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samedi, 29 octobre 2016

FICHAGE ETHNIQUE « POSITIF » CHEZ FRANCE TÉLÉVISIONS

Publié par Guy Jovelin le 29 octobre 2016

Fichage ethnique « positif » chez France Télévisions

FICHAGE ETHNIQUE « POSITIF » CHEZ FRANCE TÉLÉVISIONS

Conçu et proposé par le Club du XXIe siècle, un réseau qui milite pour la « valorisation de la diversité », il s’agit d’un annuaire de personnalités « issues de la diversité à destination des journalistes et producteurs d’émissions ». À l’heure actuelle, cet annuaire recense 150 personnalités « issues des minorités visibles, qui sont à même d’être invitées dans les JT et les émissions de débat ».

Car comme nous l’explique France Télévisions, mais aussi Le Monde, « ce sont encore majoritairement des hommes blancs qui s’expriment à l’écran ». Et ça, en France, c’est un problème. En juin dernier, la direction du groupe audiovisuel public publiait son « bilan diversité 2015 » estimant à « 12 % la proportion de non-Blancs dans l’information sur France 2 et à 10 % sur France 3 ».

Pour faire simple, l’outil qui sera proposé en novembre sera exclusivement interne et présenté sous forme de plateforme numérique avec trois types de classement : par métier, par type de sujet et par mot-clé. « Il s’agit d’offrir à nos journalistes et producteurs d’émissions un panel d’experts qui soient différents de ceux qu’on voit habituellement », explique Marie-Anne Bernard, directrice chargée de la responsabilité sociale et environnementale. Mais attention, « il ne s’agit pas d’un répertoire ethnique mais d’une incitation à ouvrir nos antennes à tous ceux qui ne sont pas dans les carnets d’adresses des journalistes ».Tartuffe n’aurait pas dit mieux…

Pourtant, le projet promu par le Club du XXIe siècle comme par la chaîne signale bien qu’il est question de « diversité » et de « minorité visible »… pas du tout d’experts inconnus. Rien d’étonnant cependant au sein de ce maison dirigée par une femme, Delphine Ernotte, qui avait trouvé à son arrivée qu’il y avait trop d’hommes blancs de plus de 50 ans chez France TV.

 

Source : ojim

Le Grand Orient de France veut naturaliser les immigrés clandestins

Publié par Guy Jovelin le 29 octobre 2016

Usant de la rhétorique mensongère de "réfugiés", alors qu'il s'agit d'immigrés clandestins, le Grand Orient de France appelle à donner la citoyenneté à tous les clandestins de Calais :

Capture d’écran 2016-10-28 à 19.35.16"Attentif depuis longtemps à la situation des réfugiés de Calais, notamment à travers l'action de sa Fondation, le Grand Orient de France se félicite du démantèlement de la "jungle". Les conditions d'hébergement et de vie des réfugiés n'étaient pas dignes d'une grande démocratie. Il convient donc de saluer la décision qui permet à ceux d'entre eux susceptibles de demeurer en France d'être accueillis sur la totalité du territoire national.

Les efforts déployés par les élus locaux, les fonctionnaires, les associations, les citoyens individuellement, afin de faciliter l'accueil des réfugiés illustrent la tradition d'accueil et d'hospitalité de notre République. Tradition qui doit d'autant plus s'appliquer aux populations meurtries qui ont dû fuir la guerre, la barbarie et le fanatisme.

Notre devoir moral et civique nous enjoint à l'exercice immédiat et concret de la solidarité au nom de la Fraternité et de l'Humanisme.

Désormais, pour les réfugiés qui souhaitent s'installer durablement en France, la seule voie qui convient est celle de l'intégration et de la citoyenneté.

Le Grand Orient de France encouragera toutes les initiatives grâce auxquelles, demain, les réfugiés deviendront des citoyens à part entière, avec les droits et les devoirs qui s'appliquent à tous au sein de la communauté nationale."

Combien d'immigrés logent (c'est la cas de le dire !) au 16 rue Cadet, Paris IXe ?

 

Source : lesalonbeige

Montpellier : nouvelles agressions commises par des migrants mineurs isolés.

Publié par Guy Jovelin le 29 octobre 2016

Par le 28/10/2016
 
Les mineurs isolés étrangers hébergés dans le département de l’Hérault depuis ces derniers mois continuent de défrayer la chronique. Deux adolescents de 16 ans et de 17 ans ont ainsi été interpellés par les policiers de la Sécurité publique de Montpellier, après des vols avec violences, perpétrés mardi soir.

Peu après 22h, rue Maguelone, entre la place de la Comédie et la gare SNCF Saint-Roch, un piéton a été encerclé par des jeunes gens, dont l’un lui a violemment arraché sa chaîne en or qu’il portait autour du cou. La victime a appelé police-secours via le 17 et a donné une description précise du trio, dont de celui ayant arraché le bijou. Vers 23h, deux des trois suspects ont été repérés par un équipage de la brigade anticriminalité (BAC) dans le centre-ville et conduits au commissariat central.

Chaîne dans une poche
Pendant que les deux mineurs étaient en garde à vue, un Montpelliérain se présentait à l’accueil pour déposer plainte après une agression commise sur l’Esplanade Charles de Gaulle, quelques heures plus tôt. On lui avait également arraché sa chaîne en or du cou. En voyant les deux adolescents en rétention à l’hôtel de police, il reconnaissait formellement l’un d’eux comme étant l’auteur. La fouille du jeune homme permettait de découvrir dans une poche le bijou en question et un téléphone portable, également volé mardi soir à un piéton dans l’Écusson, lequel a été identifié, puisqu’il est venu signaler ce vol à la tire.

[...]

E-metropolitain

Culture & Société • « La lice et sa compagne » : vraie fable de La Fontaine pour notre époque d'immigration

Publié par Guy Jovelin le 29 octobre 2016

 

Il circule tout et n'importe quoi sur le Net : une fausse fable - bien imitée, d'ailleurs - attribuée à La Fontaine, nous a été communiquée par plusieurs lecteurs; elle se veut une critique de l'immigration, mais il s'agit d'un faux. Si l'on veut évoquer l'immigration insensée, voulue et organisée par le Système, dans le but bien précis de « changer le peuple », pourquoi faire du faux La Fontaine ? Il n'y a qu'à prendre le vrai, telle cette fable de « La lice et sa compagne ». Pour ceux qui, habitant Paris, auraient du mal à comprendre : prenez le métro et sortez à Saint-Denis Basilique. Là, en un seul regard, vous aurez tout compris... Et, en province, si vous êtes courageux - et un très gros brin téméraire - allez dans une des Cités qui entourent vos villes. Mais, un conseil, vérifiez vos assurances et mutuelles santé avant, et que vous êtes bien à jour de vos cotisations...

Voici le texte; place au grand La Fontaine (la lice est la femelle du chien de chasse; ici, elle va mettre bas) : 


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Une Lice étant sur son terme,
Et ne sachant où mettre un fardeau si pressant,
Fait si bien qu'à la fin sa Compagne consent
De lui prêter sa hutte, où la Lice s'enferme.
Au bout de quelque temps sa Compagne revient.
La Lice lui demande encore une quinzaine.
Ses petits ne marchaient, disait-elle, qu'à peine.
Pour faire court, elle l'obtient.
Ce second terme échu, l'autre lui redemande
Sa maison, sa chambre, son lit.
La Lice cette fois montre les dents, et dit :

Je suis prête à sortir avec toute ma bande,
Si vous pouvez nous mettre hors.
Ses enfants étaient déjà forts.

Ce qu'on donne aux méchants, toujours on le regrette.
Pour tirer d'eux ce qu'on leur prête,
Il faut que l'on en vienne aux coups ;
Il faut plaider, il faut combattre :
Laissez-leur prendre un pied chez vous,
Ils en auront bientôt pris quatre.   

La Lice et sa compagne est la septième fable du livre II des Fables de Jean de La Fontaine situé dans le premier recueil des Fables, édité pour la première fois en 1668.

 

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Saint-Denis en France ...

 

Source : lafautearousseau

Les histrions de la haine

Publié par Guy Jovelin le 29 octobre 2016

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Bernard Plouvier

Les hommes et les femmes des media (et les individus de sexe indéterminable), du journaliste qualifié à l’amuseur public, sont devenus presque tous des agents de propagande, passant alternativement de l’état d’enthousiaste partisan à celui de zélote de la vindicte et de la pure haine.

Manifestement, les professionnels (et les amateurs, via le Net) de « l’information » se comportent en fanatiques, épouvantés par l’idée de se situer en état d’équilibre, ce qui revient à exposer honnêtement les points forts autant que les faiblesses de l’adversaire politique ou de la cible désignée par le propriétaire de la chaîne de media où ils officient.

On ne se situe jamais au juste milieu entre la louange hyperbolique et la dénonciation haineuse. On ne procède plus par réflexions, même dubitatives, mais par affirmations péremptoires sur les individus et les programmes (souvent mensongers, on le reconnaît, volontiers).      

On conçoit que, de nos jours, un Européen s’attaque très vigoureusement à l’islam conquérant et terroriste - l’islam djihadiste – et dénonce avec force l’immigration-invasion. Sur ces points, le fanatisme est de règle, car c’est l’avenir du continent et de sa race qui est en jeu. Seuls les sourds et les aveugles volontaires peuvent nier cette réalité… et ce « négationnisme » est fort bien porté, en dépit de son financement extra-européen, qui devrait logiquement faire évoquer l’accusation de haute-trahison.

Mais, dans le débat interne entre Européens, la haine est à l’évidence un ingrédient aussi stupide que dangereux. À la fin des années quarante, alors qu’il se débattait contre la tuberculose qui l’emporterait, ‘’George Orwell’’ (Eric Blair), dans son immortel 1984, limitait à deux minutes l’émission télévisée quotidienne de haine partisane.

Depuis les années 1990 – la fin de ces années Mitterrand dont on nous rebat les oreilles -, les émissions des chansonniers-imitateurs et les actualités télévisées déversent un message de haine de bien plus longue durée et distillé moult fois au cours de la même journée. Le public en redemande, qui peut zapper d’une chaîne débile vers une autre, plus grotesque encore.

Nous en sommes revenus au niveau de violence verbale (et scripturale sur les blogs du Net) de l’Entre-deux-Guerres. Or de la propagande hyper-violente aux combats de rues, il n’y a pas beaucoup de chemin à faire.

Les sauvageons de l’immigration nous le démontrent quotidiennement, qui s’immiscent dans un débat politique où ils ne devraient pas avoir le droit de pénétrer. Les choix de société en Europe ne concernent que les Européens de souche, du moins le devraient-ils.

Autochtones, ceux-là, des dinosaures reproduisent les détestables habitudes que l’on avait cru disparues avec la fin, dans le ridicule et la misère, de l’abjection marxiste. De curieux ministres de l’Intérieur, en principe voués au maintien de l’ordre, financent et protègent des groupuscules trotskistes… et tout le monde se souvient du jeune étudiant trotskiste et bourgeois qui a perdu la vie dans un combat de rues, incompatible avec sa constitution physique. La responsabilité de la grossière provocation, qui a entraîné le malheureux décès, échoit aux politiciens commanditaires.

L’étude de la vie publique des années 1919 à 1990, en Europe, devrait nous servir de leçon : des insultes on passe très vite aux bagarres et aux morts. Or, en ce triste début de l’ère globalo-mondialiste, les Européens ont mieux à faire que de s’entretuer.

Il est plus que temps de débuter une saine réflexion sur les comportements politiques et la façon d’envisager le débat d’idées. Répétons-le : que l’on s’oppose très vigoureusement à l’immigration-invasion et au péril mahométan, c’est une nécessité vitale pour l’avenir du continent. Mais entre Européens de souche, le débat d’idéaux et de projets de société doit rester de haut niveau intellectuel et moral.

Nous avons trop d’ennemis extérieurs, à la fois trop nombreux et trop puissants, pour nous payer le luxe dangereux de nous étriper mutuellement. L’époque des guerres de religion et des guérillas politiques où le sang coule devrait être considérée comme révolue. L’intérêt des générations futures d’Européens commande de ne pas renouveler les guerres fratricides, ni à l’intérieur d’un pays, ni entre États voisins, ces conflits stupides qui furent si nombreux et si meurtriers au siècle dernier.    

 

Source : synthesenationale