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mercredi, 16 août 2017

Jour férié de l’Assomption : « survivance » d’une fête chrétienne selon BFMTV

Publié par Guy Jovelin le 16 août 2017

Selon BFMTV, le 15 août férié est une « survivance » d’une fête chrétienne qui célèbre la montée au ciel du corps de la Vierge Marie.

Que vous soyez croyant ou pas n’y change rien. Si le 15 août est férié, c’est qu’il est au départ une fête chrétienne, en l’occurrence le moment où la Vierge Marie monte au ciel. Cet épisode est l’accomplissement de la plus importante promesse chrétienne: à la fin des temps, la résurrection des âmes, mais aussi des corps.

 

(Raphaël, retable de Fano représentant des épisodes de la Vie de la Vierge, l’Assomption, 1497)

 

Cette fête de l’Assomption, dont la date tombe toujours un 15 août, ne doit pas être confondue avec l' »Ascension », qui figure l’élévation de Jésus Christ, 40 jours après la Pâques. Un moyen mnémotechnique rappelé par l’Internaute permet de se souvenir de la différence: dans « Assomption », il y a un « m » comme pour « Marie ».

De manière plus profane et républicaine , l’Assomption fait partie des 11 jours légalement fériés et listés comme tels par le Code du travail aux articles L3133-1 à L3133-3.

Source : lesobservateurs via bfmtv

Espagne : elle avait hébergé Mohamed, elle se retrouve à la porte de chez elle

Publié par Guy Jovelin le 16 août 2017

Nous avons rencontré Juana, 70 ans, dans la maison de sa voisine et amie Nieves, à Jerez de la Frontera. Cela fait cinq mois qu’elle ne peut entrer dans la sienne. Celui qui l’a usurpée, […] c’est l’homme qu’elle avait accueilli il y a deux ans pour qu’il ait un toit. Elle avait rencontré Mohamed dans une soupe populaire. Elle lui a offert une chambre pour qu’il ne soit pas à la rue, et aussi pour se sentir davantage en sécurité, car elle vivait seule […]. « Il me semblait être quelqu’un de bien. Je ne pensais pas qu’il allait se comporter de cette manière», dit-elle.

Mais très vite, poursuit Juana, « il a commencé à me demander de l’argent, pour Internet… et je n’en avais pas. Bon, j’avais quelques économies, que j’ai retirées peu à peu. » Nieves, sa voisine, assure que le geste de Juana lui a coûté très cher […]. « Il s’est emparé de tout ce qui lui appartenait, téléphone, argent. Il l’a isolée de ses quelques amis et de sa famille. Il a profité de l’âge et de la situation vulnérable de Juana ».

Juana lui a raconté qu’elle était revenue il y a cinq mois d’une très longue convalescence après une fracture de la clavicule, qui l’avait retenue près d’un an dans les hôpitaux et les maisons de repos. Mais que Mohamed n’avait pas ouvert la porte et lui avait dit par téléphone qu’il n’était plus là.‎

Nieves s’occupe d’elle et l’a encouragée à porter plainte auprès de la Police nationale pour usurpation de logement.‎ […]

(Traduction Fdesouche)

Telecinco

France: les migrants de retour porte de la Chapelle à Paris

Publié par Guy Jovelin le 16 août 2017

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Des migrants installés à la porte de La Chapelle, à Paris en juin 2017.CHRISTOPHE ARCHAMBAULT / AFP

En juillet 2017, la police a procédé une nouvelle fois au démantèlement d'un des campements de fortune de migrants situé porte de la Chapelle à Paris. Mais depuis quelques jours, plus d'un millier de jeunes, arrivés pour la première fois en France, se sont de nouveau installés dans les rues et sous les ponts, dans l'espoir d'être pris en charge par les autorités.

De nouveaux exilés se sont installés aux alentours du centre d'accueil et d'orientation de la porte de la Chapelle, à Paris, entourés d'une dizaine de fourgons de la police et de riverains qui leur donnent à manger.

Pour Antoine Bazin, coordinateur d'Utopia 56, une association d'aide aux migrants, environ 1 000 à 1 400 jeunes adultes vivent dans la rue. « Ce sont des primo-arrivants, des personnes qui arrivent pour les mêmes raisons que les précédents, explique-t-il. Ce qu’ils veulent, c’est une prise en charge au titre de la demande d’asile ».

« Ils veulent intégrer le centre de premier accueil pour pouvoir après être intégrés à la demande d’asile et puis avoir à terme le statut de réfugié pour pouvoir arriver enfin à ce qu’ils voulaient à la base, c’est-à-dire fuir la guerre et fuir la misère dans laquelle ils étaient dans leur pays », poursuit-il.

Demandes d'asile au compte-gouttes

Ces nouveaux arrivants viennent principalement du Soudan et d'Afghanistan. Parmi eux, Brahime Ousmane, un jeune Soudanais de 21 ans, vit dans la rue depuis qu'il est arrivé en France.

« Je dors dans la rue, raconte-t-il. Je mange dans la rue. Il n’y a pas de médicaments, il n’y a pas de toilettes. On est dans la merde. On nous dit "demain". Jusqu’à aujourd’hui, on ne nous a pas pris ».

Le centre de premier accueil de Paris, qui ne dispose que de 400 places de transit, distribue en effet des convocations au compte-gouttes pour l'instruction de nouveaux dossiers de demande d'asile.

 

Source : rfi