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jeudi, 27 septembre 2018

« Pendez les Blancs » : quand un rappeur raciste met à mort un Blanc dans un clip insoutenable

Publié par Guy Jovelin le 27 septembre 2018

Dans son titre « PLB », le rappeur Nick Conrad tient des propos jugés « racistes » contre les blancs. Plusieurs élus réclament des poursuites à son encontre.

Dans la vidéo diffusée sur Youtube, Nick Conrad appelle à « crâmer, torturer et mettre une balle dans la tête des Blancs » à grand renfort d’images choquantes.

Le rappeur aux allures de Tupac (vestimentairement parlant) se décrit comme un « artiste noir, parisien fier et raffiné » dans un entretien au site Aucoindela34eme.

Il y fait la promotion de son album Saphir noir et explique : « L’ensemble des deux mots reflète ma musique et ce que je suis intérieurement. Dans cet album j’envoie un message d’unité et d’identité noire. L’homme noir à des capacités intellectuelles et physiques comme n’importe quel être humain. Nous sommes tous des êtres extraordinaires. »

Dans cet album, Nick Conrad avait fait un featuring avec une chanteuse… blanche. Il s’agit d’Isa Koper, repérée dans The Voice en 2016.

Le clip… « Est ce qu’il court vite le Blanc ? »

Ils lui donnent ensuite deux secondes pour sauver sa vie, atteindre la sortie et prouver ainsi qu’il y a « de la magie dans l’ADN blanc »« Est ce qu’il court vite le Blanc ? », demandent-ils en riant, avant de citer les champions noirs Michael Jordan, Usain Bolt ou Kylian Mbappé.

Leur victime s’exécute, mais des coups de feu retentissent. « Cours pour sauver ta vie, cours pour sauver ta couleur de peau », l’avaient prévenu ses ravisseurs, qui finissent, à la sortie du parking, par tirer une balle dans le dos de l’homme blanc, qui rampe au sol pour s’échapper.

C’est alors que la chanson raciste débute. Extraits : « Je rentre dans des crèches, je tue des bébés blancs, attrapez-les vite et pendez leurs parents, écartelez-les pour passer le temps, divertir les enfants noirs de tous âges petits et grands, fouettez-les forts faites le franchement. » Le reste est à l’avenant.

Un chanson distribuée dans le commerce

Et ce refrain entre deux paroles nauséeuses : « Pendez-les tous, pendez les Blancs. » Les images montrent alors le chanteur armé déambuler librement dans les rues. Puis, le rappeur explose la mâchoire de sa victime sur le trottoir, référence probable au film American History X.

S’en suivent des citations attribuées à l’activiste américain Malcom X (« Le prix pour faire que les autres respectent vos droits humains est la mort »« Le prix de la liberté est la mort ») et de nouveaux appels à « cramer »« torturer » et mettre « une balle dans la tête » des Blancs.

Le clip, qui comporte des allusions aux origines africaines du rappeur, se conclut par de nouvelles paroles haineuses et des images de l’homme blanc pendu à un arbre. Visionné plus de 4.000 fois sur YouTube et distribué par Apple, Amazon et Spotify notamment, il n’a été supprimé que ce mercredi par la plateforme d’hébergement « car elle ne respectait pas le règlement de YouTube concernant les contenus incitant à la haine ».

De son côté, l’organisation de lutte contre le racisme anti-blanc (OLRA) a annoncé sur Twitter qu’elle allait « signaler ce clip aujourd’hui au Parquet »« L’appel au meurtre raciste du clip de Nick Conrad est abject et d’une violence inouïe. La liberté de création, ce n’est pas la liberté d’appeler à pendre des Blancs à raison de la couleur de leur peau », a aussi réagi la LICRA, qui a décidé de saisir la justice.

Source : http://alertesinfos.fr

jeudi, 14 juin 2018

Les « commentaires racistes et xénophobes » d’Albert Einstein

Publié par Guy Jovelin le 14 juin 2018

Par  le 13/06/2018 

Quand on évoque Albert Einstein, on pense « théorie de la relativité », « E=mc² » ou à la célèbre photo où il tire la langue. La publication en mai dernier des carnets de voyage du physicien théoricien par la Princeton University Press nous en apprend un peu plus sur la « personnalité du siècle » : Einstein était raciste.

Les journaux d’Einstein documentent ses cinq mois et demi de voyage en Chine, à Singapour, Hong Kong, au Japon et en Espagne entre 1922 et 1923. C’est la première fois que ces écrits sont mis à disposition du grand public. Le scientifique parle de science, de philosophie, d’art et de ses rencontres: « Les Chinois sont des personnes industrieuses, sales et obtuses. Ils ne s’assoient pas sur les bancs pour manger, ils s’accroupissent comme les Européens qui se soulagent dans les bois. Tout ça se passe dans le silence et la pudeur. Même les enfants sont sans âmes et obtus », lit-on dans un des extraits de ses carnets de voyage.

Albert Einstein était connu pour ses actions humanitaires, en 1946, lors d’un discours à l’université de Lincoln, ce défenseur des droits civiques avait aussi décrit le racisme comme la « maladie de l’homme blanc ». Pourtant, lui aussi, semble souffrir de cette maladie.

(…)

« Ces publications nous permettent d’en savoir un peu plus sur la personnalité des célébrités. Pour Einstein, c’est vraiment intéressant de voir une telle différence entre l’image publique et la réalité historique ».

(…) Slate via fdesouche

lundi, 16 avril 2018

Grande-Bretagne : un syndicat d’enseignants fustige les parents « racistes » qui refusent l’enseignement de l’islam pour leurs enfants

Publié par Guy Jovelin le 16 avril 2018

Par  le 15/04/2018 

Un syndicat d’enseignants prétend que les parents qui retirent leurs enfants des cours d’éducation religieuse parce qu’ils ne veulent pas qu’ils apprennent l’islam sont « racistes ».

Des inquiétudes ont été soulevées au sujet des mères et des pères qui abuseraient de leur droit de retirer leurs enfants des cours à l’école, empêchant ainsi leur capacité à explorer de grandes questions et une pensée critique.

Lors de la conférence annuelle de l’Association of Teachers and Lecturers, il a été déclaré que cela allait à l’encontre des tentatives des écoles de préparer les jeunes à la société moderne au Royaume-Uni.

Le syndicat exhorte le gouvernement à prendre des mesures pour s’assurer que les parents n’empêchent pas sélectivement leurs enfants d’apprendre certaines religions, rapporte The Telegraph.

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Richard Griffiths, de la section locale d’Inner London, a déclaré que la motion visait à assurer que ce droit ne soit pas abusé, dans les cas où les parents peuvent avoir «des préjugés incluant l’islamophobie et l’antisémitisme».

(…)

La vice-présidente du syndicat, Kim Knappett, a ajouté qu’elle avait vu une lettre d’un parent demandant que son enfant soit retiré des études religieuses.

Selon les rapports, la lettre était si «vicieuse» qu’elle pensait que les autorités avaient besoin d’être informées.

Mirror.co.uk / Lesobervateurs.ch

lundi, 15 janvier 2018

Schéma mental d’un gauchiste

Publié par Guy Jovelin le 15 janvier 2018

Publié le 14 janvier 2018 Auteur par admin4

schema-mental-gauchiste.jpg

 

Source : contre-info

samedi, 13 janvier 2018

Bande dessinée : la réédition des Aventures de Bamboula provoque une vague d’indignation

Publié par Guy Jovelin le 13 janvier 2018

Par  le 12/01/2018

Les éditions de Varly ont décidé de rééditer Les Aventures de Bamboula, sans anticiper la polémique qui en a découlé. Jugée raciste, la parution du recueil va peut-être être annulée.

En début de semaine, Manix et H&M étaient critiquées à cause de publicités jugées racistes. Ces deux polémiques ont montré pour beaucoup le racisme systémique à l’œuvre dans notre société.

Preuve supplémentaire s’il en fallait, ce 8 janvier, le site ActuaLitté a épinglé les éditions de Varly, spécialisées dans la réédition d’anciens albums, qui ont jugé intéressant de faire redécouvrir au public Les Aventures de Bamboula, dans un recueil rassemblant quatre histoires.

C’est le 1er février prochain que ce personnage créé en 1951 doit trouver une nouvelle vie, alors que ses albums n’avaient pas connu beaucoup de succès à leur sortie. Dessinée par Marcel Turlin, dit « Mat » (1895-1982), la bande dessinée voulait « prendre à contresens les idées de son époque », selon son nouvel éditeur, Georges Fernandes.

« Il est le petit garçon que tous les parents rêvent d’avoir »

La description du premier tome qu’il fait sur Amazon défend son choix éditorial. Celle-ci dépeint l’illustrateur comme « un homme de cœur » : « Il aimait faire rire les enfants et il détestait l’injustice. Il souhaitait la fraternité entre les hommes… »

Georges Fernandes reconnaît bien le racisme du nom de l’album et de son héros, puisqu’il rappelle que le terme de « Bamboula » est une « insulte en France ». Mais il défend un personnage différent des clichés racistes.  (…)