Au passage la préfète qui nous parle au départ de la « tradition » de détruire par le feu les habitats avant de partir, finit par nous expliquer que ce qui a brûlé sont en définitive les commerces. Mensonges et contradictions…
Des propos inouïe, d’autant plus explique-t-elle qu’elle savait très bien que des incendies allaient avoir lieu, disant avoir discuté avec les « chefs de communauté ». Mais devant l’impossibilité de faire renoncer les envahisseurs à leurs « traditions », la préfète s’est contentée des prépositionner des pompier…
Absolument ubuesque !!!
Vidéo du camps après l’incendie « traditionnel » :
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