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samedi, 29 octobre 2016

Quimper : Les faïenceries Henriot créent une « Marianne noire » pour soutenir les migrants

Publié par Guy Jovelin le 29 octobre 2016

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Source Breiz Atao cliquez ici

La dégénérescence s’accélère si vite qu’il est difficile de traiter l’information au rythme où les choses évoluent. Cette fois-ci, elle implique les très vénérables faïenceries Henriot, à Kemper/Quimper, en Cornouaille (Finistère).

L’artiste Yannick Cohonner et Jean-Pierre Le Goff, le patron de la faïencerie Henriot-Quimper, se sont tout de suite entendus autour de la création d’une nouvelle statue de Marianne. Leur première rencontre remonte à l’été 2015. Cette collaboration a débouché sur l’édition d’une Marianne, couleur chocolat. C’est aussi un signe supplémentaire de la liberté revendiquée par le patron de la manufacture. Réaliser une Marianne noire, qui plus est à partir d’un prototype en 3D, est une première en France. Cette fois-ci, Yannick Cohonner revendique pleinement cette nouvelle version de Marianne. Elle ne devrait pas laisser indifférent. « Ce serait formidable qu’elle suscite des réactions. Cette Marianne est tout sauf une femme blanche et catholique. Cette figure incarne aussi les valeurs de la citoyenneté qu’il est bon de réaffirmer dans cette période. » (Source)

Cette bouffonnerie appelle plusieurs observations. Premièrement et objectivement, cette production est médiocre, sans inspiration, même dans la catégorie qu’elle prétend occuper : un resucé d’Art Nègre des années 30. On ne découvre pas deux fois l’Amérique.

Que des Bretons dégénérés en viennent à souiller une marque quimpéroise illustre comme Henriot pour consentir à la doxa jacobino-métisseuse, voilà qui donne le ton de l’effondrement général de notre niveau culturel.

On ne peut nier cependant la cohérence à la démarche : Marianne, la putain issue du caniveau révolutionnaire, illustre parfaitement les valeurs de cette république finissante. Elle n’est jamais tant elle-même qu’une fois africanisée. Elle incarne alors parfaitement cette entreprise de destruction que constitue le programme politique du jacobinisme républicain. Surtout en terre bretonne depuis deux siècles.

 

Source : synthesenationale

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