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vendredi, 17 août 2018

Le gauchisme est une maladie mentale, la preuve par cette vidéo

Publié par Guy Jovelin le 17 août 2018

gauchisme,maladie mentale

d’une YouTubeuse féministe et immigrationniste (et vegan, etc.) qui refuse de déposer plainte parce que ses agresseurs sont… Maghrébins et qu’elle ne veut pas les stigmatiser :

 

 Source : ndf

lundi, 19 mars 2018

Le parti médiatique existe, il est peuplé de clones journalistiques

Publié par Guy Jovelin le 19 mars 2018

 

Le parti médiatique existe, je l’ai rencontré. L’audiovisuel est peuplé de clones journalistiques

 

Le parti médiatique existe, il est peuplé de clones journalistiques

Par Jean Ansar, journaliste ♦ Dire qu’il n’y a pas de parti médiatique en France en se référant à l’existence d’une diversité d’opinions représentée notamment par Valeurs actuelles face à l’ Obs est une Fake News évidente. Quand on parle de parti médiatique, on se réfère à l’audiovisuel qui manipule en prétendant l’informer, 80 % de la population. Ce parti existe.
Les rédactions des radios et télévisions sont constituées de journalistes ayant la même sensibilité à plus de 80 % et les autres se taisent. Ils sortent d’écoles syndicalisées au niveau très disparate mais à l’endoctrinement uniforme. Il suffit d’être dans le moule pour devenir journaliste. La compétence et la culture sont des critères moins décisifs.

La carte de presse ne prouve plus rien depuis longtemps dans la plupart des cas

Ce n’est plus un certificat de compétence professionnelle. On peut ne rien savoir sur rien, devenir journaliste et être propulsé spécialiste selon les besoins du paracétamol ou du Kosovo.
Ces journalistes clonés qui, dans les chaînes d’infos en continu, se multiplient à une vitesse aussi effrénée que la profession se féminise, pensent tous la même chose. Leur modèle c’est en gros Libération, Le Monde, un zeste d’Obs et une pointe de Canard Enchaîné. De temps en temps un éditorialiste de droite est là pour donner le change.
Ces journalistes pensent avoir la noble tâche non pas d’informer mais de former et ce n’est pas la même chose. Ils se sentent investis de la mission de protéger la démocratie. Tous résistants contre la bête immonde dont le ventre est encore fécond.

Il y a un parti médiatique sinon pourquoi aurait-on, dans toutes les chaines audiovisuelles, les mêmes sujets dans la même hiérarchie et au même moment avec les mêmes points de vues.
La diversité de l’information audiovisuelle est un mensonge. La multiplication des médias disant la même chose est le contraire de la diversité des opinions, qui seule prouve la liberté de la presse. La liberté d’opinion est faites pour toutes les opinions surtout celles qui contestent le système dominant.
Car quelle différence entre des médias d’un régime autoritaire disant tous la même chose et les médias d’une soi-disant démocratie disant tous la même chose ? Aucune !

Quelle est donc la ligne politique du parti médiatique

Elle est antiraciste, féministe, contre toutes les discriminations et exclusions. C’est la soutane des gentils curés cathodiques contre les forces du mal.
Les forces du mal, ce sont ceux qui se référent aux valeurs qui ont fait les civilisations différenciées et qui n’ont pas honte notamment d’être blancs, mâles et hétérosexuels .Le mâle blanc hétérosexuel, le voilà l’ennemi du parti médiatique.

Les médias sont pour le cannabis contre le vin rouge, pour tout ce qui est mondialiste et contre l’héritage des traditions.
Pour le mariage homo contre les familles à la catholique, pour toutes les races qui n’existent pas sauf la blanche qui est raciste, pour l’avortement mais plus en Europe qu’ailleurs, pour les droits de la femme et des minorités surtout musulmanes, pour les migrants et les immigrés contre ceux qui ont fait les nations.

Le parti médiatique est un gauchisme sociétal audiovisuel

Son point faible est de vouloir assumer tout le monde. Il se retrouve dans la position du caméléon qui meurt à force de vouloir prendre toutes les couleurs de la couverture écossaise.
Le parti médiatique ne cesse heureusement de se discréditer. C’est pourquoi il traque les faks news et à partir de cas particuliers pour interdire un traitement de l’information, déviant par rapport à des dogmes politiques et sociétaux.
Le parti médiatique, c’est croire informer en disant que Poutine est méchant sans rien connaitre ni comprendre l’âme russe. Et c’est cela pour tous les sujets. Il y a pire que la Fake news, il y a la désinformation dominante, fille de l’inculture et du militantisme.

Les lanceurs d’alerte et autres journalistes citoyens ou blogueurs de l’impossible sont la preuve de la bonne conscience politique d’ une profession qui a perdu le sens de sa vocation d’informer à charge et à décharge laissant aux éditorialistes le rôle de dire ce qu’ils pensent et à eux seuls.

Chaque journaliste se croit aujourd’hui éditorialiste de ses propres préférences politiques. La carte de presse ne lui donne pas le droit de tenter d’imposer ses préférences. Il affirme ne pas être dans un Parti, mais il est partisan.

Plus personne n’est dupe. Le dégagisme ne l’épargne plus. L’affolement d’une caste journalistique vis à vis de certaines attaques politiques est très dangereux pour ce qui reste dans les médias audiovisuels du droit de ne pas être d’accord avec l’idéologie dominante.

Car si les medias ne sont pas un parti structuré, ils sont une idéologie.

Jean Ansar
18/03/2018

Source : Metamag.fr

Crédit photo : Rémi Noyon [CC BY 2.0], via Flickr

samedi, 04 novembre 2017

Gauchisme

Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2017

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mercredi, 18 octobre 2017

« Ma peau blanche me dégoûte » : l’aveu d’une fondatrice du féminisme

Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2017

Auteur : admin4

« Ma peau blanche me dégoûte » : l’aveu d’une fondatrice du féminisme auteur, enseignant, journaliste, etc., Robin Morgan a aussi été un leader du gauchisme aux Etats-Unis.

Dans la citation reprise ici se manifestent la haine (de soi notamment) et la folie du gauchisme.

« Depuis le début des années 1960, Robin Morgan a été une membre influente du féminisme radical et une des leaders du féminisme international. Son anthologie Sisterhood Is Powerful, publiée en 1970, aurait contribué à la naissance des mouvements féministes aux États-Unis. […] [Elle s’attarde aussi sur] les difficultés d’être et femme et noire.

Pendant les années 1960, elle a participé au mouvement des droits civiques et aux manifestations contre la guerre du Vietnam. Elle a aussi fondé, ou participé à la fondation, de nombreuses institutions et groupes féministes. » (Source Wikipedia)

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« Ma peau blanche me dégoûte. Mon passeport me dégoûte. Ils sont la marque d’un privilège privilège obtenu au prix de l’agonie d’autres. Si je pouvais m’écorcher entièrement, je l’aurais fait avec plaisir. Si je pouvais devenir une opprimée, je serais libre. »

Robin Morgan (in The Demon Lover, NY: Norton & Co., 1989 p. 224)

 

Source : contre-info

jeudi, 05 octobre 2017

Le gauchisme est éternel !

Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2017

Rédigé par notre équipe le 04 octobre 2017

 
 
C’est bien connu, la gauche a le monopole du cœur et de la morale. Alors, plus on est à gauche, plus on peut s’ériger en parangon de vertu. Des modèles qui oublient pour certains de payer leurs cotisations sociales ou qui pleurent les terroristes qui assassinent les Français dans nos rues. Le gauchisme continue de se perdre et ne pourra jamais prendre le pouvoir, n’en déplaise à un Mélenchon qui croit l’arracher au banquier Macron.

Mélenchon et les Insoumis comme première force d’opposition à En Marche. Macron en rêvait, les médias l’ont fait ! Entre ces deux forces politiques, il n’y aurait qu’un désert qui oblige à choisir sa voie : l’ultralibéralisme économique mâtiné d’une gauche sociétale infecte ou l’extrême gauche mélenchonienne secondée par quelques sectes d’obédience marxiste-léniniste. Le choix est fort peu sympathique et pour les brebis qui pourraient s’égarer, l’actualité se charge de lever une partie du voile sur ce qu’est vraiment l’extrême gauche.

Les cotisations sociales : c’est bien, mais seulement pour les autres

Sur le plan économico-sociale, elle prend la forme d’une contestation dure contre la réforme du Code du Travail. Les salariés n’ont, par exemple, pas besoin de voir les indemnités prud’homales être plafonnées en cas de harcèlement, mais ils n’ont pas non plus besoin d’être représentés par des porte-paroles auto-proclamés qui ne respectent même pas les règles les plus élémentaires de l’imposition et de la solidarité entre les générations. C’est ainsi que Raquel Garrido, porte-parole des Insoumis, égérie des plateaux de télévision où elle est devenue officiellement chroniqueuse sur C8 – une chaîne rappelons-le détenu par un « grand ami » de l’extrême gauche : Vincent Bolloré. Mais sa principale activité est censée être le métier d’avocat.

Il n’est pas sûr qu’être défendu par la franco-chilienne insoumise soit une bonne idée, car ses notions de droit sont plus que douteuses. La preuve en est que depuis six ans, elle a oublié de payer ses cotisations sociales à la caisse de retraite des avocats. L’information publiée dans le Canard Enchaîné n’a fait l’objet d’aucun démenti ou de déclaration de la part de celle qui squattait encore il y a peu les plateaux de télévision. Pour gueuler, il y a du monde, mais dès qu’il faut payer la note ou se justifier de ne pas l’avoir fait, le silence est d’or. Plus de 32 000 euros d’impayés, on comprend aisément que la première réaction soit mûrement réfléchie… Garrido n’a plus aucune crédibilité si tant est qu’elle en eut une.

Non ! Un terroriste n’est pas un « martyr »

Dans un autre registre, mais qui illustre lui aussi le dégoût que suscite l’extrême gauche, la palme revient à Sonia Nour, collaboratrice à la mairie de La Courneuve. Celle qui se définit comme militante communiste et décoloniale a posté sur les réseaux sociaux un message qui fait froid dans le dos à propos de l’attentat de Marseille : « Quand un martyr égorge une femme et poignarde une autre là ça fait du bruit. Terrorisme, du sang, civilisation bla bla bla… Par contre que le terrorisme patriarcal nous tue tous les deux jours on l’entend moins votre grande gueule ». Outre le langage ordurier qui vient conclure cette saillie, qualifier le terroriste de « martyr » est un outrage à la mémoire des victimes et à la nation française. En droit, cela s’appelle « apologie du terrorisme ». Le maire communiste de la charmante bourgade qu’est La Courneuve a été obligé de condamner ces propos et de suspendre sa collaboratrice. La Justice fera-t-elle son travail ? Comment peut-on avoir de tels individus dans nos mairies ?

Et pour bien faire comprendre dans quel camp elle se place, elle minimise l’horreur des crimes terroristes et conclut avec un superbe : « Suite au déferlement de haine des fachos, je viens de me faire suspendre de mon taf et je vais en conseil de discipline pour un statut Facebook ». Etre quelque peu réservé à l’endroit du terrorisme est synonyme d’esprit fascisant pour certains… Des propos incroyables qui montrent le degré de dépravation d’une certaine gauche coupable de s’allier avec tous les ennemis du genre humain pour espérer ne pas sombrer trop vite dans les oubliettes de l’Histoire. Rassurez-vous mesdames et messieurs les gauchistes, les crimes passés et présents dont vous êtes si fiers ne seront pas oubliés.

 

Source : 24heuresactu