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mardi, 22 janvier 2019

Montpellier (34) : un Marocain armé crie « Allah Akbar » dans un restaurant, la serveuse le désarme

Publié par Guy Jovelin le 22 janvier 2019

Par  le 22/01/2019

 

Un Marocain âgé de 43 ans a été neutralisé par les clients du restaurant L’Escale, dans la rue Aristide Olivier, entre les places de la Comédie et Carnot, samedi soir, après qu’il a récité une prière, braqué la serveuse avec une arme à feu et annoncé qu’il allait tuer un client, avant de crier « Allah Akbar », à la vue des premiers policiers.

[…]

La serveuse désarme le suspect

[…]

Elle a tenté de le calmer et a profité d’une nouvelle prière qu’il s’est mis à réciter en levant la tête pour le désarmer, en s’emparant du pistolet qu’il tenait dans une main dans son dos

[…]

Selon une source proche de l’enquête, il a hurlé « Allah Akbar » et a récité « la chahada », la profession de foi de l’Islam, quand la patrouille de la BST est arrivée sur place.

[…]

e-Metropolitain via fdesouche

samedi, 15 décembre 2018

Le Club 50 ou la Fraternelle maçonnique des puissants de Montpellier

Publié par Guy Jovelin le 15 décembre 2018

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

Parmi la myriade d’organisations relevant des forces occultes présentes en France, il en est une qui s’appelle le Club 50 et sur laquelle peu d’informations sont accessibles. Petit résumé de ce qu’on sait à ce jour de cette fraternelle inter-obédiences maçonniques qui rassemble une liste de personnalités puissantes de Montpellier et des environs.

 
 

dimanche, 04 novembre 2018

Des mineurs étrangers sèment la terreur à Montpellier

Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2018

migrants crs

Quotidiennement, des mineurs non accompagnés (MNA) sont impliqués dans des cambriolages et des vols à l’arraché commis parfois avec violence ou sous la menace d’une arme, dans les rues de la capitale héraultaise et sa région.

Ces individus se déclarant mineurs sont également régulièrement utilisés comme petites mains pour la vente de drogue ou le trafic de cigarettes de contrebande.

Du fait de leur minorité et donc soumis à l’ordonnance de 1945, ces délinquants voient leur mesure de garde à vue rapidement levée après leur interpellation sur instruction du magistrat de permanence.

Ils sont ensuite raccompagnés vers leurs foyers d’accueil d’où ils ressortent aussitôt pour aller récidiver jusqu’à leur prochaine interpellation.. Et le cycle infernal recommence..

Depuis deux ans, nos services tirent la sonnette d’alarme sur la multiplication des délits commis par ces jeunes délinquants livrés à eux-mêmes et se revendiquant mineurs.

La plupart débarquent en continu dans l’Hérault via des réseaux de passeurs depuis le Maroc ou l’Albanie comme le constate aussi le journal Midi Libre.

Cet été, la France a dû solliciter le renfort de fonctionnaires marocains pour tenter d’identifier ces mineurs délinquants, dépourvus de document d’identité.

L’Espagne aurait actuellement à faire face également à la présence de 10.000 mineurs non accompagnés dans la région andalouse dont une majorité de Marocains arrivés en bateau sur les côtes ibériques.

Pendant ce temps en France, le Conseil constitutionnel a affirmé le 6 juillet dernier qu’une aide désintéressée au séjour irrégulier ne saurait être passible de poursuites au nom du principe de fraternité.

Les sages ont ainsi rendu légale l’activité de passeur « bénévole », encourageant l’aide à l’immigration clandestine sur notre territoire..

 

Source : france-police.org

dimanche, 07 octobre 2018

Montpellier : elles reviennent du rassemblement pro-migrants de l’Aquarius et se font sauvagement détrousser par des migrants clandestins

Publié par Guy Jovelin le 07 octobre 2018

  
 

BREIZATAO – NEVEZINTIOU (07/10/2018) C’est ce que l’on appelle l’histoire de l’arroseur arrosé.

E-Metropolitain :

Un courageux commerçant du boulevard du Jeu de Paume, à Montpellier a neutralisé trois mineurs âgés de 13 ans pour deux d’entre-eux et de 15 ans, samedi après-midi en les coursant au guidon de son scooter. Des scènes surréalistes dignes d’un polar vécues par des centaines de témoins.
Samedi peu après 16h, le commerçant regagnait sa boutique sur le Jeu de paume sur son scooter, où avait pris place son fils âgé de 12 ans : « Je venais d’aller le récupérer à son cours de boxe, quand dans la rue Marceau, entre Gambetta et Jeu de Paume, j’ai entendu des cris de femmes et j’ai aperçu deux dames de 50 à 60 ans courir dans le hall d’un immeuble poursuivies par trois jeunes. Le trio est ressorti et a détalé, après avoir arraché le collier en or autour du cou de l’une des victimes. J’ai aussitôt déposé mon fils auprès des deux dames pour les rassurer et à scooter, j’ai pris en chasse les trois individus qui couraient sur les trottoirs du boulevard du Jeu de Paume. Deux policiers municipaux en patrouille, témoins de cette course-poursuite sont intervenus au moment où je venais de coincer deux des agresseurs. Ils ont eu leur attention attirée par ce remue-ménage ».
Pendant que les policiers municipaux rapidement renforcés par une autre patrouille menottaient les deux adolescents en attendant de les remettre aux policiers de la Sécurité publique, le courageux témoin partait à la recherche de leur complice, toujours juché sur son scooter : « J’ai réussi à le localiser dans la rue Alexandre Cabanel, entre le Jeu de Paume et l’église Saint-Roch. Je l’ai bloqué avec la roue avant de mon scooter, je lui ai sauté dessus, je lui ai fait une clé de bras pour lui faire cracher le collier en or qu’il venait de dissimuler dans sa bouche. Des passants et des commerçants se demandaient ce qu’il arrivait. Puis, je l’ai ramené aux policiers municipaux encore présents sur le boulevard du Jeu de Paume, avant de foncer sur Marceau où mon fils avait réconforté les deux dames, à qui j’ai remis le bijou. Elles m’ont vivement remercié. Je leur ai simplement dit que j’avais fait mon devoir de citoyen; Que j’étais fier d’avoir fait preuve de civisme sous les yeux de mon gamin de 12 ans ».
Pour l’anecdote, les deux femmes agressées revenaient du rassemblement organisé sur la place de la Comédie en faveur du bateau des migrants Aquarius. Et elles ont croisé le chemin des trois arracheurs de colliers en or : des mineurs étrangers de 13 et 15 ans non accompagnés [des migrants clandestins, NDLR]

 

Source : breizatao

 

mardi, 11 septembre 2018

Montpellier (34) : un père de famille poignardé alors qu’il portait secours à son fils agressé par 30 migrants (MàJ : « On est tombé dans un guet-apens »)

Publié par Guy Jovelin le 11 septembre 2018

Par  le 10/09/2018

 

10/09/2018

Cinq personnes ont été sauvagement prises à partie par un groupe de ressortissants albanais vendredi 7 septembre.

« On est tombé dans un guet-apens ! ». Blessé au thorax par de multiples coups de couteau, à la tête par des coups de planche… Le père de famille voulait discuter avec de jeunes ressortissants albanais soupçonnés d’avoir, un peu plus tôt, agressé son fils, élève au lycée Joffre.

(…) « Vers le petit lac, une quinzaine de personnes nous est tombée dessus avec des bouteilles, des pierres, des planches cloutées… une véritable organisation. »

(…) Deux bouteilles sont fracassées sur le crâne de l’oncle, le père de famille reçoit des coups de lame dans le dos, le flanc. « C’était un cauchemar. Devant mon fils qui se faisait taper, je ne pouvais rien faire et je prenais des coups de couteau… ». Un couple tente courageusement de s’interposer, « ils ont été lynchés ».

(…) Midi Libre


09/09/2018

INFO MÉTROPOLITAIN. Le père d’un adolescent âgé de 14 ans, élève au lycée Joffre à Montpellier a été poignardé vendredi vers 17h devant l’établissement, sur l’Esplanade Charles de Gaulle, alors qu’il portait secours à son fils agressé avec d’autres lycéens par une trentaine de migrants de nationalité albanaise, hébergés notamment par des associations locales dans le quartier de Gambetta.

Le parent d’élève a reçu trois coups de couteau et a été transporté au CHU Lapeyronie, à Montpellier. (…) Un couple et une personne âgée qui se trouvaient à l’endroit de cette scène de violence, dont le mobile reste inconnu encore, ont également été malmenés par cette bande.

« Les lycéens de Joffre sont en danger, depuis la rentrée, la même situation recommence comme l’année dernière, à savoir que des élèves sont abordés par ces migrants albanais regroupés en bande, souvent une trentaine pour leur vendre de la drogue. Ceux qui refusent sont menacés au couteau ou frappés (…) Les parents doivent être informés, car un jour, il y aura un mort », témoigne la soeur du père du lycéen poignardé vendredi.

E-metropolitain.fr via fdesouche