Il est à noter que l’attaque précédente a eu lieu le 3 novembre quand des obus contenant des gaz toxiques ont été lancés dans le sud-est d’Alep.
L’attaque chimique menée le 30 octobre par les extrémistes à proximité de l’Académie Al-Assad a fait un mort et au moins 40 civiles blessés.
Selon les militaires syriens, dans tous ces cas, les terroristes ont recouru à des armes chimiques à base de chlore. Le communauté internationale a complètement ignoré l’utilisation des substances toxiques par l’opposition syrienne.l’ONU n’ a qu’annoncé que ses experts « étudieraient les détails ». Une enquête n’a pas même été entamée.
La veille, l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) a publié un rapport où elle accusait l’EI mais aussi la Syrie d’avoir utilisé des armes chimiques.
Le texte prévoit également l’introduction des sanctions contre des infrastractures militaires et scientifiques syriennes. Dans ce cas-là,la Ministère des Affaires étrangères a tout à fait raison d’avoir condamné cette résolution en la qualifiant de subjective.
Il est évident que des organisations internationales sont de parti pris compte tenu leurs accusations injustes d’avoir tué des civiles d’ Alep ou d’avoir bombardé des écoles et des quartiers d’habitation.
Il ne reste qu’à espérer que les soi-disant activistes occidentaux arrêteront d’accuser Damas d’attaque chimique et de « crime contre l’humanité » ainsi que de se taire devant les actes terroristes.
Source : 24heuresactu
Les commentaires sont fermés.