Après les élections législatives italiennes du 4 mars, donnant une belle majorité aux anti-immigration, le Vatican persiste et signe dans ses tragiques errements pro-immigrationnistes.
On aurait pu espérer un retour à la raison, mais il n’y a pas plus entêté que le Vatican, qui nie le ras-le-bol de l’Italie, envahie massivement par des gens qui ne lui veulent pas du bien et qui transforment le pays en terrain d’entraînement pour guérilla urbaine (voir les événements de Florence ces jours-ci). Mais le pape nie la violence des migrants, avançant que les Italiens aussi peuvent avoir envie de tuer leur belle-mère. Relativiser est son fonds de commerce. L’islamisation de l’Europe est une chance, a-t-il dit.
Le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’Etat du Saint Siège, a réaffirmé dès le mardi 6 mars la volonté du Vatican de « continuer son travail d’éducation » c’est à dire de sensibilisation sur l’intégration des réfugiés, afin de « faire changer la conscience collective sur l’accueil des migrants. » nous affirme ce bon journal La Croix qui n’en rate pas une :
https://www.la-croix.com/Religion/Catholicisme/Pape/elect...
C’est vrai que François a très bien commencé, dès le début. Un des thèmes principaux de son règne, c’est l’accueil des migrants. Il n’a eu de cesse d’aller de déclaration en déclaration pro-migrants et d’avoir des gestes de collaboration avec l’islam. On aurait pu croire que la défense des chrétiens d’Orient serait son cheval de bataille, mais non.
Il a lavé des pieds de musulmans hilares le jeudi saint. Il a brandi lors d’une catéchèse le gilet de sauvetage d’une migrante, déclarant que c’était une relique.
Il est allé à Lampedusa ouvrir grand ses bras à l’immigration. De Lesbos, il n’a ramené que des musulmans, mentant en disant que les papiers des chrétiens n’étaient pas prêts. Il a demandé qu’on accueille les si gentils Rohingyas, peuple belliqueux s’il en est. Il a demandé les plus larges visas humanitaires possibles pour tous les migrants, et le regroupement familial le plus large également.
Le 21 août dernier, il a pondu un texte, dans lequel il demande la régularisation de tous les sans papiers, leur accès à l’emploi, à la nationalité, la libre circulation, le droit du sol, enfin tout :
https://francais.rt.com/international/42394-pape-rempart-...
D’ailleurs il faut dit-il cesser d’utiliser le mot « clandestin », trop stigmatisant selon lui.
Mieux encore, selon lui le migrant a le droit d’importer avec lui sa culture. Et enfin, la sécurité personnelle du migrant doit passer avant la sécurité nationale, dit-il, oubliant que sans sécurité nationale il n’y a pas de sécurité personnelle.
https://www.huffingtonpost.fr/pierre-lellouche/le-pape-na...utm_hp_ref=fr-pape-francois
Sur la sécurité personnelle des non-musulmans, le Pape fait bien entendu l’impasse.
A Noël, il a dit qu’à Bethléem, Marie, Joseph et Jésus étaient comme tous les migrants. Oubliant que leur déplacement, selon l’histoire, était effectué pour le recensement. Marie et Joseph par là loin de se comporter comme des migrants, qui commencent par une violation des lois, obéissaient tout simplement aux lois de leur pays.
Il serait trop long de citer tous les actes et toutes les paroles de François, il les enfile comme des perles.
Mais cette fois François fait très fort dans l’irrespect du peuple italien et de son vote. Vox populi, vox Dei dit-on. Bien que cet adage ait été détourné, il signifie bien aujourd’hui que la voix du peuple doit commander et qu’elle est égale à celle de Dieu. Mais le Vatican n’en a cure. Rendre à César ce qui est à César, c’est à dire le respect des votes des citoyens italiens, est le cadet de ses soucis.
Le Vatican continue de soutenir contre vents et marées le parti le plus opposé au christianisme, le parti démocrate, ancien parti communiste, celui qui a perdu ces élections et a donc reçu une belle gifle. Il le soutient, dans l’irrespect total de la démocratie et du verdict des urnes, parce qu’il est pro-immigration :
https://gloria.tv/article/XF2RT4Q8bmuX36MQgaNzUTBBs
Et que ce parti soit pour tout ce que l’Eglise rejette importe peu à François. Peu lui chaut la doctrine de l’Eglise, la foi qu’elle proclame, sa transmission. Ce qui importe pour lui, c’est l’immigration. François en veut toujours plus. En digne émule de Soros. Même si cette immigration risque de casser le pays, de casser l’Eglise.
Le peuple italien, lui, ne veut plus de l’immigration. Les Italiens ont voté majoritairement pour deux partis anti système et anti immigration. On ne sait pas encore comment l’Italie va être gouvernée, mais ce qui est certain c’est que le prochain gouvernement devra se résoudre à écouter le peuple. Car c’est lui qui souffre, partout en Italie. Tout le monde a en mémoire le crime atroce perpétré par un migrant nigérien sur une ado italienne :
https://www.facebook.com/sharer.php?u=https%3A%2F%2Fwww.s...
L’Italie ne sera bientôt plus l’Italie. La Sicile déjà n’est plus la Sicile, comme en témoigne Alexandre Delle Valle, d’origine sicilienne. Qui pense que ce pape ne mesure pas ses propos.
https://www.alexandredelvalle.com/single-post/2018/02/03/... (à partir de ’39)
François ferait bien de cesser de scier la branche sur laquelle le Vatican est assis. Car lorsque l’Italie sera devenue musulmane, il n’y aura plus de place pour le Vatican en Italie. Avignon sera également musulman et peut-être pas très accueillant non plus…
Où le Vatican ira-t-il mendier une petite place ? En Arabie Saoudite ? Et surtout, où les restes des peuples européens de culture chrétienne trouveront-ils refuge après avoir été remplacés, décimés, génocidés ?…
Ces questions ne semblent pas troubler François plus que cela. Le pasteur se moque bien de son troupeau.
Sophie Durand
Source via : lesobservateurs
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