Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 27 novembre 2017

ENSEIGNEMENT: LA RUÉE VERS LES ÉCOLES PRIVÉES

Publié par Guy Jovelin le 27 novembre 2017

L'école privée séduit de plus en plus en France. Quelque 20% des élèves français y suivent leur scolarité. La plupart des établissements sont submergé par les demandes d'inscription et doivent refuser du monde. Dans son bureau, Baptise Jacomino, chef d'établissement des collège et lycée Sainte-Ursule à Paris, dans le 17e arrondissement, croule sous les dossiers d'inscription. Pour la prochaine rentrée, il ne reste que 50 places disponibles en classe de 6e. Il a déjà reçu près de 700 demandes.


Enseignement: la ruée vers les écoles privées

L'enseignement privé gagne du terrain

  

"Fin août, j'avais déjà reçu suffisamment de candidatures pour remplir mes classes de l'année d'après, assure-t-il à BFMTV. Alors évidemment, ce n'est pas comme ça que je les choisis, je ne prends pas les premiers arrivés. Mais ça ne m'était pas arrivé d'avoir des dossiers aussi tôt aussi nombreux." 
  

Et c'est comme ça un peu partout en France. De la maternelle au lycée, l'enseignement privé ne cesse de gagner du terrain. Exemple cette année en élémentaire: 7.000 élèves supplémentaires dans le privé alors que les écoles publiques en ont perdu 14.000. Pourquoi un tel succès? L'encadrement y serait meilleur, selon ces parents. 

  

"Dans cette école il y a des maîtresses qui sont assez extraordinaires, confie ce père à BFMTV. On reçoit des mails quasiment tous les soirs avec des photos des activités de tout ce que font les enfants pendant la... 
  

Lire la suite sur BFMTV.com 

 

Nantes. Un château occupé pour les jeunes migrants au bord de l’Erdre

Publié par Guy Jovelin le 27 novembre 2017

Situé sur le campus, le château du Tertre est, depuis dimanche 26 novembre, à Nantes, investi pour abriter des migrants.

Après l’école des Beaux-arts réquisitionnée puis évacuée, après des salles de la fac à Censive, c’est le château du Tertre qui est désormais occupé pour l’accueil des jeunes migrants, à Nantes, depuis dimanche 26 novembre au soir. Le bâtiment, qui date de 1872, allait être mis en chantier. Il s’agit d’un château bien visible des promeneurs depuis les bords de l’Erdre.

La décision d’occuper le château a été votée, dimanche 26 novembre, en soirée, par les étudiants, des associations et des mineurs étrangers isolés. Pour l’instant, les mineurs n’y sont pas hébergés : ils sont toujours dans les salles du bâtiment Censive, appartenant à l’université.

Configurez votre Nouveau T-Roc.

Conçu pour s’adapter à votre mode de vie, le Nouveau T-Roc allie la prestance d’un SUV avec l’agilité d’une compacte sportive.

Une proposition a été faite, dimanche soir, à la présidence de l’université. Etudiants et associations demandent que les espaces occupés à Censive servent de lieu de vie et d’activité. et que le château accueille les jeunes migrants pour la nuit.

 

Source : ouest-france

Le Graphique du Jour :

Publié par Guy Jovelin le 27 novembre 2017

PAR  LE 

Le Graphique du Jour : En 2016, le Français a été une fois de plus le 2e résident le plus taxé du club des pays de l’OCDE. (Le Danois étant le Premier).

CLIQUEZ SUR LE GRAPHIQUE POUR L’AGRANDIR

 

Source : leblogalupus

Muret (31) : descente des forces de l’ordre au « Formule 1 » devenu centre de migrants suite à une bagarre au couteau

Publié par Guy Jovelin le 27 novembre 2017

 
 

Une vingtaine de militaires a dû intervenir en fin de semaine dernière, au «Pradha» de Roques (ex-Formule 1) pour ramener le calme après une sérieuse bagarre entre migrants. Le ton serait plus que monté entre deux pensionnaires du centre, des coups violents étant par la suite échangés. La gendarmerie évoque même des coups de couteau distribués sur fond d’alcool. Pas moins d’une vingtaine de militaires s’est rapidement rendue sur les lieux, des gendarmes du PSIG , ainsi que des deux brigades de gendarmerie de Muret et de Portet-sur-Garonne. «On est arrivé au centre prudemment, on ne savait pas trop ce qu’on allait trouver. C’est la première fois qu’il y a une intervention d’une telle ampleur, mais la situation l’exigeait», confie Julien Delforge, commandant en chef de la compagnie de gendarmerie de Muret.

Mathias Beaufort, directeur du centre, rappelle que «chaque personne qui séjourne chez nous souscrit un règlement de bon fonctionnement». Il reconnaît les violences verbales et physiques qui ont émaillé la vie du centre il y a une semaine, des actes que l’auteur a d’abord démenti catégoriquement, avant d’être convoqué, avec sa victime, devant le directeur du «Pradha». Une victime qui, selon nos sources, aurait eu sa part de responsabilité au moment du déclenchement des violences. «J’ai interpellé l’OFI de cet incident et ai préconisé une sanction qui attend d’être validée», précise Mathias Beaufort. La sanction demandée n’est pas mince : un transfert disciplinaire des deux migrants.

La Dépêche via fdesouche

Les tricheurs

Publié par Guy Jovelin le 27 novembre 2017

Les tricheurs

Les tricheurs

Voici un article passablement insolite quant à la forme mais dont le fond, hélas, ne choquera pas. Nous avons déjà publié plusieurs articles de cet auteur (A moy que chault) dont la verve percutante ne faiblit pas.
Polémia

Pour suivre l’air du temps, pour se soumettre à l’hystérie de l’instant, pour se conformer à la dernière mode médiatique, Jupiter Macron propose la création d’un « délit d’outrage sexiste immédiatement verbalisable d’un montant dissuasif ».

Un nouveau délit, rien que ça ! Un nouveau tas de paperasse venant compléter la montagne de réglementations et de lois qu’ils sont déjà infoutus de faire appliquer, qui étouffent les honnêtes gens sans jamais inquiéter les crapules, une nouvelle étape de l’inflation législative, fruit de cette maladie mentale qui fait que l’on pense avoir résolu un problème dès lors qu’on a pondu un texte officiel portant son nom.

Ce projet de mesure pourrait n’être que grotesque s’il n’était pas avant tout abject : abject de démagogie, de lâcheté, de mensonge et de tartufferie… Dans un pays où des filles se font violer collectivement dans les caves et où leurs tortionnaires bénéficient d’une quasi totale impunité, où les flics n’osent plus mettre les pieds dans les quartiers où les « outrages sexistes » sont justement les plus nombreux et les plus violents, où la justice estime qu’une gamine peut être « consentante » à une relation sexuelle à 11 ans, où les voyous roulent sans permis dans des voitures de luxe payées en liquide, où les racailles s’abstiennent de payer tout transport en commun et rient aux éclats quand ils sont verbalisés par un contrôleur avant de jeter immédiatement l’amende à la poubelle…

Dans un tel pays, un État si totalement incapable et démissionnaire prétend régenter et punir les « gestes, attitudes et paroles » sexistes ? Les nullités qui nous gouvernent, incapables d’empêcher les massacres islamistes ou de nourrir les SDF, vont partir à la chasse aux mains au cul et à la plaisanterie graveleuse ?

Quelle pitoyable et sinistre plaisanterie !… Bien sûr, comme tout ce qu’ils font, comme tout ce qu’ils entreprennent, cette tentative absurde restera en plus lettre morte, sans autre efficacité que quelques amendes symboliques distribuées à des petits bourgeois éméchés, des ouvriers lourdingues et des chefs de service trop entreprenants… Car, évidemment, on n’ira pas traquer « l’outrage » sexiste dans le 9.3, déjà qu’on n’y va plus pour le trafic de drogue ou d’armes…

On s’agitera donc quelque temps dans les quartiers bourgeois et ceux des classes moyennes qui subsistent encore, puis on passera à autre chose, une autre connerie dictée par l’agenda médiatique et l’hystérie revendicative d’une quelconque minorité…

A moy que chault
26/11/2017

 

Source : polemia