« Politique d’intégration » : Matignon prudent ?

Publié par Guy Jovelin

Selon Madame Rokhaya Diallo, la France est raciste, la multiplicité des contrôles au faciès des forces de l’ordre en est la preuve ; c’est faire abstraction de la composition ethnique des prisons françaises.

Cette personne n’a aucune connaissance des rapports du ministère de l’Intérieur. Il est vrai que la loi française ne distingue pas les Français de souche et ceux de papiers !

Lors de l’émission « Public Sénat » du 11 février 2014 concernant la politique d’intégration, Madame Esther Benbassa, sénatrice «d’Europe écologie  les verts » ose parler de la « Sacro Sainte République » qui n’a que trop durée et en appelle à une République soucieuse d’une société multiculturelle…

Elle évoque son rôle d’ancien professeur où elle se sentait obligée d’orienter les femmes africaines et maghrébines vers des postes de techniciennes de surface et les « Mohammed » je cite vers des postes subalternes ! Bel exemple de termes discriminatoires.

Que nous sachions, rien n’obligeait cette femme à l’époque, de procéder à de tels types d’orientation !

Ou alors, ce serait pire, l’éducation nationale obéirait à des directives qui feraient pâlir les régimes les plus totalitaires !

Soyons sérieux, les personnes précitées, obéissent à une « Sacro Sainte pensée unique », qui consiste à nous faire passer pour d’odieux racistes.

Or, nous savons qu’en France, la réussite n’est pas due à la couleur de peau, mais bien au mérite et à certaines facultés intellectuelles.

Pour Madame Rokhaya  Diallo, le débat sur l’identité nationale a été une honte et un retour à un passé plus ou moins proscrit.

Ce débat a été instauré par le gouvernement et le pouvoir précédent, ceci étant, ce n’est pas le but de mon propos, il convient quand même de rétablir une certaine chronologie.

D’après les dires de cette dame, il s’agit d’accepter la physionomie de la France telle qu’elle est et telle qu’elle sera dans les décennies à venir.

Eh bien, nous n’acceptons pas ce constat, qui consiste à voir notre pays se « tiermondialiser » et perdre par là même son essence occidentale et chrétienne.

Vouloir, non  pas la métisser, mais imposer une révolution ethnique concentrée, consiste à détruire tout ce qui constitue la base, l’origine de l ‘identité française et européenne.

Nous au Parti de la France, refusons cette perspective avec force et détermination.

La survie de notre civilisation hellénique, latine et chrétienne en dépend.

Franck Pech

Responsable de la communication du PDF 31