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lundi, 14 janvier 2019

État des lieux Le Parti de la France : le recours

Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2019

 
 
 
 
 

14 janvier 

 
   
 
État des lieux 
Le Parti de la France : le recours
 
 
 
Dans un entretien publié par l'hebdomadaire Valeurs Actuelles paru jeudi dernier, Marine Le Pen faisait le constat de l'existence de convergences initiées à la faveur du mouvement des Gilets jaunes entre le Rassemblement national et la France Insoumise, convergences dont elle se félicitait tout en regrettant que Jean-Luc Mélenchon ne s’engage pas encore sur la voie du refus de l'immigration incontrôlée.
Il faut voir dans ces propos, quoique très mollement atténués le lendemain soir au JT de France2, le reflet d'une inclination personnelle ancienne, profonde et constante qui fait de Marine Le Pen une femme de gauche aux aspirations socialoïdes fortement ancrées.
Si l'on en croit les dictionnaires de référence, une convergence est le fait de permettre de se diriger vers un même but.
Le but de La Présidente du RN serait donc toujours, malgré le départ de Philippot et comme elle-même l'a toujours appelé de ses vœux, un dépassement des clivages dans un regroupement national-bolivariste avec les Chavez français de LFI qui, au demeurant, n'en veulent évidemment pas. Une cohérence qui a poussé vendredi Mélenchon à mettre les points sur les i en dressant la liste de tout ce qui le sépare de Marine Le Pen.
Il n'en reste pas moins que la dérive de cette dernière continue donc et ceux qui pensaient pouvoir discerner depuis quelques mois une redroitisation de l'ex Front National et un retour aux fondamentaux en seront pour leurs frais non compensés par le ralliement opportuniste de deux LR battus aux dernières élections législatives en quête d'un mandat européen.
La droite… Arlésienne de la vie politique française que seul Jean-Marie Le Pen avait su faire resurgir des abîmes où l'avaient perdue ses fossoyeurs régimistes, en portant haut les valeurs de civilisation et de libertés sur lesquelles s'est fondée notre existence nationale, en menant une lutte acharnée contre le communisme et ses épigones, en refusant toute forme de socialisation de notre société et en donnant le tocsin devant la menace migratoire.
Dans Droite nationale, il y a Nation. Mais il y a aussi Droite, paradigme essentiel qui conduit un mode de pensée, et d'agir.
C'est en abandonnant les principes de la droite que la mouvance libéralo-républicaine s'est égarée à jamais. C'est en y renonçant que le Rassemblement national de Marine Le Pen risque de s'engager dans des alliances contre nature et des aventures qui ne mèneraient qu'au chaos.
Dans les temps difficiles que nous traversons, il est nécessaire de bannir les idées fausses et de sortir de la confusion.
La Droite française et surtout la Droite nationale française à une histoire, des traditions, une vision constante. Elle est le mouvement de l’autorité de l'État, de la sécurité, du lien Armée/Nation, de la cohésion nationale, de l'équité sociale, du travail, de l’initiative et de l’énergie entrepreneuriale, des équilibres territoriaux, du respect des coutumes et des usages, des spécificités provinciales dans le maintien de l'unité de la Nation, des valeurs européennes et chrétiennes de civilisation, de l'innovation et de la recherche scientifiques, de l'amitié européenne et de la grandeur française. Elle est aussi le parti des libertés en même temps que celui de l'ordre et de la contre-révolution bonaldienne.
Autant de principes qui ne peuvent s'accorder à la recherche de convergences avec la gauche de la gauche, héritière des sans-culottes et nostalgique des massacres de septembre.
Au moment où le Pays est une nouvelle fois traversé par l'esprit de guerre civile accentué par les provocations du pouvoir et attisé par les menées de l’extrême gauche, le tout sous le regard menaçant de l'Étranger qu'il soit de l'extérieur ou de l'intérieur, la droite de résistance et de combat politique doit prendre ses responsabilités.
Tandis qu'un gouvernement de hasard, incapable de répondre aux justes revendications sociales et au désarroi civique, s’avère tout autant inapte à l'exercice du pouvoir régalien de maintien de l'ordre (Carl Lang rappelait le 11 janvier que « s'en prendre aux forces de sécurité, c’était rendre service au pouvoir qui joue la radicalisation » et que, si « le PDF soutenait le peuple des Gilets jaunes depuis le premier jour, il était aux côtés des forces de l’ordre contre les casseurs »…), la droite française doit se faire entendre et répondre aux nécessités du moment.
Un retour aux urnes – et pas pour on ne sait quel référendum/récupération – est probable à plus ou moins brève échéance après dissolution de l'Assemblée nationale, voire démission de Macron.
Dans le désert politique de notre camp, le Parti de la France doit être en mesure de relever le défi de la reconstruction d'une droite nationale forte comme le fit Jean-Marie Le Pen au début des années 1980.
Cela nécessite l'engagement de tous dans la discipline ; le refus de toute tentation groupusculaire activiste, la méfiance à l’égard de tout comportement marginal et le rejet de tout ce qui serait susceptible de nous couper du monde tel qu'il est. Nous ne sommes pas une amicale de nostalgiques. Nous sommes un parti politique responsable, déterminé et ambitieux pour la France.
Cela implique aussi un développement des aides financières consenties.
Cela implique bien sur une intensification du recrutement.
Cela implique enfin que nous sachions briser le mur du silence médiatique atour de Carl Lang.
Devenons ce que nous sommes : un recours.

lundi, 08 octobre 2018

Il est temps de prendre Le Parti de la France.

Publié par Guy Jovelin le 08 octobre 2018

le parti de la france,valeurs

Destruction de nos valeurs de civilisation, désintégration nationale, décomposition de l'Etat, trahison des "élites", préférence étrangère, immigration de masse, islamisation organisée et appauvrissement continu des Français: Il est temps de prendre .

lundi, 01 octobre 2018

IVG, PMA, GPA, euthanasie : le Parti de la France sera de tous les combats

Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2018

 

 

Le 11 septembre dernier, dans l’émission Le Quotidien de Yann Barthès sur TMC, le professeur Bertrand de Rochambeau, Président de l’association nationale des gynécologues et obstétriciens de France (SYNGOF), lançait un pavé dans la mare en déclarant que la pratique de l’interruption volontaire de grossesse s'apparentait à un homicide (« Nous ne sommes pas là pour retirer des vies »), et en évoquant sa clause de conscience.

Tollé dans le camp de la bien-pensance mortifère où la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, et la Secrétaire d’État à l’égalité femmes/hommes, l’ineffable Marlène Schiappa concertèrent de hauts cris en dénonçant « des propos intolérables ».

La réaction législative du marigot progressiste ne s'est pas non plus fait attendre. Moins de trois semaines plus tard, un groupe de sénateurs emmené par l’ancienne secrétaire d’État socialiste de François Hollande en charge de la famille, de l'enfance et du droit des femmes (seul un gouvernement socialiste pouvait inventer un tel maroquin « à la Prévert »), Laurence Rossignol, sénatrice de l'Oise et ancienne militante gauchiste de la Ligue Communiste Révolutionnaire (LCR), vient, en effet, d'annoncer son intention de déposer une proposition de loi visant à supprimer cette clause de conscience spécifique à l'IVG afin « d'adresser un message fort aux adversaires de l’avortement et à la société : le corps des femmes leur appartient et à elles seules ». Une mesure qui figurait déjà dans les recommandations du Haut Conseil à l'Égalité entre les femmes et les hommes publiées dans un rapport en 2017.

Rappelons que la loi Veil autorisant l'inacceptable, stipulait toutefois que L’IVG « devait rester l'exception et l'ultime recours pour des situations sans issues ». Refuser aux médecins leur droit imprescriptible à faire appel à leur conscience, ferait franchir à la France un pas décisif de plus sur la voie du totalitarisme progressiste, de la déliquescence morale et de la régression spirituelle.

Le Parti de la France considère que la défense de la vie, de son commencement à sa fin, est un marqueur fondamental de notre civilisation.

Au moment ou le gouvernement veut imposer aux Français l'extension de la Procréation Médicale Assistée aux femmes seules et aux couples lesbiens (la procréation sans père), Le PdF sera dans les mois à venir de tous les combats et de toutes les mobilisations contre les atteintes au droit naturel qui, de la PMA « pour toutes » à la GPA, en passant par l'euthanasie, entraînent notre civilisation vers le chaos.

Jean-François Touzé - Délégué national aux études et argumentaire

samedi, 08 septembre 2018

Pas de rappeur islamiste au Bataclan ! Mobilisons-nous. Résistons. Existons.

Publié par Guy Jovelin le 09 septembre 2018

Pas de rappeur islamiste au Bataclan ! Mobilisons-nous. Résistons. Existons. |

lundi, 11 juin 2018

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Publié par Guy Jovelin le 11 juin 2018


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