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vendredi, 16 février 2018

Le nombre de mineurs étrangers en France explose, leur coût atteindrait 1,5 milliards d’euros

Publié par Guy Jovelin le 16 février 2018

Par  le 15/02/2018 

Le coût annuel de leur accueil atteindrait 1,5 milliard dans six mois. L’État livrera ses solutions le 6 mars.

La courbe est exponentielle. De l’aveu même des départements, le coût de la prise en charge des mineurs étrangers non accompagnés (MNA) ne cesse d’augmenter. Compte tenu du nombre d’accueils enregistrés chaque semaine, les collectivités estiment que la facture pourrait atteindre 1,5 milliard dans six mois, alors qu’elle était évaluée à 1 milliard en septembre dernier.

Dans les Hautes-Alpes, la situation devient préoccupante. «Les chiffres avaient déjà été multipliés par vingt entre 2016 et 2017 et le flux continue, crescendo. On ne sait pas comment nous allons finir 2018», s’alarme Jean-Marie Bernard, président de ce département de 140.000 habitants, qui compte 1300 MNA. En plein mois de février et malgré les neiges hivernales, les arrivées sont aussi importantes qu’au mois d’août.

Le coût de la prise en charge d’un mineur étranger au titre de l’aide sociale à l’enfance (ASE) atteint 50.000 euros par jeune et par an, alors que la contribution de l’État ne dépasse pas 1250 euros par mineur. Chaque année, les départements assument ainsi 25.000 cas, soit 1,25 milliard d’euros.

Le 6 mars, le premier ministre recevra le président des départements de France, où ce problème aigu sera abordé. Édouard Philippe a commandé un rapport sur ces mineurs isolés pour évaluer précisément l’ampleur du phénomène et proposer des solutions. Cette mission a été conjointement menée par les services de l’État et les départements.

Selon une récente note issue de ces travaux, révélée mardi, deux scénarios sont envisagés pour décharger les collectivités. Le premier conserve le principe de l’évaluation décentralisée des migrants, en augmentant les moyens financiers jusqu’à 106 millions d’euros pour 60.000 individus.

La seconde piste consisterait à confier l’évaluation et la mise à l’abri des jeunes migrants à l’État. Ce projet ne pourrait s’amorcer qu’à partir de 2019. Il impliquerait la construction de centres d’hébergement et l’organisation de plateformes interdépartementales. Coût prévu: 125 millions d’euros par an pour 50.000 jeunes étrangers.

 

Le Figaro via fdesouche

Guy Jovelin rappelle la volonté du Parti de la France de débarrasser définitivement notre société des monstres qui assassinent des enfants

 

En pleine campagne électorale dans la 8ème circonscription de Haute-Garonne pour l'élection législative partielle du 11 mars prochain, Guy Jovelinrappelle la volonté du Parti de la France de débarrasser définitivement notre société des monstres qui assassinent des enfants

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Même les militants pro-migrants constatent que ce n’est plus possible !

 Publié par Guy Jovelin le 16 février 2018

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Par Dominique Monthus

Un sympathique article qui dit la vérité sur certaines situations de fait évidemment intolérables. [Boulevard Voltaire, 12.02] La République française s'avère toujours plus incapable d'y porter remède et les laisse s'aggraver jusqu'à ce qu'une explosion survienne.   LFAR 

a85f6c9b9fad047f6b095db1e7325e82.jpgSur les ravages de l’immigration en Europe, les yeux s’ouvrent les uns après les autres, les dominos tombent, et les forteresses que l’on croyait les plus inexpugnables s’effondrent. Devant la réalité des faits.

Ainsi, la semaine dernière, dans deux pays européens, deux acteurs d’institutions ou d’associations « migrants-friendly » ont fait leur coming out pour dire différents aspects très concrets de l’impasse migratoire.

En Allemagne, c’est une militante engagée dans l’aide aux réfugiés qui a confié à la presse polonaise et allemande l’amer savoir de son expérience au plus près des migrants musulmans. Elle s’appelle Rebecca Sommer. Pensant d’abord que « les visions médiévales des Arabes changeraient avec le temps », elle s’est rendue à l’évidence et a déclaré qu’il était « presque trop tard pour l’Allemagne ». Elle analyse le problème ainsi :

« Les réfugiés musulmans ont grandi avec un système de valeurs complètement différent du nôtre, ont subi un lavage de cerveau religieux depuis l’enfance et n’ont aucun désir de s’adapter à la vie occidentale. »​‌

Elle a constaté que l’aide que l’Allemagne leur a accordée était regardée avec « arrogance et mépris ». Elle affirme avoir été traitée de « stupide salope allemande ». Rebecca Sommer tire de son expérience personnelle, de ce qu’elle a vu sur le terrain, deux enseignements : d’une part, l’islam prend une importance croissante dans la culture allemande, dans les institutions et les écoles ; d’autre part, les cultures européennes, si elles veulent survivre, doivent s’affirmer et se défendre. Rebecca Sommer a, en particulier, encouragé les Polonais à rester « inflexibles » dans leur opposition à la politique de l’Union européenne :

« Aucun peuple, ni groupe, que ce soient les Italiens, les Français, les Allemands ou les Polonais, ne pourront subsister en tant que nation, s’ils ne défendent pas de façon raisonnable leurs intérêts. »​‌

Rebecca Sommer : un nom à retenir.

En France, on ne compte plus les déclarations de personnalités ou d’institutions culturelles en faveur des migrants, depuis le ministre de la Culture qui, complètement irresponsable, veut leur offrir des places gratuites de ciné ou de théâtre…

Or, la semaine dernière, la présidence de l’université Paris VIII, dont un bâtiment est occupé par une trentaine de migrants, après les avoir accueillis, découvre que ce n’est plus possible.

D’abord, elle déplore le manque de dialogue de la part de ces migrants et de ceux qui les soutiennent. Ils perturbent le fonctionnement normal de l’université, pénalisent les étudiants et se mettent en danger. Eh oui, les universitaires découvrent que trente migrants, cela crée des problèmes d’intendance. Si cette petite expérience pouvait les aider à mieux réfléchir quand ils brasseront, dans leurs statistiques et leurs réflexions, non plus une trentaine mais des millions de migrants, qui sait, peut-être leur vision du monde, de l’Europe, de la démocratie, de la culture en sera-t-elle un peu modifiée… 

Le communiqué de la présidence continue ainsi :

« Si nous nous efforçons de répondre systématiquement aux demandes formulées, force est de constater que la réciproque n’existe pas ».​‌

Tiens, des migrants fermés au dialogue… Il y est même question d’« impasse ».

Bien sûr, elle rappelle qu’au début, elle a soutenu l’occupation « par humanité », mais déclare à présent :

« Nous en appelons à la raison à notre tour. Tout le monde sait qu’il n’est pas dans les pouvoirs d’une présidence d’université d’obtenir des titres de séjour. »

Un peu tard, non ?

Cette affaire d’une présidence d’université prise à son propre piège est emblématique du problème idéologique français face à l’immigration : la raison n’arrive qu’à la fin, quand c’est le chaos, quand ce n’est plus possible.

Cette idéologie de gauche irresponsable, tiers-mondiste par réflexe soixante-huitard et qui est toujours là, à la tête de nos institutions éducatives et culturelles, bêlante, pour appeler à l’ouverture à tous et partout, a été incapable d’inventer un humanisme de la raison et nous lègue une situation violemment déraisonnable. De deux choses l’une : qu’elle se taise enfin ou qu’elle se convertisse comme Rebecca Sommer.  

 

Source : lafautearousseau

Rétablissons la peine de mort pour les tueurs d'enfants

Publié par Guy Jovelin le 16 février 2018

Le Parti de la France de Midi-Pyrénées sensibilise la population et apporte une solution :

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L’idéologie du genre a frappé dans l’Ohio : des parents perdent la garde légale de leur fille parce qu’ils s’opposent à sa « transition » pour devenir un garçon

Publié par Guy Jovelin le 16 février 2018

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Une famille dont le nom n’a pas été divulgué se trouve frappée, dans l’Ohio aux Etats-Unis, par une décision de justice qui doit tout à l’idéologie du genre. S’étant opposé à la « transition » de leur fille qui s’identifie comme garçon, un couple de parents s’est vu priver de la garde légale de cette enfant mineure afin qu’elle puisse devant la justice obtenir l’accès aux traitements et hormones sans leur consentement.
 
Dans un premier temps, les services locaux de protection de l’enfance ont obtenu le droit de la représenter devant la justice, droit qui incombe normalement à son père et à sa mère. L’adolescente, 17 ans, est désormais juridiquement entre les mains des Hamilton County Job and Family Services, afin que le tribunal tire les conséquences de sa « dysphorie de genre ». En attendant, elle vit chez ses grands-parents maternels.
 

Pour l’idéologie genre les parents n’ont aucun droit de refuser la « transition » de leurs enfants

 
La jeune fille a commencé à souffrir de dépression et d’anxiété en 2016, date à laquelle elle a été hospitalisée. Les médecins devaient tout de suite proposer la solution miracle : la dysphorie de genre se soigne avec des hormones. Ils prétendaient lui administrer de la testostérone et autres substances permettant à la patiente de devenir un « mâle ». En apparence seulement, cela va sans dire : il s’agit de favoriser l’apparition des caractères sexuels secondaires qui donnent une allure masculine, mais l’ADN reste le même.
 
Les parents de la jeune fille s’y sont opposés au motif que cela n’était, à leur avis, pas dans son intérêt. Et ils se sont trouvés embarqués dans une affaire judiciaire qui n’a pas fini de produire ses effets puisqu’un juge pour enfants doit maintenant se prononcer de manière imminente sur le fait de savoir s’ils doivent être totalement privés de tout droit parental sur leur fille. Il s’agit également de savoir qui va pouvoir prendre les décisions médicales la concernant.
 

Le procureur de comté de l’Ohio abonde dans le sens de la transition

 
Toute cette affaire se déroule sous la pression insupportable de médecins pro-transgenre qui ont déjà expliqué devant la justice que la décision favorable à la « transition » doit intervenir vite, sous peine de voir la patiente se suicider. Un état suicidaire, ont ajouté ces experts médicaux, qui doit tout au fait que les parents ont refusé à la jeune fille de s’identifier comme un homme. « C’est une affaire de vie ou de mort », ont-ils déclaré.
 
Les services de Hamilton County sont intervenus pour dire que les grands-parents de la jeune fille devaient obtenir sa garde légale parce qu’ils sont « ouverts » sur la question de l’administration d’hormones », alors que « les parents ont clairement indiqué qu’ils ne l’accepteront pas ». Manière de contourner le droit des parents d’exercer, ou non, leur consentement, a souligné leur avocat, Karen Brinkman. Celle-ci a encore fait valoir que la jeune fille, actuellement en phase de dépression, souffrant d’anxiété et de « dysphorie », est précisément dans une situation fragile qui ne permet pas de prendre des décisions éclairées sur une affaire aussi importante que des changements physiologiques permanents. « Il n’apparaît pas que cet enfant soit le moins du monde en état de prendre actuellement une décision qui bouleversera totalement sa vie », a-t-elle plaidé.
 

La garde légale d’une jeune fille transférée à ceux qui veulent la voir vivre comme transgenre

 
Les conseils de la jeune fille et de ses grands-parents ont de leur côté accusé le couple de « maltraitance parentale ». Le fait de l’avoir envoyé dans une école catholique où les jeunes filles doivent porter des vêtements féminins a constitué un « traumatisme supplémentaire » qui a aggravé les idées suicidaires, a soutenu le premier. Le second avance que le simple fait d’entendre son nom de naissance, ou de le voir sur des documents, est devenu un déclencheur important de traumatisme chez l’adolescente.
 
L’équivalent du procureur, le Hamilton County Prosecutor Donald Clancy a abondé dans leur sens en accusant les motivations religieuses de ces parents : le père de la jeune fille n’avait-il pas affirmé que « n’importe quel type de transition irait contre ses croyances fondamentales » ? Il est même accusé d’avoir dit à sa fille qu’elle n’avait qu’à se tuer puisque de toute façon elle allait se retrouver en enfer pour avoir rejeté sa biologie féminine.
 
Bref, c’est un de ces faits divers à très longue portée. Avec son luxe d’accusations, pas nécessairement vraies, il a pour objectif de jeter le discrédit sur tout ce qui s’oppose à la folie du « genre », et de marquer une étape judiciaire qui pose le principe du droit des mineurs d’être protégés dans leur choix d’identité sexuelle, y compris contre leurs parents.
 
N’allez surtout pas croire que cela se fait pour le bien de cette jeune fille, devenue l’instrument d’un lobby.
 

Jeanne Smits

 

Source : reinformation.tv