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dimanche, 03 septembre 2017

Et maintenant, la “misère sexuelle” pour justifier le djihadisme… Combien d’excuses encore trouveront-ils aux terroristes islamiques ?

Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2017

 

 

Source : ndf

La justice autorise la réouverture de l’école coranique Al-Badr

 Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2017

Alors que le rectorat avait ordonné sa fermeture en 2016, l’école coranique Al-Badr du quartier Bellefontaine à Toulouse, a eu l’autorisation de la justice de rouvrir ses portes. Elle pourrait faire sa rentrée, le lundi 4 septembre prochain. 

Fermée depuis le début de l’année, le tribunal administratif de Toulouse a rendu, le 4 juillet dernier, deux jugements en faveur de l’école hors contrat du quartier Bellefontaine. Le rectorat de l’académie était pourtant l’instigateur de sa fermeture après un avis défavorable émit en 2016. Mais selon les juges, les motivations pour fermer cette école étaient insuffisantes et ils ont donc annulé l’interdiction d’ouverture de l’école Al-Badr, qui accueille une cinquantaine d’élèves de la sixième à la troisième.

La décision du rectorat se justifiait après inspection, que l’instruction dispensée au sein du groupe scolaire “n’était pas conforme au droit”. Des faits contestés par le directeur de l’établissement Al-Badr, Abdelfattah Rahhaoui. Aujourd’hui géré par deux autres responsables ayant présenté un projet éducatif différent, le tribunal administratif a donc donné son feu vert.

L’école Al-Badr a donc l’autorisation de rouvrir dès la rentrée, lundi 4 septembre. Mais elle doit encore être soumise à l’avis favorable d’une commission d’hygiène et de sécurité de la ville de Toulouse. Le nombre d’élève qui réintégrera l’établissement n’est pas encore connu.

L’école Al-Badr et son directeur bien connu par la justice

L’école Al-Badr s’était déjà fait connaître par le passé. En décembre dernier, le tribunal correctionnel de Toulouse a ordonné la fermeture de cette école condamnant son directeurde l’époque à 2 mois de prison avec sursis pour des violences sur deux enfants de moins de 15 ans entre 2013 et 2014. S’en est suivi un bras de fer long de plusieurs mois, puisque malgré la condamnation de justice, l’école ouvrait encore ses portes jusqu’en février, en toute illégalité.

 

Source :infos-toulouse

Quand les dealers appliquent leurs propres lois aux Izards !

Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2017

 

 Place des Faons Toulouse

A Toulouse, les habitants du quartier des Izards sont pris en otages par les trafiquants de drogue et confrontés au quotidien aux menaces des dealers et à l’insécurité qu’ils ont installée en faisant des halls d’immeuble des véritables commerces de proximité consacrés à la vente de stupéfiants.

Mais depuis plusieurs jours, voire même plusieurs semaines, les résidents des tours situées aux 19 et 20 place des Faons, ne peuvent même plus appeler la police craignant les représailles des voyous et les risques physiques que pourraient encourir leur famille.

Selon La Dépêche du Midi, une femme aurait même été agressée après avoir fermé une fenêtre qui permettait aux dealers de s’échapper lorsque la Brigade Anti Criminalité intervenait dans le quartier.

Une « note de service », bourrée de fautes d’orthographe et intimant aux habitants de ne surtout pas collaborer avec la police, sous peine de représailles a même été placardée dans ces immeubles selon le journal local. Cette « note » disant en substance que pour toutes collaborations avec les services de police, « ils en assumeraient les conséquences ». A noter tout de même que les trafiquants remercient les habitants de leur compréhension.

Outre ce climat de peur, forçant ces gens à rester cloîtrés chez eux ou à sortir la tête baissée, les trafiquants de drogue ont également dégradé les parties communes de ces immeubles. Les néons lumineux ont été peints en noir pour tamiser la lumière et des tags ont été inscrits sur tous les murs. A l’entrée, les tarifs sont même affichés: « Menu du jour, shit, beuh, 5 à 10 € le gramme ».

JG

 

Source : infos-toulouse

Cours de turc dans une école communale d’Alsace ?

Publié par Guy Jovelin le 03 septembre2017

par   1 septembre 2017 

Cours de turc

Le maire de la commune alsacienne d’Ingersheim relaie un message désespéré et indigné relatant le fait qu’il est prévu des cours de turc dans son école communale le mercredi après-midi, cours dispensé par un instituteur turc, cette décision ayant été prise sans concertation.

Ce maire a fait savoir qu’il s’y opposait et pour ce faire, a pris rendez-vous avec le rectorat, indiquant que si le recteur et l’inspecteur d’académie décidaient de passer en force, il ferait bloquer l’école et inviterait la presse afin de porter le débat sur la place publique.

Ce n’est pas un fait divers

Cette opposition franche mérite d’être soutenue et largement suivie car ce n’est malheureusement pas un cas isolé. En effet, ce qui, à première vue, peut apparaître comme un fait divers, résulte en réalité de la mise en œuvre d’une politique délibérée de nos gouvernements successifs qui ont prévu la généralisation de dispositifs de ce genre sur l’ensemble du territoire national.

Introduction de l’arabe à partir du CP

Par exemple, étant question d’apprendre une langue vivante étrangère dès l’école maternelle, en juin 2016 le ministre de l’éducation a annoncé l’introduction de l’arabe à partir du CP (cours préparatoire), et les activités périscolaires à l’école primaire, sans programme bien défini, vont être le moyen d’intégrer, à l’insu des parents, des cours de langue non seulement anglaise, mais également turque et arabe.

Généralisation des dispositifs

En effet, les E.L C.O. (Enseignement de Langue et de Culture d’Origine) – 65% en arabe, 18% en turc – créés dès les années 70 pour s’adresser aux élèves issus de l’immigration, étaient dispensés hors du temps scolaire à raison de 1H30 à 3H par semaine à partir du CE1. (80 000 élèves en école primaire, 5000 en collège et 850 professeurs en exercice).

Désormais, ils sont transformés en E.I.L.E. (Enseignement International en Langues Etrangères) ouverts à tous, avec des exigences renforcées dans le contenu de l’enseignement et dans le recrutement des enseignants, lesquels sont originaires des pays concernés et désormais intégrés à l’équipe pédagogique.

Les cours de langue et culture d’origine, sont donc remplacés par des cours d’arabe qui est toujours appréhendé à travers la lecture du coran.

Le journal « le Monde » du 3 février 2016 révèle l’existence d’environ 100 E.I.L.E. sur le territoire national pour des élèves regroupés en dehors de la classe mais, non seulement ces cours sont appelés à être intégrés aux activités périscolaires sans l’avis des parents, mais la généralisation du dispositif est prévue pour la rentrée 2018.

Un programme commun de langue arabe

En effet, selon le site « Eduscol » mis à jour le 6 avril 2016, un, programme commun de langue arabe a été élaboré par les trois pays du Maghreb : Algérie, Maroc, Tunisie, et une évolution est actuellement engagée pour permettre une transformation des cours d’ELCO en cours de L.V.E. (Langues Vivantes Etrangères) dispensés aux élèves sur le temps scolaire, prévoyant une continuité au collège dans le cadre du dispositif bi-langues à tous les volontaires, une dotation de 3H par division étant prévue pour la mise en place d’effectifs réduits (pour une meilleure efficacité !) et le financement de ces enseignements (pour cela, il y a de l’argent !)

Une volonté politique clairement affichée

Le 28 avril 2016, à la question au gouvernement du sénateur du Vaucluse Alain DUFAUT, le ministre de l’Education a répondu : « …il s’agit que…désormais, l’apprentissage de langues telles que l’arabe, le turc…se fasse dans un cadre plus banal, comme on apprend l’anglais, l’allemand ou l’espagnol… ».

C’est clair et net.

Conclusion

Tout nous porte donc à soutenir l’opposition franche et courageuse de ce maire alsacien et de nous joindre à son action si nous voulons qu’elle porte ses fruits et que nous puissions envisager d’en finir avec cette politique « éducative » de l’Education Nationale destructrice de notre identité et de nos valeurs chrétiennes que s’acharnent à vouloir éradiquer ceux qui nous gouvernent.

 

Source : medias-presse.info