la Ligue du Nord, il est aux premières loges pour commenter les intentions politiques du nouveau gouvernement italien. Rappelons tout de même que c’est désormais Matteo Salvini, dirigeant de la Lega, qui occupe les fonctions de ministre de l’Intérieur.

Tandis que ce dernier a déclaré il y a quelques jours que « le bon temps pour les clandestins » était terminé et qu’ils devaient se préparer « à faire les valises », Mario Borghezio a apporté quelques précisions sur les modalités de ces expulsions. Pour lui, « on pourrait commencer par 300 clandestins par jour ».

Expulsions coûteuses

Dans un premier temps, les services du ministère de Matteo Salvini vont se concentrer sur les « sans-papiers et en particulier ceux qui n’ont pas donné de bonnes garanties ». Au cours de son interview, Mario Borghezio affirme alors que « le problème ce ne sont pas les immigrés, ce sont les délinquants qui migrent ».

Cependant, la mise en œuvre de ces mesures va nécessiter des moyens financiers conséquents si l’on en croit le député européen. Celui-ci évoque une somme de plusieurs millions d’euros afin de mener à bien ces expulsions. Au passage, il a rappelé que les gouvernements précédents s’étaient montrés très discrets sur les dépenses qu’une politique migratoire laxiste engendrerait : « Personne n’a jamais dit avec une certaine loyauté aux Italiens ce que coûte cette immigration irrégulière ».

Mauvaise politique de la France

Alors que la journaliste de RTL fait remarqué à Mario Borghezio le coût de cette politique de renvoi vers les pays d’origine de ces migrants en situation illégale, le député de la Lega rétorque que conserver ces populations sur le sol italien coûte, en revanche, « des milliards ». Ce qui représente « une facture active pour [le] gouvernement » avec un impact sur « la sûreté publique et le niveau de qualité de vie ».

Quant au cas de l’Hexagone, Mario Borghezio ne manque pas de souligner que « la France n’a pas soutenu une bonne politique européenne de changement des règles de Dublin ». De même, le pays n’a pas contribué « au renforcement de la défense extérieure des frontières européennes ». Reste à savoir si l’arrivée de Matteo Salvini modifiera la donne dans les États voisins de l’Italie.

 

Crédit photos : Wikimedia Commons (CC)

Source : breizh-info

lundi, 04 juin 2018

Le nouveau ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini : « Le bon temps pour les clandestins est fini : préparez-vous à faire les valises »

Publié par Guy Jovelin le 04 juin 2018

Par  le 03/06/2018

Pozzallo (Italie) – Matteo Salvini, le chef de la Ligue devenu cette semaine ministre de l’Intérieur, se rend dimanche en Sicile pour marteler le discours anti-immigration qui l’a porté au pouvoir.

(…) La dernière arrivée remonte à vendredi soir, quelques heures après la prestation de serment de M. Salvini: 158 personnes, dont neuf enfants, sont arrivés à Pozzallo après avoir été secourus au large de la Libye par un navire humanitaire, dans une opération coordonnée par les gardes-côtes italiens.

Mais désormais, « le bon temps pour les clandestins est fini: préparez-vous à faire les valises« , a prévenu M. Salvini samedi soir lors d’un meeting à Vincenza (nord).

« Les Etats doivent recommencer à faire leur travail et plus aucun vice-passeur ne doit accoster dans les ports italiens« , a-t-il aussi prévenu, dans une attaque claire contre les ONG de secours en mer, qu’il accuse régulièrement de complicité avec les réseaux de passeurs.

Luigi Di Maio, le chef de file du M5S, a lui aussi traité ces ONG de « taxis de la mer« , même si le discours de son mouvement reste plus tempéré que celui de la Ligue sur l’immigration.

Pour trouver rapidement des fonds, il réclame « un bon coup de ciseaux dans les cinq milliards d’euros » consacrés chaque année à l’accueil des demandeurs d’asile.

 

(…) L’Express via fdesouche