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lundi, 12 juin 2017

LE PARTI DE LA FRANCE AUX ÉLECTIONS LÉGISLATIVES : MERCI À NOS CANDIDATS, MILITANTS ET ÉLECTEURS !

Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2017

Carl Lang et le Parti de la France remercient les électeurs qui ont apporté leurs suffrages aux candidats du PdF et plus largement à ceux de l’Union des Patriotes.


Le Parti de la France aux élections législatives  : merci à nos candidats, militants et électeurs !
Le Parti de la France félicite toux ceux, candidats, militants et sympathisants qui ont eu le courage de porter avec fierté les couleurs de la droite nationale et de faire campagne pour notre France, nos traditions, nos familles et nos libertés contre l’islamisation de notre pays.
Nous savions que dans ce contexte de confiscation médiatique où l’accès aux chaînes de télévision et de radio nous est interdit, il serait extrêmement difficile de faire entendre notre voix. Les circulaires électorales reçues 3 jours avant le scrutin par les électeurs sont dérisoires au regard des centaines d’heures de télévision et de radio que se partagent les personnalités et partis du système.
Dans ce contexte de démocratie confisquée, l’engagement de nos candidats et militants est d’autant plus admirable. Contrairement aux autres formations installées depuis des décennies dans la vie politique, Le Parti de la France n’avait rien à perdre dans cette bataille législative : nous n’avons donc rien perdu.
Ces résultats qui ne sont évidemment pas à la hauteur de nos ambitions électorales avec 18 candidats sur 56 qui ont dépassé la barre des 1% ont cependant permis de faire découvrir le Parti de la France et de rassembler de nouvelles personnalités et de nouveaux militants.
La règle de vote pour le deuxième tour reste conforme à la stratégie du Parti de la France : nous appelons à faire battre les candidats de gauche et ce quelque soit leur étiquette.
Le Parti de la France appelle plus que jamais les sympathisants de la droite nationale à le rejoindre afin que nous organisions ensemble la nécessaire résistance nationale.

Maurras : « La monarchie royale confère à la politique les avantages de la personnalité humaine »

Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2017

 

« On s’habitue à cacher nos formes, à baisser la tête » : Des femmes harcelées à La Chapelle témoignent

Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2017

Par le 11/06/2017 

Une question passionnée. Depuis la parution d’un article du Parisien sur le harcèlement des femmes dans le quartier de la Chapelle, une chape de plomb s’est levée dans ce coin du nord-est de Paris. Dans cet article, publié le 18 mai, certaines femmes assurent qu’elles ne peuvent plus sortir seules dans les rues, « porter une jupe ou un pantalon trop près du corps » sans se faire insulter et agresser.

Deux associations du quartier, SOS La Chapelle et Demain La Chapelle, ont lancé une pétition pour dénoncer la situation de ces femmes, qu’elles décrivent comme « une espèce en voie de disparition au cœur de Paris ». Le 6 juin, la pétition totalisait près de 20 000 soutiens.

Depuis, dans les cafés, les commerces, à la sortie des écoles, sur les panneaux d’affichage, les appels à résister à une description « caricaturale » du quartier font face aux louanges d’une « vérité » que l’article aurait « enfin » exprimée.

Mais le constat est unanime : le quartier de la Chapelle n’est pas comme les autres. De la place centrale saturée et surplombée par le métro aérien à la halle Pajol récemment inaugurée, un condensé de cultures et de misère s’entrecroise. Franceinfo a passé une semaine dans ce quartier de Paris pour rencontrer ceux qui le font vivre. Voici leurs témoignages.

(…) Lucie est lasse de voir la parole des femmes remise en question. Depuis son installation dans le quartier, il y a deux ans, cette chargée de communication ne compte plus le nombre de fois où elle s’est fait insulter ou siffler. « Ça va de l’interpellation – ‘eh coquine’, ‘t’es charmante’ – à l’insulte – ‘baisse les yeux salope’, raconte-t-elle. Au début, je répondais, je leur disais ‘ta gueule’, ‘espèce de connard’, mais en fait, ça ne servait à rien. Le lendemain, un autre recommençait. » Il y a aussi les gestes, les regards, les souffles dans le cou ou les murmures qu’elle seule peut entendre. « Les hommes ne crient pas quand ils agressent. Ils font bien en sorte que seule la femme visée puisse entendre, c’est très pervers. Je me suis sentie sale plusieurs fois », décrit-elle. (…)

(…) Habitante d’un immeuble donnant sur la place de la Chapelle, Laurence prend sur elle, mais sa voix douce tremble entre deux phrases. « On ne peut pas prendre plaisir à se promener ici quand on est une femme. Depuis près de deux ans, notre immeuble est le territoire de bandes de trafiquants. Chaque jour, à partir de 16 heures, des gamins forcent la porte d’entrée et s’installent dans le hall pour dealer. Ils nous menacent, ils fument du shit, ils nous défient. »

« On nous traite de fachos, de racistes, mais on est juste impuissants. » Sur la porte de son immeuble, Laurence a d’ailleurs collé un texte où elle dénonce « ces habitudes ». « On s’habitue à cacher nos formes, à baisser la tête, surtout quand on rentre tard, et puis… tout le temps en fait. » « Le problème, ici, c’est une surpopulation d’hommes et de trafiquants. Quelle femme s’y sentirait bien ? » (…)

(…) FranceInfo

 

Source : fdesouche