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samedi, 04 novembre 2017

Gauchisme

Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2017

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Étudiant tué à Montpellier : l’auteur sortait de prison pour meurtre

Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2017

INFO MÉTROPOLITAIN. Le meurtrier présumé de l’étudiant de 20 ans, poignardé à mort jeudi vers 22h dans la rue Saint-Guilhem, devant la supérette située à l’angle de la rue de la Valfère, dans l’Écusson à Montpellier est âgé de 29 ans. Il n’est pas né en France. Formellement identifié dans la nuit grâce à la caméra de vidéosurveillance de la supérette et au fichier des personnes déjà condamnées, il est déjà connu de la justice, notamment pour homicide volontaire.

En effet, il a été condamné en 2013 à dix ans de réclusion criminelle par la cour d’assises des Hauts-de-Seine et il avait été récemment libéré après avoir purgé une partie de sa peine. Il était venu s’installer à Montpellier, dans un appartement du Plan Cabanes, proche du cours Gambetta, où il a été interpellé ce vendredi à l’aube.

Outre sa condamnation pour meurtre, son casier judiciaire en mentionne d’autres, très nombreuses et notamment des délits de violences volontaires avec arme sur la voie publique.

Coup de couteau pour tuer

Selon l’enquête de police qui a reconstitué les faits, jeudi vers 21h30, l’étudiant et sa compagne qui résident dans le quartier voisin de Chaptal se sont disputés sur un trottoir du quartier de Plan Cabanes pour un motif anodin, une querelle de couple. Témoin de la dispute, un inconnu vêtu d’un jogging bleu, d’un tee-shirt blanc et se déplaçant pieds nus s’en est mêlé, prenant fait et cause pour la jeune femme, ce qui n’a pas été goût de son copain.

Il a vertement fait savoir à cet individu de les laisser régler seuls leur problème et de quitter les lieux. L’individu aurait alors sorti un couteau. La jeune femme a été protégée par des témoins de la scène, tandis que l’étudiant s’est enfui en courant par la rue du faubourg du Courreau, vers le centre-ville, poursuivi par l’inconnu au couteau.

Ce dernier a pu retrouver l’étudiant rue Saint-Guilhem, devant la supérette où il lui a porté deux coups de lame, dont une à bout portant en plein coeur, “un coup avec l’intention de tuer”, selon une source proche de l’enquête. La victime a agonisé jusqu’à l’arrivée des pompiers et d’un médecin du Smur-Samu 34 qui n’ont pas pu le ranimer.

Une autopsie a été ordonnée par le procureur de la république de Montpellier. La garde à vue du meurtrier présumé a été reconduite de 24 heures ce vendredi soir dans les locaux du SRPJ.

 

Source : e-metropolitain

Chronopost ne livre plus dans certains quartiers de Saint-Denis

Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2017

Ivan Capecchi|03 novembre 2017, 20h18

Saint-Denis. Le quartier du Franc-Moisin fait partie des zones qui ont connu des problèmes de livraison ces derniers mois. LP/G.B.

Depuis plusieurs mois, des habitants ayant utilisé le service Chronopost se plaignent de ne pas être livrés à leur domicile. « Priorité à la sécurité de nos chauffeurs », répond en substance l’entreprise qui a blacklisté les zones qu’elle juge sensibles.

Cité du Franc-Moisin, quartier Delaunay-Belleville… Depuis plusieurs mois, des habitants de Saint-Denis se plaignent de ne pas recevoir, à leur domicile, des colis commandés via Chronopost. Dans un courrier adressé à la mairie à l’été, courrier que nous nous sommes procuré, le PDG de cette filiale du groupe La Poste s’en explique. Il invoque des problèmes d’insécurité : « Durant l’année 2016, sur le territoire national, 51 de nos chauffeurs ont été victimes de vols avec violence(s) ». Et de préciser que, le 4 janvier 2017, un chauffeur a été « agressé par trois individus » à Saint-Denis. « Ceinturé » puis « immobilisé contre un mur », le livreur aurait reçu des coups de poing, avant d’être défaussé d’une partie de sa marchandise. Pour prévenir de tels risques, l’entreprise aurait dressé une « liste » de quartiers jugés sensibles à éviter.

Madjid Messaoudene, conseiller municipal délégué à l’égalité des droits, ne se satisfait pas de cette explication. Même s’il dit entendre l’argument sécuritaire, il ne peut constituer la « seule réponse ». « On ne peut pas, dit-il, condamner tout un secteur parce qu’un livreur a été agressé. » « Pourquoi devrait-on payer pour les bêtises des autres ? », renchérit Aïcha*, une habitante du quartier Franc-Moisin. Elle aussi a connu des problèmes de livraison. La première fois, c’était il y a environ un an et demi. Après avoir passé une commande, elle finit par « recevoir un message lui disant qu’elle devait récupérer son colis dans un point relais » alors qu’elle avait « bien précisé qu [’elle] souhaitait le recevoir chez [elle] ».

Situation similaire pour Thomas, un habitant du quartier Delaunay-Belleville. Par deux fois, il a tenté de commander des couches sans qu’elles ne parviennent jusqu’à chez lui. Le 16 mars, il a décidé d’interpeller la société via Twitter afin de réclamer la « liste officielle » des quartiers considérés comme sensibles. En message privé, l’entreprise lui rétorque que « cette liste n’est pas à la disposition [des] clients dans la mesure où elle est en constante évolution ».

Un peu court pour Madjid Messaoudene qui, lui aussi, demande l’accès à cette fameuse liste. Ne serait-ce, dit-il, que pour avoir un aperçu de l’étendue des problèmes. De son côté, Thomas a saisi Christian Raoult, délégué du Défenseur des droits en Seine-Saint-Denis, pour qu’il statue sur son cas. Si le défenseur des droits ne peut pas rendre d’avis contraignant, il émet une expertise juridique ainsi que des recommandations. « Nous nous réservons le droit de saisir, nous aussi, le défenseur des droits », réagit pour sa part Madjid Messaoudene. Contacté, Chronopost n’a pas été en mesure de répondre à nos questions.

*Le prénom a été modifié.

Comment l’entreprise définit ses zones sensibles

Dans son courrier adressé à la mairie pour justifier la réduction de ses services, Chronopost donne un début d’explication quant à la façon dont elle détermine une zone à risques pour ses livreurs. L’entreprise indique par exemple que sa « Direction Sûreté, régulièrement en relation avec les autorités de police, est amenée à vérifier […] les risques potentiels ou réels des opérations de livraison ». Si restriction de services il y a, Chronopost assure toutefois en limiter l’impact « à une ou plusieurs rues, […] en évitant de l’étendre à des quartiers entiers ». « Notre entreprise et nos chauffeurs, précise toutefois la société, ne peuvent […] feindre d’ignorer la réalité de terrain, et les risques qui sont en rien hypothétiques. »

 

Source : leparisien

Foot racaille : Patrice Evra décoche un coup de pied à la tête d’un supporteur

Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2017

Ecrit parLéo Kersauzie

Patrice Evra, défenseur de Marseille (et ancien capitaine des Bleus), devait être remplaçant lors du match de Ligue Europa de l’OM sur la pelouse du Vitoria Guimaraes jeudi soir, au Portugal.

Lors de l’échauffement, des supporteurs marseillais passés par dessus les barrières ont réclamé son départ. Patrice Evra s’est dirigé vers eux et tout a vite dérapé façon racailles. Insultes et bousculade puis Patrice Evra a décoché un coup de pied à la tête d’un des supporteurs qui l’insultait.

Plusieurs autres joueurs ont éloigné Patrice Evra des tribunes et il est rentré aux vestiaires. Il a été sanctionné d’un carton rouge avant même le coup d’envoi de la rencontre et n’a pas pris place sur le banc de touche.

Selon le statisticien Opta, Patrice Evra est «le premier joueur à se faire expulser avant le début d’un match dans l’histoire de la Ligue Europa», depuis sa formule actuelle de 2009-2010.

 

Source : medias-presse.info