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dimanche, 14 août 2016

La violence des demandeurs d’asile contre les Suédois va croissant Un mois d’islam et du multiculturalisme en Suède: Juin 2016

Publié par Guy Jovelin le 14 août 2016

PAR LE

  • Trois Somaliens d’une vingtaine d’années qui se relayaient à violer une adolescente de 14 ans, ont reçu des peines très légères – ils ont aussi évité l’expulsion.
  • Dagbladet indique que 30.000 demandeurs d’asile dont la demande n’a pas été agréée ont disparu. La police dit qu’elle n’a pas les moyens de traquer ces clandestins.
  • Le 7 juin, la presse a révélé que Grace « Khadija » Dare, citoyenne britannique, a amené Isa Dare, son fils de 4 ans, en Suède, afin qu’il bénéficie de soins de santé gratuits. En février, le garçon a été vu dans une vidéo de l’Etat islamique en train de faire exploser quatre prisonniers enfermés dans une voiture. Le père du garçon, un djihadiste de nationalité suédoise, a été tué en combattant pour l’Etat islamique.
  • « Si vous n’êtes pas d’accord avec l’establishment, vous êtes immédiatement traité de raciste ou de fasciste, ce que nous ne sommes vraiment pas. Parfois, je me dis que cette situation n’est pas très éloignée de celle qui devait régner dans la vieille Union soviétique. « – Karla explique pour

1er juin : Le Conseil national suédois pour la prévention du crime (BRA), indique dans unrapportque 11.007 personnes ont été condamnées à être expulsées après avoir été reconnu coupables de crimes divers. Le rapport ne précise pas combien d’expulsions ont été menées à bien. Le nombre de condamnations incluant l’expulsion a diminué, en dépit de l’accroissement de la criminalité des étrangers qui vivent en Suède. Dans les années 1970, environ 500 mesures d’expulsion étaient prononcées chaque année. En 2004, ce nombre a doublé (1074), mais en 2014, 644 personnes seulement ont été condamnées à l’expulsion.

Non seulement le nombre des expulsions a baissé – mais de plus en plus de personnes en situation d’expulsion refusent de quitter le pays. En octobre 2015, le quotidien Svenska Dagbladet a indiqué que 30.000 demandeurs d’asile dont la demande n’a pas été agréée ont disparu. La police dit qu’elle n’a pas les moyens de traquer ces clandestins. Patrik Engström, chef de la police des frontières au Département des opérations nationales (NOA), a déclaréauSvenska Dagbladet. « Nous avons inscrit ces gens sur le fichier des personnes recherchées, mais nous ne nous livrons pas à une recherche active. Nous attendons des indices et des choses comme ça ».

1er juin : Le soir du 31 mai, un suédois âgé de 23 ans a été poussé sous une rame de métro lancée à pleine vitesse à Stockholm. La victimen un étudiant du Royal Institute of Technology (KTH), souffre de fractures du crâne et de diverses lacérations ; il a perdu la moitié de son pied ; sa clavicule et plusieurs de ses côtes sont cassées ; enfin l’un de ses poumons est perforé. Son état est jugé critique et son rétablissement problématique. Le lendemain, un algéro-suédois de 34 ans a été appréhendé. L’assaillant, déjà soupçonné d’un autre crime violent dans le métro, a pu être identifié et capturé grâce aux photos qui ont été rendues publiques. Il est actuellement en garde à vue et attend son procès .

2 juin : Une famille juive suédoise a déclaré au Jerusalem Post qu’elle a fui la Suède et trouvé refuge à Majorque. Dan, dont les parents sont venus en Suède en compagnie de milliers de juifs danois, pendant la Seconde Guerre mondiale, a déclaré :

« Toute ma vie, je me suis senti reconnaissant de faire partie d’une société civilisée. Et, jusqu’à environ 2005, je me disais que j’avais vraiment de la chance de vivre dans une démocratie sociale, où les gens acceptent de payer des impôts élevés pour financer un bon système de protection sociale et des valeurs libérales.

« Bien sûr, le soleil et le mode de vie ont joué un rôle dans notre décision [de déménager], mais la vraie raison se situe dans l’évolution démographique et politique de la Suède. L’establishment de gauche et sa frange radicale sont totalement obsédés par le multiculturalisme et le politiquement correct, dont il n’est pas nécessaire de rappeler qu’il a fait partie de l’ethos suédois pendant des siècles ».

Sa femme Karla a ajouté : « Si vous n’êtes pas d’accord avec l’establishment, vous êtes immédiatement traité de raciste ou de fasciste, ce que nous sommes certainement pas. Parfois, je me dis que dans l’ancienne Union soviétique, les gens vivaient une situation qui n’était pas très éloignée de ça ».

2 juin : L’hôpital universitaire Sahlgrenska de Göteborg a annoncé qu’un service de sécurité fonctionnant 24 heures sur 24 allait être mis en place sur les trois hôpitaux de la ville. Le chef de la sécurité, Peter Alverman, a déclaré à Sveriges Television :

« Les menaces contre le personnel sont constantes. Mais surtout, la criminalité due aux gangs a augmenté à Göteborg et se fraye un chemin jusque dans nos hôpitaux. Ce qui ne va pas sans susciter l’inquiétude au sein du personnel et chez les patients ».

Les gardes vont coûter neuf millions de couronnes (1 million €), une somme qui aurait dû etre investie en soins.

3 juin : Le député Daniel Sestrajcic a été mis en examen pour avoir désobéi à un agent de police. Sestrajcic est membre du Parti de gauche, le nouveau nom du Parti communiste. Le délit a été commis en octobre 2015, dans le cadre d’une protestation contre le démantèlement d’un camp de tentes palestinien à Malmö. Sestrajcic, qui était avec les manifestants, a d’abord été accusé d’avoir tenté de frapper un officier de police à la tête, mais faute de preuves, l’accusation a été abandonnée. Mais celle d’avoir refusé d’obéir aux ordres de la police et de quitter la manifestation a été maintenue. M. Sestrajcic nie également cette accusation.

5 juin : Trois hommes condamnés à quatre ans de prison par le tribunal de district de Falun pour un viol aggravé commis à Ludvika, ont été acquittés par la Cour d’appel de Svea. Le procureur avait fait appel du verdict initial dans l’espoir que les hommes auraient une peine d’emprisonnement plus longue. Mais la Cour d’appel a estimé que le crime commis n’avait pu être prouvé. Les trois hommes ont été acquittés et l’ordre d’expulsion abrogé.

6 juin : En ce jour de fête nationale en Suède, le Parti de gauche a décidé de se répandre dans la rue et de féliciter – non le peuple suédois – mais les musulmans de Suède qui entament le jeûne du Ramadan. Le débat s’est enflammé sur la page Facebook du Parti de Gauche. Une personne a écrit: « J’espère que vous ne finirez pas comme le Parti vert, j’ai fui les islamistes en Iran, et vous vous leur souhaitez un joyeux Ramadan ? Mes condoléances ».

6 juin : Le personnel d’un centre d’accueil pour réfugiés de Ludvika a été contraint d’appelerla police après qu’un groupe de musulmans ait exprimé son mécontentement quant aux repas servis dans l’établissement. Ils ont affirmé que la nourriture n’était pas « Ramadan compatible », mais la façon dont la requête a été exprimée semble avoir effrayé le personnel. Le rapport de police n’est pas clair quant à la conclusion du conflit.

7 juin : La presse rapporte qu’Isa Dare, un garçonnet de 4 ans emmené par ses parents sur le territoire de l’Etat islamique, est entré clandestinement en Suède. Apparemment pour bénéficier de la gratuité des soins. En 2012, le gouvernement suédois a en effet décidé que tous les étrangers en situation irrégulière seraient soignés aux frais du contribuable suédois. La mère du garçon, Grace « Khadija » Dare, 24 ans, née à Londres, était mariée à un citoyen suédois, Abdul Ghameed Abbas, également connu sous le nom « Abu Bakr». Ce Abou Bakr a été tué au combat dans un raid aérien contre l’Etat islamique en novembre 2014.

Le garçon est devenu célèbre en février : une vidéo de l’Etat islamique le montrait en train d’activer un détonateur pour faire sauter une voiture ou quatre prisonniers étaient retenus. Posant à côté de la carcasse en train de bruler, le garçonnet criait : « Allahu Akbar ! ».

La presse rapporte qu’Isa Dare, un garçonnet de 4 ans emmené sur le territoire de l’Etat islamique par ses parents, est entré clandestinement en Suède. Apparemment pour bénéficier de la gratuité des soins. Le garçon est devenu célèbre en février quand une vidéo de l’Etat islamique l’a montré en train d’activer le détonateur d’une bombe placée à l’intérieur d’une voiture ou quatre prisonniers étaient retenus. Le père du garçon a été tué au combat dans un raid aérien mené en novembre 2014 contre l’Etat islamique.

7 juin : Ardeshir Bibakabadi a fui l’Iran ou son orientation sexuelle n’était pas acceptée. L’année dernière, il a donné des conférences dans dix écoles de Göteborg, ainsi qu’une interview au quotidien Göteborgs – Posten. Il a expliqué qu’à cause des étudiants musulmans, la haine contre les homosexuels va croissant dans les écoles suédoises.

« Le scénario est toujours le même, je sens que ma seule présence est vécue comme une provocation. Quand j’ai donné des conférences dans de grands auditoriums, les tensions sont devenues manifestes. « Merde, vous êtes dégoûtant », a hurlé un élève de l’école Porthälla avant de se ruer sur moi ».

8 juin : Trois Somaliens âgés d’une vingtaine d’années ont séquestré une adolescente de 14 ans dans une chambre pour la violer à tour de rôle. Ils ont été condamnés à des peines très légères – et ont échappé à l’expulsion. Deux des hommes ont été condamnés à deux ans et demi de prison. Le troisième, reconnu également coupable de trafic de drogue et de conduite en état d’ivresse, s’est vu infliger trois ans de prison. Ils ont été autorisés à demeurer en Suède à la fin de leur peine, bien qu’ils n’aient pas la nationalité suédoise.

9 juin : Un Somalien de 19 ans résidant illégalement en Suède, a été acquitté par le tribunal de district d’Umeå pour avoir mordu le bras d’un agent de police au cours de son arrestation. Le tribunal a pris en considération sa version des faits : à savoir, qu’il avait agi dans un état de panique en raison de souvenirs traumatiques dans son pays d’origine, et de « mauvaises expériences avec la police dans d’autres pays ».

9 juin : Pendant des années, les médias suédois ont soutenu que tous les enfants réfugiés non accompagnés étaient réellement des enfants – peu importent leurs rides et la blancheur de leurs cheveux. L’idée que nombre d’entre eux mentaient sur leur âge afin de bénéficier de procédures d’asile accélérées, a été rejetée et taxée de raciste. Toutefois, une enquête d’investigation de la radio publique Sveriges Radio, a montré que nombre de ces « enfants » sont en fait des adultes, qui se retrouvent placés dans les mêmes centres d’accueil que les adolescents et les enfants.

Irene Sandqvist, chef d’unité à la Direction des services sociaux d’Helsingborg, a dit au journaliste que, selon une estimation personnelle, 25% au moins des « enfants réfugiés » étaient des adultes:

«Nous avons même eu quelqu’un avec des cheveux gris, ce qui semble être une preuve. Certains sont plus vieux que le personnel, et cette situation engendre des risques pour les enfants plus jeunes ».

9 juin : Trois jeunes hommes, tous âgés d’environ 18 ans, ont été mis en examen pour avoir violemment agressé un homme suédois d’environ 25 ans, dans les environs de Norrköping. L’un des agresseurs, un Somalien, Abdimalik Hassan Shido, a également été mis en examen pour viol et menaces à l’arme blanche. Le procureur a écrit:

« En liaison directe avec l’agression physique décrite ici, Shido a forcé NN [la victime] à des relations sexuelles anales et orales. La contrainte est due au fait que Shido a proféré des menaces de mort, pointé un couteau sur NN, et engendré des douleurs en le forçant à exécuter différents actes sexuels en dépit des blessures infligées à NN au cours du passage à tabac. »

Le procureur a demandé que Shido soit jugé pour viol aggravé.

10 juin : En Janvier, l’employée d’un centre d’accueil pour mineurs à Ystad a dit à un « enfant réfugié non accompagné » érythréen qu’il ne pouvait plus continuer de jouer à des jeux vidéo. L’ « adolescent » qui prétend être âgé de 17 ans, a pris la femme à la gorge et a serré jusqu’à ce qu’un autre employé intervienne.

En dépit de la gravité du délit, l’Erythréen a a été condamné à une peine légère – 35 heures de service communautaire et 9.720 couronnes (environ 1000 euros) de dommages et intérêts à payer à l’employée.

10 juin : Abu Muadh, l’imam controversé de la mosquée d’Halmstad, a donné une interviewau quotidien local, Hallandsposten. A la question de savoir pourquoi il prêche que les musulmans ne peuvent être amis avec des non-musulmans, Muadh a répondu:

« L’islam fait une différence entre ami et camarade. Vous pouvez avoir un camarade à la salle de gym, vous pouvez travailler avec lui et ainsi de suite. Mais vous ne pouvez pas faire des choses qui ne sont pas autorisées par notre religion. Il y a des tonnes de choses que l’on peut faire ensemble comme un barbecue, mais vous ne pouvez pas partager des valeurs religieuses, ni célébrer Noël ou Ramadan avec quelqu’un qui ne croit pas. Ce n’est pas permis ».

11 juin : Danial Rahimi, un « enfant réfugié non accompagné » afghan qui prétend être âgé de 17 ans, a été arrêté pour viol d’enfant dans le petit village de Bodafors. Après un mois en détention provisoire, il a été mis en examen. Selon l’accusation, Rahimi a enfoncé son pénis dans l’anus d’une jeune fille à plusieurs reprises, a touché ses parties génitales et ses fesses, pressé ses seins et les a mordus. Il a jeté la jeune fille à terre et l’a immobilisée pendant qu’il la violait, il l’a également frappée durement au visage, et a tenté de l’étouffer en maintenant sa main sur son nez et sa bouche. Rahimi nie, mais le procureur a un dossier solide, y compris des preuves ADN.

12 juin : Un début d’émeute a éclaté dans les quartiers immigrés de Kristianstad et Uppsala. A Kristianstad, des incendies ont été allumés et des pierres lancées sur les véhicules des services d’urgence. A Uppsala, les émeutes ont duré plusieurs jours, et un bus chargé de passagers a été attaqué à coups de pierres et autres objets.

13 juin : Selon la chaîne publique Sveriges Television, Tobias Lindfors, propriétaire de l’hôtel et du centre de conférence de Pite Havsbad, a gagné plusieurs millions en signant un contrat lucratif avec l’Agence des migrations suédoise. Pite Havsbad, que l’on surnomme aussi « la Riviera suédoise », est connu pour être l’un des plus grands centres nautiques et spa en Europe. En mai, l’installation a fait parler d’elle quand un Congolais demandeur d’asile a démarré unincendie dans sa chambre. Pendant l’hiver, un quart des chambres sont occupées, mais selonSveriges Television, M. Lindfors est rémunéré sur la base d’un logement fourni à 1.300 demandeurs d’asile – indépendamment de leur nombre réel dans l’établissement. L’Agence suédoise des migrations a loué Pite Havsbad pour quatre ans (à l’ exclusion de deux mois en plein été) pour une somme globale de 240 millions de couronnes (environ 24 millions d’euros).

13 juin : Une émeute a éclaté dans un centre d’accueil pour « enfants réfugiés non accompagnés » à Nässjö, Deux cuisines entièrement équipées ont été vandalisées : fourneaux, réfrigérateur, congélateur, plusieurs téléviseurs, un lave-vaisselle, des meubles de cuisine et de la vaisselle ont été détruits. Les dégâts sont estimés à plusieurs centaines de milliers de couronnes. Le personnel n’a pas osé intervenir contre les émeutiers et a préféré appeler la police. Les vandales ont également jeté des chaises endommageant les fenêtres et les portes. Selon la police, l’émeute a démarré en raison d’une « insatisfaction sur la nourriture servie ».

13 juin : Un djihadiste bosniaque de 46 ans lié à l’Etat islamique et considéré comme extrêmement dangereux, avait été placé en détention par la police de Malmö. L’homme ayant immédiatement demandé l’asile, l’Agence des migrations est intervenue et a empêché son expulsion. L’inspecteur Leif Fransson de la police des frontières l’a mal pris. Il a dit au quotidien local, HD / Sydsvenskan :

« Dès que ces gens jettent leur carte maîtresse et disent « asile », les portes du ciel s’ouvrent. La Suède a désormais la réputation d’être un refuge pour terroristes ».

Néanmoins, après une enquête éclair, il a été communiqué quatre jours plus tard que l’asile n’a pas été accordé au djihadiste et qu’il sera reconduit à la frontière le plus tôt possible.

13 juin : A peine entrée en vigueur, la nouvelle loi sur les déplacements à l’étranger dans le but de commettre des actes terroristes s’est traduite par un revers majeur. Le tribunal municipal d’Attunda a acquitté un homme de 25 ans qui, au printemps 2015, a acheté un aller simple pour la Turquie, mais a été refoulé et renvoyé à Stockholm. Dans sa valise, la police a trouvé un gilet pare-balles, des genouillères et des coudières. Selon l’accusation, l’homme voulait se joindre au Front Al-Nousra en Syrie pour lutter contre le régime de Bachar al Assad.

Mark Klamberg, maitre-assistant en droit international, a commenté l’acquittement en ces termes : « Si le verdict tient, ma conclusion est qu’il sera très difficile de gagner ce genre de procès » a-t-il dit au quotidien Svenska Dagbladet

14 juin : De plus en plus de policiers suédois quittent la police. Un sentiment d’insécurité physique, des bas salaires et un fort mécontentement vis-à-vis du chef de la police nationale, Dan Eliasson, sont au nombre des explications. Le syndicat des policiers a récemment mis en ligne le blog Polisliv (« Vie de policier »), où les policiers font état de leur expérience professionnelle de façon anonyme – donnant ainsi au peuple suédois un aperçu de la vie de policier en Suède.

4 juin : Un rapport de la Cour des comptes suédoise (Riksrevisionen) révèle que l’Agence des migrations a dépensé quatre milliards de couronnes (environ 450 millions d’euros) pour le seul hébergement des demandeurs d’asile arrivés en 2015. La Cour des comptes remarque que les dépenses auraient pu être réduites de manière significative, si l’Agence des migrations avait travaillé plus efficacement et systématiquement.

4 juin : Un verdict exceptionnellement clément prononcé contre un violeur originaire du Yémen a provoqué un violent débat à Mariestad. Pour avoir attaqué une jeune fille de 13 ans, l’avoir jeté à bas de sa bicyclette, lui avoir lacéré le visage avec un couteau puis l’avoir violée dans un parc – Maher Al Qalisi n’a été condamné qu’à une peine de probation de 18 mois (perte de liberté en milieu ouvert). Il ne sera pas expulsé. Al Qalisi affirme n’être âgé que de 17 ans, mais son passeport yéménite indique 20 ans. S’il avait été jugé comme un adulte, la peine aurait été plus sévère. Le procureur Jonas Lovstrom a exprimé sa déception ainsi : « je suis convaincu qu’il a au moins 21 ans ».

15 juin : Le nombre des menaces proférées dans les bureaux de l’Agence suédoise des migrations a plus que doublé en 2015, passant de 94 à 216. La plupart du temps, ces menaces émanent des demandeurs d’asile et visent les employés des agences.

. 15 juin : La loi suédoise interdit le port des signes religieux dans les écoles publiques. Mais les élèves musulmans de l’école Bikupan à Lessebo disposent de leur propre salle de prière. Maître Veronica Wilhelmsen a expliqué à la radio publique Sveriges Radio comment on en est arrivé là : « Ils ont besoin de sentir qu’ils peuvent pratiquer leur religion ici en Suède et à l’école, sinon, ils pourraient ne pas venir à l’école du tout ».

15 juin : L’Agence suédoise de la jeunesse et de la société civile (Myndigheten för ungdoms- och civilsamhällesfrågor) a rendu publique la liste des organisations qui se sont partagées, en 2016, les 212 millions de couronnes (environ 22 millions d’euros) de subventions du gouvernement. Ces aides sont censées profiter aux organisations de jeunesse et d’aide à l’enfance, mais si l’on excepte les aides aux municipalités pour le financement des colonies de vacances, la plupart des subventions sont allées à des organisations antiracistes spécialisées dans les droits des minorités sexuelles (LGBT) et la lutte contre « l’islamophobie ».

Une association très controversée, Musulmans unis de Suède (Sveriges förenade muslimer, SFM), a ainsi été gratifiée d’un demi-million de couronnes (€ 50,000). SFM a, à plusieurs reprises, défrayé la chronique pour ses discours de haine contre les homosexuels. Mais l’association islamiste fait valoir que cet argent est utilisé pour lutter contre le racisme et l’intolérance. Magnus Ranstorp, auteur et expert du terrorisme a déclaré au quotidien,Dagens Nyheter:

« Il y là de quoi s’interroger. Nous avons affaire à un groupe qui a invité des prêcheurs de haine et dont l’orientation salafiste est à bien des égards opposée à toute forme de tolérance ».

17 juin: Malmö est en Suède, la ville de prédilection des migrants. Malgré la pénurie de logements, la municipalité a décidé de donner la priorité aux soi-disant « Suédois nouvellement arrivés ». Les élus ont ainsi fait l’acquisition de 56 appartements pour accueillir les nouveaux arrivants. Le parti des Démocrates de Suède enrage contre cette décision, et pense qu’il serait préférable de renvoyer la plupart des migrants dans leur pays d’origine, d’autant que la plupart d’entre eux vivent à l’écart du reste de la société.

20 juin : Un couple d’Afghans de Landskrona refusait que leur fille ait un petit ami. Ils lui ont donc fait épouser un parent au pays d’origine – et ont pratiqué un enlèvement sur la personne du petit ami. Trois personnes ont été mises en examen pour mariage forcé, coups et blessures, vol et enlèvement. « Tous ces crimes ont eu pour but de rétablir l’honneur de la famille » a expliqué le procureur Ulrika Ekvall.

20 juin : Europaportalen, un site suédois d’information spécialisé sur l’UE, indique que la Suède est le pays de l’Union ou le nombre de demandeurs d’asile a le plus diminué : 8000 demandes d’asile ont été déposées au cours du premier trimestre 2016, contre, près de 88.000 au dernier trimestre 2015, soit une baisse de 90%. La réduction est principalement due au rétablissement des contrôles aux frontières, ainsi qu’aux contrôles d’identité effectués côté danois. L’Allemagne, qui ne pratique toujours pas de contrôles aux frontières, a vu le nombre de ses demandeurs d’asile augmenter au cours du premier trimestre 2016, par rapport au dernier trimestre 2015.

21 juin : Une femme âgée de 30 ans, a été arrêtée pour le meurtre d’un bébé de cinq mois, au centre d’accueil de la ville de Sunne. La femme n’est pas la mère de l’enfant, mais passe pour avoir « des liens avec l’enfant ». Quelques jours plus tard, un Somalien de 20 ans a également été arrêté en lien avec l’affaire. Les deux suspects sont depuis en détention.

21 juin : Le Parti Vert a défini un nouveau plan d’action en cinq points pour ne plus jamais êtreinfiltré par les islamistes. Le parti a eu recours à l’aide de Lars Nicander, un expert universitaire reconnu, spécialiste des questions de défense. Ce dernier a affirmé que le parti avait été infiltré par les islamistes longtemps avant que quelqu’un comprenne ce qui se tramait. Les Verts envisagent également d’ouvrir un large débat sur les valeurs, et de confronter notamment les idées égalitaires des suédois libéraux de gauche avec le point de vue des musulmans sur les femmes.

21 juin : Quatre personnes ont été mises en examen pour l’attaque de deux policiers dans le quartier Hässleholmen de Borås. L’affaire a démarré avec un contrôle de routine sur un cyclomotoriste, mais a rapidement dérapé au fur et à mesure que la foule s’est mobilisée. Environ 50 personnes ont encerclé les deux policiers, quand soudain un homme armé d’un couteau a surgi frappant l’un des policiers à la poitrine, et poignardant l’autre. La femme officier de police qui a été poignardée a dit: « Je pense qu’il a voulu me tuer, c’est ce qu’il recherchait ».

22 juin : Un homme âgé de 38 ans, a été inculpé par contumace pour l’assassinat d’une jeune fille de 16 ans. A l’automne 2015, celle-ci était arrivée en Suède en tant que « enfant réfugiée non accompagnée ». En mars 2016, elle a été portée disparue et, en mai son corps a été retrouvé dans une zone boisée au sud de Stockholm. Selon le quotidien Aftonbladet, l’homme, de 22 ans son aîné, était le mari de la jeune fille.

22 juin: Martin Saliba, triple-meurtrier, condamné par contumace à la prison à vie en janvier, ne sera pas extradé en Suède par le Liban, son pays d’origine. En mars dernier, tôt le matin, deux joggers d’Uddevalla ont découvert deux hommes au sol et une femme dans une voiture – tous tués à bout portant de plusieurs balles chacun.

Martin Saliba, 22 ans, et son frère Mark, 23 ans, ont été accusés de meurtres. Mark a été condamné à la prison à vie, mais le tribunal municipal a jugé que pour Martin, les preuves n’étaient pas probantes. Martin a donc été acquitté et remis en liberté. La cour d’appel a rejugé l’affaire, mais le dernier jour du procès, Martin a omis de se présenter. Bien lui en a pris car la cour d’appel l’a condamné à la prison à vie. Un mandat de recherche international a été lancé contre lui. Mais le Liban ou il s’est réfugié n’extrade pas ses citoyens. Alors il peut y couler des jours tranquilles.

23 juin : Quatre hommes et une femme, tous Syriens, ont été mis en examen par le tribunal municipal de Sundsvall pour enlèvement, tabassage en règle et agression sexuelle. La victime, un homme, a été attaquée dans un parking et maltraitée pendant douze heures dans une voiture en mouvement. Les raisons de cette agression ne semblent pas claires ; les journaux locaux évoquent une transaction commerciale qui a mal tourné entre la victime et ses agresseurs. Le procureur a demandé l’expulsion de tous les suspects, en cas de condamnation.

26 juin : Une femme de 20 ans a été retrouvée morte dans un centre d’accueil pour réfugiés près de Jönköping. Un suspect âgé de 24 ans a été arrêté, et a fini par avouer son crime. Selon sonavocat , le suspect était en colère en raison de l’infidélité de la victime.

26 juin : La police d’Östersund a reconnu que les nombreuses agressions sexuelles qui ont eu lieu en février et mars 2016, ont été le fait de « jeunes demandeurs d’asile ». Au cœur de cette vague de viols, la police avait lancé un avertissement, demandant aux femmes d’Östersund de ne pas sortir seules le soir. Le chef de la police locale, Stephen Jerand, a déclaré au quotidien,Östersunds-Posten : « Quand nous arrêtons des fuyards, il est important de les informer dès le début des règles qui s’appliquent en Suède, et que lesdites règles valent aussi pour les femmes ».

26 juin : Un Afghan de 25 ans a été arrêté dans un centre d’accueil pour réfugiés de Mariannelund pour l’assassinat de sa femme de 22 ans. Selon la presse, après le meurtre, l’homme a couru sur la pelouse du centre d’accueil en criant qu’il avait étranglé sa femme à mort. Le couple avait un enfant de 3 ans.

27 juin : Un musulman a attaqué l’église St. Pauli à Malmö et a brisé plusieurs fenêtres. Quand la police est arrivée, l’homme était au sommet de l’église, hurlant « Allahu Akbar ! » Il a ensuite tenté d’agresser les policiers avec un bâton. L’homme est mis en examen pour les dégâts qu’il a causé. Il pourrait devoir également répondre d’une accusation de crime de haine.

27 juin : Deux hommes âgés de 24 ans, d’origine étrangère, ont été reconnus coupables d’une série de vols aggravés contre les étudiants à Malmö. Plusieurs de leurs victimes ont été attaquées à domicile et menacées à l’arme blanche pendant des heures pendant que les voleurs vidaient leurs maisons et leurs comptes bancaires. Mahad Munyo Mohamed, déjà condamné à trois ans et demi de prison, est un citoyen somalien, et Hassan Murtadha Mohammed Hassan, déjà condamné à cinq ans de prison, est un citoyen suédois.

28 juin: Dan Eliasson, le très critiqué chef de la police nationale, a lancé une nouvelle campagnede communication pour mettre fin aux attouchements et viols dans les festivals de musique : il a fait fabriquer des bracelets portant les mots « Interdit de Peloter ». Les bracelets seront distribués dans les festivals, et selon Eliasson, les bracelets « mettront les projecteurs sur cette question et encourageront les victimes à porter plainte ». Etant donné que, en mai, ce même Département des opérations de police nationale (NOA) a publié unrapport qui met en évidence que 80% des agresseurs sexuels sont d’origine étrangère, beaucoup ont trouvé quelque peu déroutante l’idée d’un bracelet imprimé en suédois.

28 juin: Un érythréen, auteur d’un viol sur une suédoise dans les toilettes publiques de Sundsvall,a obtenu de rester en Suède après avoir purgé une peine de un an et quatre mois de prison. L’Agence suédoise des migrations a estimé qu’il ne méritait pas d’être renvoyé dans son pays d’origine. Une peine légère lui a été infligée en raison de l’âge qu’il affirme avoir, 19 ans.

Ingrid Carlqvist est journaliste et auteur basée en Suède, elle est aussi Distinguished Senior Fellow du Gatestone Institute

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https://fr.gatestoneinstitute.org/8673/suede-violence-dem...

Source : leblogalupus

Rennes. Affrontements entre jeunes Rennais et jeunes immigrés

Publié par Guy Jovelin le 14 août 2016

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deux jeunes rennais ont été légèrement blessés à l'issue des affrontements

13/08/2016 – 07H00 Rennes (Breizh-info.com) – De violents affrontements se sont déroulés rue Saint-Michel – la célèbre « rue de la Soif » – à Rennes, jeudi 11 août 2016, en fin de soirée. Ils ont opposés un groupe d’une quinzaine de jeunes Rennais à une grosse vingtaine de jeunes immigrés, dont une partie identifiée comme étant des « migrants » et/ou mineurs isolés étrangers.

Ces jeunes « migrants » se livrent depuis des mois  – et cela s’accélère ces dernières semaines – à des vols, des trafics de drogue, des cambriolages, des rackets, dans le centre-ville de Rennes. Se cachant parfois derrière de fausses identités, de faux âges, ils profitent des largesses du droit français ; c’est ainsi que la plupart d’entre eux, même arrêtés, même pris en flagrant délit,  sont relâchés ou condamnés à des peines mineures.

Bien entendu, ils ne sont jamais expulsés, qu’ils soient mineurs – leur statut leur permet d’éviter à l’expulsion – ou majeurs. Dans ce dernier cas, des associations bien-pensantes se mobilisent systématiquement pour empêcher leur expulsion en usant de tous les recours juridiques pour ce faire.

Jeudi soir, alors qu’un groupe de migrants se livrait à nouveau à des provocations et à des agressions de riverains en centre-ville, des jeunes Rennais sont intervenus pour leur demander de cesser leurs exactions. Ce qui n’a pas manqué de déclencher une bagarre qui a duré quelques minutes. Au cours de la confrontation, plusieurs chaises de terrasses ont volé en l’air. Au final,  les « migrants » ont dû battre en retraite.

Au cours de la bagarre, deux jeunes Rennais ont été blessés par un de ces migrants qui était armé d’un tournevis. Le calme est finalement revenu, sans que la police n’intervienne.

Plusieurs riverains qui assistaient à la scène sont allés voir le groupe des jeunes autochtones pour les féliciter : « On n’en peut plus », dira l’un d’entre eux. « C’est dommage d’en arriver là, mais si la police et la justice ne font plus leur travail pour protéger les citoyens, d’autres s’en chargeront ».

Dans la nuit du 10 au 11 août, trois mineurs isolés étrangers – ou se prétendant comme tels – ont été interpellés en flagrant délit de cambriolage, avenue du Sergent Maginot. Après des tests effectués, il s’avère qu’ils sont en réalité majeurs. Rien de surprenant , comme nous l’ont confirmé des policiers du cru.

Photo : DR

 

Source : breizh-info

Haute-Corse : Cinq jeunes blessés dans une rixe à Sisco

Publié par Guy Jovelin le 14 août 2016

Par le 13/08/2016

Deux groupes de jeunes sont impliqués dans une rixe qui a éclaté en début de soirée samedi 13 août, à la sortie Nord de Sisco (Haute-Corse).

Une altercation a éclaté entre deux groupes de jeunes en début de soirée, vendredi 13 août à Sisco. © Claudia Ledezert/France 3 Corse ViaStella

© Claudia Ledezert/France 3 Corse ViaStella Une altercation a éclaté entre deux groupes de jeunes en début de soirée, vendredi 13 août à Sisco.

 
Une rixe a éclaté aux alentours de 17h30 sur une plage au niveau de la sortie Nord de Sisco, samedi 13 août.

Deux groupes de jeunes sont impliqués dans l'altercation : des Corses résidant dans la commune de Sisco et de jeunes Maghrébins.

Parmi les deux groupes, cinq jeunes ont été blessés à l'arme blanche, deux Corses, dont l'un touché au harpon au niveau des côtes, et trois Maghrébins.

Ils ont été transportés à l'hôpital. L'un des jeunes Maghrébins est en état d'urgence vitale. Le pronostic vital des autres victimes n'est pas engagé.

Apprenant la nouvelle de cette rixe, une centaine d'habitants de Sisco se sont attroupés sur les lieux, provoquant d'importants mouvements de foule.

Une trentaine de personnes ont mis le feu à trois véhicules appartenant aux jeunes Maghrébins.
© Claudia Ledezert/France 3 Corse ViaStella

© Claudia Ledezert/France 3 Corse ViaStella


40 gendarmes et 20 CRS ont été dépêchés sur place pour contenir la foule et l'empêcher de lyncher le blessé grave qui était en train d'être évacué. La circulation a été coupée dans les deux sens au niveau de Sisco avant de reprendre normalement à 22h.

Aucune interpellation n'a eu lieu pour le moment, l'état physique des agresseurs n'ayant pas permis de les placer en garde à vue.

D'après des témoins de la scène, l'altercation aurait été provoquée par une photo, prise par des touristes, alors qu'un groupe de dix Maghrébins, dont une femme enceinte et des enfants, se trouvait sur la plage.

Ces derniers auraient fait comprendre aux touristes qu'ils n'avaient pas à prendre de photos. Des Corses de Sisco se seraient ensuite mêlés à la dispute qui aurait alors dégénéré en affrontement.

Une enquête va être confiée à la gendarmerie.pour déterminer les causes exactes de cette rixe.
 

Arthur Kemp : « Qu’est-ce que l’ethnonationalisme ? »

Publié par Guy Jovelin le 14 août 2016

Arthur Kemp : « Qu’est-ce que l’ethnonationalisme ? »

Arthur Kemp : « Qu’est-ce que l’ethnonationalisme ? »

Toute société multiculturelle est multiconflictuelle et l’Europe qui, par esprit de lucre puis faiblesse, a laissé se constituer sur son territoire des communautés allogènes de plus en plus importantes et donc de plus en plus revendicatrices, a ainsi semé les germes des crises à venir, et dont le terrorisme islamique ne donne qu’une idée parcellaire. Pour tenter d’éviter les guerres ethnico-civiles de demain, Arthur Kemp estime que « l’ethnonationalisme — ou l’exigence des peuples à s’autogouverner dans les zones géographiques qui leur sont propres — fournit la seule vraie réponse au cauchemar international ».
 
 Les djihadistes qui sèment la terreur en Europe ne sont pas tous des migrants. Au contraire, beaucoup sont, de par le droit du sol, des citoyens belges et surtout français comme Adel Kermiche, l’égorgeur « normand» du Père Hamel et son complice Abdelmalik Petitjean né de parents maghrébins mais reconnu à l’âge de six mois par Franck Petitjean, le second mari de sa mère Yamina, laquelle obligeait l’enfant à faire le ramadan. L’origine, la religion ancestrale et l’atavisme ont ainsi primé sur le lieu de naissance, la civilisation du pays d’accueil et l’éducation donnée par l’école. Comme le répétait Jean-Marie Le Pen, dans l’un de ces dérapages qui lui furent tant reprochés mais reflétaient si bien la réalité, il ne suffit pas à des vaches de naître dans une écurie pour être de fringants coursiers.

Arthur Kemp : « Qu’est-ce que l’ethnonationalisme ? »

Ce n’est pas Arthur Kemp, auteur de « Bâtir le foyer blanc » et dont le dernier livre est un plaidoyer pour l’ethnonationalisme, qui s’inscrira en faux contre cette idée. Britannique né en Rhodésie (occurrence qui n’a pas fait de lui un Bantou, pas plus qu’« un Africain qui a appris le mandarin et s’habillerait à l’orientale ne deviendrait chinois » !), lui aussi estime que le fait de s’installer dans un pays ne transforme pas automatiquement les nouveaux arrivants et leurs descendants en natifs. Cette nouvelle population a un inné que ne contrebalance pas l’acquit, et c’est justement en raison de cette impossibilité qu’on s’acharne à nous « vendre » la « diversité » en nous en serinant les supposés bienfaits.

Mais justement, s’interroge Arthur Kemp, pourquoi les plus exaltés thuriféraires de la diversité sont-ils aussi les adversaires résolus de l’ethnonationalisme ? Ou, plutôt, pourquoi n’acceptent-ils celui-ci que lorsque cette affirmation est « d’origine extra-européenne », rejetant comme racistes les aspirations des nations (au sens latin du terme) leucodermes ? Contradiction absurde et surtout injuste car, soutient notre auteur, qui rejette la notion de gradation entre les races, chacune étant la mieux armée pour son milieu d’origine, « rien ne justifie ces deux poids deux mesures. La population européenne — et ses différents États-nations — a tout simplement autant le droit à l’autodétermination que n’importe quel autre peuple de la planète ». Elle a donc le droit de refuser une submersion qui conduirait à sa propre dilution, de refuser des systèmes scolaire et de santé « pour tous » préjudiciables à ses propres enfants, de refuser les croyances — et leurs formes d’expression souvent ostentatoires, qu’il s’agisse des prières de rue ou de la fête du dieu Ganesh — totalement étrangères sinon antagonistes à sa propre foi.

Toute société multiculturelle est multiconflictuelle

Alors, au nom de quoi ostraciser l’ethnonationalisme qui « n’entend pas éliminer, opprimer, pénaliser ou dominer qui que ce soit, mais plutôt se libérer de toutes ces contraintes » ? Et comment ceux qui sanglotent sur le génocide des Aborigènes, la disparition des peuples premiers et le déclin des nations Peaux-rouges peuvent-ils rester aveugles devant le Grand Remplacement en cours du tsunami migratoire et des différentiels démographiques. S’adressant à un public britannique, Arthur Kemp cite des statistiques effarantes sur le Royaume-Uni où, d’ici à 2021, donc demain, les écoliers allogènes seront majoritaires. Mais n’en va-t-il pas de même dans de nombreuses métropoles françaises ou belges où le prénom Mohamed souvent décliné en turc (Mehmet) ou en bambara (Mamadou) est également le plus donné ?

L’ethnonationalisme est tout simplement la préférence nationale que le Front populaire privilégia d’ailleurs en France (voir les décrets Ramadier dont Bruno Mégret préconisa de s’inspirer), à l’opposé du « nationalisme civique défendu par la droite » — que Kemp a raison de critiquer car il accorde les mêmes droits à tous les citoyens, qu’ils soient de souche ou de papiers, et qui n’est rien d’autre que le multiculturalisme encouragé par la gauche.

Or, l’histoire contemporaine le prouve partout à la surface du globe : plus une société est multiculturelle et plus elle est multiconflictuelle. Bref mais dense, l’argumentaire d’Arthur Kemp sur l’ethnonationalisme — qui, soutient-il, « est le véritable porte-drapeau de la diversité car qu’est-ce que la diversité sinon la préservation et la valorisation de chaque identité ? » — montre qu’il est temps de réfléchir à cette solution pour échapper au cataclysme.

 

Source : polemia

Après Black M, c’est Pokemon Go qui vient perturber les lieux de mémoire de la Bataille de Verdun

Publié par Guy Jovelin le 14 août 2016

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Il est hélas bien difficile de maintenir le respect et la dignité dans les lieux de mémoire de la Première guerre mondiale en ce centenaire de la bataille de Verdun. Après la polémique autour de l’annonce d’un concert du rappeur Black M à Verdun et celle des adolescents invités à courir entre les tombes lors de la cérémonie de commémoration, c’est une nouvelle controverse qui a fait son apparition : celle de l’incursion du jeu Pokemon Go à Douaumont à laquelle il a fallu mettre fin.

En ce début du mois d’août, le directeur de l’ossuaire de Douaumont avait remarqué un étrange manège ; de plus en plus de visiteurs déambulaient le regard fixé sur leur smartphone. L’explication a vite été connue : les concepteurs du jeu Pokemon Go avaient fait de Douaumont une arène de leur jeu, un lieu où les équipes de chasseurs de Pokemon pouvaient s’affronter. Et tout ce petit monde de jouer aux adolescents attardés sans songer un seul instant à ce que représente le lieu dans lequel ils s’amusaient.

Fort heureusement, Élodie Farcage, chargée de la communication de l’ossuaire de Douaumont, vient d’annoncer que les Pokémon ont disparu de Douaumont et que le lieu devrait retrouver sa quiétude.

Cependant, d’autres lieux de mémoire de la bataille de Verdun sont encore incommodés par cette épidémie virtuelle. La direction du Mémorial de Verdun confirme être affectée :  «Il y a une arène dans le musée, mais pas de réseau, donc les joueurs ne peuvent pas l’utiliser». Idem au village détruit de Fleury-devant-Douaumont, où une arène est apparue sur le monument aux fusillés.

De nouvelles interdictions de chasses aux Pokemon devraient être obtenues dans les prochaines heures.

Mais tout cela en dit long sur le niveau de la population occidentale…

 

Source : medias-presse.info