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mercredi, 26 juillet 2017

Nice (06) : plus de 200 migrants africains accompagnés par José Bové arrivent pour demander l’asile

Publié par Guy Jovelin le 26 juillet 2017

 
 

Plus de 200 migrants -des Soudanais, Érythréens, Somaliens et Tchadiens- ont rejoint Nice ce lundi matin pour se rendre à la Pada où ils feront une demande d’asile.

Les frais de transport, à hauteur de 1.000 euros, ont été pris en charge par les membres de Roya Citoyenne.

L’association qui vient en aide aux migrants était accompagnée par José Bové, l’eurodéputé écologiste, en visite dans la vallée de la Roya depuis ce samedi.

Le premier convoi est arrivé à 12h30 en gare de Nice

Un second convoi doit arriver en gare de Nice vers 16h30.

Source : fdesouche via Nice Matin

Père Hamel : un an après, la France se souvient

Publié par Guy Jovelin le 26 juillet 2017

Par Jean-Marie Guénois Mis à jour Publié 

 

 Un portrait du père Hamel est exposé, le 2 août 2016, à la cathédrale de Rouen, lors des funérailles du prêtre. 

REPORTAGE - Mercredi 26 juillet, une cérémonie honorera la mémoire du prêtre assassiné par deux islamistes.

À Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime)

Dans l'église de Saint-Étienne-du-Rouvray, l'autel où célébrait le père Hamel porte encore les stigmates de l'attaque aveugle des deux islamistes. Avant d'égorger le prêtre, ils se sont acharnés à coups de couteau sur le meuble sacré.Il est là, paisible, assis à quelques mètres de l'autel où, le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel a été égorgé, en tant que prêtre catholique et au nom de l'islam. «Il», c'est Bernard Auvray. Il a 72 ans et donne désormais de son temps pour que cette église puisse accueillir ceux qui veulent s'y recueillir. La tomette claire, où le religieux de 85 ans a agonisé, a été lavée. Il ne reste plus de traces apparentes de l'assassinat, sinon des petits trous rapprochés sur l'autel. Ce sont les marques des coups de couteau acharnés des deux islamistes contre ce meuble sacré, avant qu'ils ne retournent l'arme contre deux innocents, le célébrant et un vieux monsieur, Guy Coponet. En se faisant passer pour mort, ce fidèle s'en sortira en contenant sa plaie de la main, sous les yeux de sa femme, Janine, alors persuadée qu'il est sans vie. Guy fêtait ce jour-là son 87e anniversaire.

Un an après, il règne dans cette petite église une atmosphère de paix absolument indicible. «Le fait que Jacques Hamel soit parti a laissé un grand vide, explique Bernard Auvray, mais quelque chose, comme une présence, demeure ici.» Le père Auguste Moanda, curé de la paroisse, originaire du Congo, confirme: «Personnellement, je le sens très présent. Quand je suis un peu découragé, je le prie et le père Jacques vient à mon aide.»

Ce lieu de culte fut pourtant le théâtre d'une horreur meurtrière et symbolique contre l'Église catholique. Pour autant, il n'a pas déclenché «la guerre de religion» recherchée. Plutôt son contraire. «Beaucoup de choses ont changé depuis un an, assure Bernard Auvray, il y a toujours de la méfiance et pour certains de l'animosité, mais c'est un esprit de rapprochement entre musulmans et chrétiens qui domine.»

Mohammed Karabila, président de la mosquée de la ville, en témoigne: «La cicatrice est là, dit-il. La communauté musulmane n'oubliera jamais cet acte. Le sang de Jacques Hamel sera le liant de nos communautés.» Une dynamique voulue par l'archevêque du lieu, Mgr Dominique Lebrun: «Il faut être attentif à ne pas se laisser déborder par la vengeance et par la colère, souligne-t-il. Si la mort a un sens, c'est celui de la résurrection. Jésus nous aime tous. Il nous demande de nous aimer les uns les autres. Ce n'est donc pas de la naïveté que de dire que c'est sur cet amour qu'il faut reconstruire, même si l'islam récuse Jésus-Christ en tant que Fils de Dieu. Aller contre la tentation de s'approprier le martyr, en exhibant des bannières de croisades, est donc une décision spirituelle. Jamais le père Hamel ne sera le premier martyr des musulmans de France. Chrétiens, nous sommes plutôt appelés à un sursaut spirituel.»

«Convergence humaniste»

Cette stèle de bronze doit être inaugurée mercredi par les autorités, au cours d'un hommage. La Déclaration universelle des droits de l'Homme y est gravée.Mercredi, une cérémonie religieuse se tiendra à Saint-Étienne-du-Rouvray en hommage au père Hamel. La stèle ronde qui sera inaugurée, en présence des autorités de l'État, le long de l'église, avec une Déclaration universelle des droits de l'homme gravée dans le bronze, va-t-elle conjurer l'esprit d'affrontement? Dans la ville, on le veut: «Les gens en parlent moins, témoigne un commerçant. La population est mélangée ici: Français, Portugais, Espagnols, Maghrébins. Il faut donc jouer le bon sens et tourner la page. Sinon comment est-ce que cela finirait?» L'ancien maire communiste et désormais député, Hubert Wulfranc, renchérit: «Malgré l'indéniable horreur, des ponts se sont consolidés. Cette convergence humaniste fait du bien dans ce climat d'inquiétude. La vie reprend le dessus.»

Adossée au muret d'une modeste maison, une mère de famille dit toutefois que «c'est encore fragile». «On ne peut plus être à l'aise après une telle horreur, témoigne-t-elle. L'insécurité et la crainte sont là. Il y a moins de confiance. Personne n'ose en parler mais il y a beaucoup de fichés S ici. Deux copains de mes enfants sont partis en Syrie et ils ne sont pas les seuls…» À deux pas, un groupe de jeunes trompe l'ennui de cette chaude après-midi. «Le père Hamel était l'ami de l'imam, précise l'un d'eux. Ça a choqué tout le monde. Les tueurs, ces deux mecs, on les connaissait pas. L'islam, c'est pas ça!» Un énorme bus s'impose soudain sur la place de l'église. Il exhibe sur son flanc un message en français, en arabe et en anglais: «Marche des musulmans contre le terrorisme». En descendent Hassen Chalghoumi, un des imams de Drancy, Marek Halter, l'écrivain juif d'origine polonaise, et une trentaine d'imams étrangers. La sœur de Jacques Hamel, Roselyne, les accueille et les conduit sur le lieu du drame. Dans le chœur de l'église, les imams prient en arabe pour la paix. Sans se démonter, cette petite femme entonne à haute voix un «Notre Père». Et lance: «Il n'y a qu'un seul Dieu. Notre Dieu est votre Dieu. Malgré la douleur de l'assassinat de Jacques, jamais la haine ni la colère ne l'emporteront, c'est son premier miracle. Mon frère est votre frère à tous. Jacques Hamel est un frère universel.»


Une messe, une stèle et des vêpres

La tombe du père Hamel, dans le carré des prêtres du cimetière de la basilique Notre-Dame de Bonsecours, à Rouen. Les pèlerins affluent pour y prier.

 

La chaîne de télévision KTO, disponible sur le câble, satellite ou Internet, propose une matinée spéciale le mercredi 26 juillet, avec la retransmission à 9h00, en direct, de la messe présidée par Mgr Dominique Lebrun, dans l'église de Saint-Étienne-du-Rouvray, un an après l'assassinat du Père Jacques Hamel. Par ailleurs, chaque soir du 23 au 26 juillet, à 19h40, KTO diffuse les interviews de différentes personnalités, dont Roselyne Hamel, la sœur du Père, Hubert Wulfranc, l'ancien maire de la ville, le Père Moanda, curé de la paroisse, Mgr Lebrun archevêque, Mohammed Karabila, président de la mosquée.

Le déroulement de l'hommage du 26 juillet:

●9h00 - Messe en l'église Saint-Etienne de Saint-Etienne-du-Rouvray présidée par Mgr Dominique Lebrun, archevêque de Rouen (en direct sur RCF Haute-Normandie et KTO Télévisions). Cette messe est dite à l'heure où le père Jacques Hamel l'a célébrée le 26 juillet 2016. Au cours de la messe, quatre compositions florales comportant une fleur du jardin du Père Hamel seront déposées par un enfant et un adulte devant la croix de procession, le cierge pascal, l'autel et la statue de Marie, quatre symboles qui avaient été profanés le 26 juillet 2016.

●10h50 - Inauguration, place de l'Eglise, de la «stèle républicaine pour la paix et la fraternité et à la mémoire du père Jacques Hamel» érigée par la commune de Saint-Etienne-du-Rouvray.

●18h00 - Vêpres en la basilique Notre-Dame de Bonsecours suivies d'un temps de prière sur la tombe du père Jacques Hamel.

 
Source : lefigaro

Brigitte Macron, Première Banquière de France…

Publié par Guy Jovelin le 26 juillet 2017

En France, la femme du préfet était appelée « préfète », la femme du président, « présidente », la femme du banquier, banquière, un dernier titre que Brigitte Macron devrait bientôt mériter dans un pays devenu le 51ème État des USA. 

Les députés sont outrés par les prétentions des Macron! Se voyant interdire les emplois familiaux suite au projet de loi sur la moralisation de la vie publique, ils s’étonnent que Brigitte Macron puisse bénéficier d’un statut particulier budgété, ce qui est contraire aux traditions françaises. Essaierait-on de transférer des mœurs américaines dans les mœurs françaises ? Malgré ses postures de petit Jupiter, Macron semble davantage se considérer comme le 51ème gouverneur des États-unis plutôt que comme le chef d’une grande nation souveraine.

Le gouverneur Macron rabaisse la langue française au niveau d’un patois…

En pleine campagne présidentielle le Jupiter en herbe croisait sa main sur son cœur à la façon américaine quand retentissait la Marseillaise, depuis lors il ne cesse d’étaler sa maîtrise de la langue anglaise devant un parterre de journalistes médusés comme s’il s’agissait d’une prouesse, alors que ce n’est rien d’autre que rabaisser la langue française au niveau d’un patois de province.Car, verrait-on Vladimir Poutine s’exprimer à une tribune officielle autrement qu’en russe, même en Allemagne, alors qu’il parle couramment l’allemand ? Ou bien Donald Trump s’exprimer en français ? Même chose pour Teresa May ou Angela Merkel etc. A chaque fois que pour se faire comprendre du monde Macron s’exprime en anglais, il plante un coin pour faire éclater la culture française qui brille encore aux quatre coins du monde malgré ceux qui voudraient que la terre entière ne parle qu’une seule et même langue pour édifier leur nouvelle tour de Babel, sans frontières ni nations.

Un statut pour Junon ?

Et maintenant, c’est la femme du Président qui n’est plus appelée autrement que « première dame » quand ce n’est pas carrément « first lady »! Et cela se bornerait aux formes si une charte pour codifier le rôle de l’épouse du Président n’était pas en préparation pour lui attribuer officiellement, en même temps que ce titre américain, les fonds publics qui vont avec. Elle bénéficierait, en effet, d’une enveloppe sur les fonds de l’État, et d’un staff de collaborateurs, comme si elle avait été élue elle-même. Tous ces privilèges afin de pouvoir mener ses violons d’Ingres au frais des Français, sans leur demander si ceux-la leur conviennent. Un statut qui lui confèrerait un rôle bien supérieur à celui des collaborateurs parlementaires qui eux ne sont que les employés du député, fussent-ils membres de leurs familles. Car les députés tirent leur légitimité de leur élection et doivent agir, théoriquement,  en fonction de leurs engagements. Foin de tout cela pour Junon, la femme de Jupiter, à qui un budget serait alloué afin qu’elle exerce du haut de son Olympe le fait du prince, ou plutôt de la princesse.

Brigitte Macron: clone made in USA 

Mais avant que Brigitte Macron n’accède à son statut de clone made in USA, il lui faudra passer sur le corps des parlementaires. Ce qui ne devrait pas lui être bien difficile! Que ne ferait pas Jupiter pour sa Junon ? N’a-t-il pas obtenu la peau du chef des Armées pour quelques deniers de plus ? Pourquoi pas celle des députés ? N’a-t-il pas une forte majorité de marcheurs sous ses foudres ? Que peut une opposition fantoche ? Elle peut toujours exprimer son mécontentement face à l’incohérence des emplois familiaux qui seront bientôt interdits au Palais Bourbon alors qu’ils sont créés à l’Elysée. Mais si les parlementaires peuvent encore exprimer leurs désaccords sur la suppression des emplois familiaux  concernant leurs collaborateurs parlementaires, les micros des médias dominants se ferment dés lors qu’il s’agit de comparer ces emplois familiaux avec celui du couple Macron! Et pourtant, entre les emplois familiaux des députés et celui de l’Élysée, il y a une nuance de taille: les collaborateurs des députés sont des employés au service de leurs employeurs élus, tandis que Mme Macron aurait un statut indépendant à l’instar d’une élue de haut rang, sans jamais être passée devant les électeurs.

Quand la banque mène la barque

Après qu’Emmanuel Macron en bon banquier, se soit vanté au cours de sa campagne électorale de pouvoir se payer des costards de milliardaires en reprochant à des chômeurs leurs tee-shirts, après avoir déclaré sa fierté d’être banquier de chez Rothschild comme s’il avait risqué sa vie pour la nation, après avoir dissimulé les millions de ses gains chez Rotschild, c’est maintenant à Madame d’engranger les dividendes….

Jusqu’à présent on reprochait aux élus de se voter de gras émoluments,  indemnités, et autres avantages en nature et en collaborateurs, désormais, grâce à la loi sur la transparence et la moralisation de la vie publique, les Français vont avoir en plus à leur charge, si la loi passe, les caprices de la compagne du Président de la République.

Emilie Defresne  emiliedefresne@medias-presse.info

Nous fabriquons les veaux de la génération Facebook

Publié par Guy Jovelin le 26 juillet 2017

25 juillet 2017 par Pierrot

Une opinion et un témoignage du Belge Vincent Seutin, professeur ordinaire à l’Université de Liège.

L’annonce début juillet du « rattrapage » de certains écoliers qui avaient échoué au CEB (NDCI : examen de fin de primaire en Belgique) par leurs écoles m’a consterné. Ce laxisme démesuré me semble très dangereux parce qu’il est anti-éducatif ( « Tu as raté, mais on va dire que tu as réussi » : quelle préparation à l’école de la vie !) Plus grave, on nuit gravement à ces enfants en agissant de la sorte, parce qu’on accepte que leurs bases soient chancelantes. Je suggère que les enfants qui échouent au CEB le repassent. S’ils n’arrivent pas à surmonter ce terrible traumatisme, il me semble que c’est mal parti dans leur vie future. Auraient-ils eu le courage nécessaire, nos parents et grands-parents, si on leur avait dit : « Va à la guerre, mais si tu as trop peur, tu n’iras pas » ?

Lire la suite : contre-info