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samedi, 12 janvier 2019

Le dialogue inter-religieux en logo : la croix dans le croissant coranique

Publié par Guy Jovelin le 12 janvier 2019

Le Vatican a dévoilé le logo du futur voyage apostolique du pape François au Maroc les 30 et 31 mars prochains. Ce séjour explique le service de presse du Vatican sera placé « sous le signe de l’espérance et du dialogue interreligieux, comme le montre son logo. »

Un logo qui figure, continue Vatican News « une croix et un croissant : la croix chrétienne et le croissant musulman. Ils symbolisent la dimension interreligieuse de la visite du Pape François dans ce pays à majorité musulmane. […] Les couleurs du logo reprennent celles des drapeaux des deux pays, jaune et blanc pour le Vatican, vert et rouge pour le Maroc.  ».

Un logo qui figure l’apostasie de l’Église conciliaire qui, cheminant de rencontres inter-religieuses en rencontres inter-religieuses, perd la boussole de la foi, le catholicisme, etse perd dans un syncrétisme interlope et un relativisme scabreux. Qui plus est, dans ce logo, c’est le croissant qui entoure la Croix, ce que les musulmans considéreront, et auraient-ils tord ?, comme un acte de soumission envers leur religion…

Le dialogue inter-religieux est un jeu de dupes pour le plus grand profit des fausses religions, qui ont le prince du mensonge pour père…

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

dimanche, 18 novembre 2018

Le Vatican détruit encore une communauté pas assez progressiste : départ de 90% des soeurs

Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2018

Mis à jour le 16 novembre 2018 Auteur par admin4
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Après les florissants Franciscains de l’Immaculée persécutés par le Vatican pour s’être tournés vers la messe de toujours, après  les sœurs d’Auerbach en Allemagne ou les sœurs contemplatives de Saint-Jean en France, une autre communauté, modeste, est victime de ses goûts pas assez progressistes : les Petites sœurs de Marie, implantées en France et qui gèrent quatre maisons de retraite situées dans les diocèses de Laval et de Toulouse.

« Tout est parti d’une visite d’inspection diligentée par le Vatican, qui a abouti à un chapelet de griefs : « trop de prières, une gestion des sœurs trop cadrée, un habit religieux trop traditionnel… » L’Eglise catholique enjoint la congrégation à fusionner avec la maison de retraite, dont elle est la fondatrice, mais qui est gérée depuis par une association.  » (Source)

La mère supérieure et la maîtresse des novices ont été exilées dans des monastères éloignés (700 km pour la Supérieure, qui a interdiction d’entrer en contact avec les membres de sa communautés) et remplacées par trois commissaires modernistes. Tous les appels canoniques et les appels à la miséricorde ont été ignorés.

Un des commissaires, Sœur Geneviève Médevielle, enseigne à l’Institut catholique de Paris et soutient que ceux qui sont en situation de concubinage adultère pourraient communier…

Le 17 septembre, le cardinal Braz de Aviz, chef de la Congrégation pour les religieux, a ordonné aux sœurs d’accepter ces commissaires « sans réserve » pour ne pas être renvoyées.

Le 7 novembre, 34 soeurs sur 39 ont annoncé qu’elles avaient décidé en conscience de demander la dissolution de leurs voeux…

 

Source : contre-info

samedi, 10 mars 2018

Le pape piétine allègrement le vote des Italiens

Publié par Guy Jovelin le 10 mars 2018

bergoglio-africains

Après les élections législatives italiennes du 4 mars, donnant une belle majorité aux anti-immigration, le Vatican persiste et signe dans ses tragiques errements pro-immigrationnistes.

On aurait pu espérer un retour à la raison, mais il n’y a pas plus entêté que le Vatican, qui nie le ras-le-bol de l’Italie, envahie massivement par des gens qui ne lui veulent pas du bien et qui transforment le pays en terrain d’entraînement pour guérilla urbaine (voir les événements de Florence ces jours-ci). Mais le pape nie la violence des migrants, avançant que les Italiens aussi peuvent avoir envie de tuer leur belle-mère. Relativiser est son fonds de commerce. L’islamisation de l’Europe est une chance, a-t-il dit.

Le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’Etat du Saint Siège, a réaffirmé dès le mardi 6 mars la volonté du Vatican de « continuer son travail d’éducation » c’est à dire de sensibilisation sur l’intégration des réfugiés, afin de « faire changer la conscience collective sur l’accueil des migrants. » nous affirme ce bon journal La Croix qui n’en rate pas une :

https://www.la-croix.com/Religion/Catholicisme/Pape/elect...

C’est vrai que François a très bien commencé, dès le début. Un des thèmes principaux de son règne, c’est l’accueil des migrants. Il n’a eu de cesse d’aller de déclaration en déclaration pro-migrants et d’avoir des gestes de collaboration avec l’islam. On aurait pu croire que la défense des chrétiens d’Orient serait son cheval de bataille, mais non.

Il a lavé des pieds de musulmans hilares le jeudi saint. Il a brandi lors d’une catéchèse le gilet de sauvetage d’une migrante, déclarant que c’était une relique.

Il est allé à Lampedusa ouvrir grand ses bras à l’immigration. De Lesbos, il n’a ramené que des musulmans, mentant en disant que les papiers des chrétiens n’étaient pas prêts. Il a demandé qu’on accueille les si gentils Rohingyas, peuple belliqueux s’il en est. Il a demandé les plus larges visas humanitaires possibles pour tous les migrants, et le regroupement familial le plus large également.

Le 21 août dernier, il a pondu un texte, dans lequel il demande la régularisation de tous les sans papiers, leur accès à l’emploi, à la nationalité, la libre circulation, le droit du sol, enfin tout :

https://francais.rt.com/international/42394-pape-rempart-...

D’ailleurs il faut dit-il cesser d’utiliser le mot « clandestin », trop stigmatisant selon lui.

Mieux encore, selon lui le migrant a le droit d’importer avec lui sa culture. Et enfin, la sécurité personnelle du migrant doit passer avant la sécurité nationale, dit-il, oubliant que sans sécurité nationale il n’y a pas de sécurité personnelle.

https://www.huffingtonpost.fr/pierre-lellouche/le-pape-na...utm_hp_ref=fr-pape-francois

Sur la sécurité personnelle des non-musulmans, le Pape fait bien entendu l’impasse.

A Noël, il a dit qu’à Bethléem, Marie, Joseph et Jésus étaient comme tous les migrants. Oubliant que leur déplacement, selon l’histoire, était effectué pour le recensement. Marie et Joseph par là loin de se comporter comme des migrants, qui commencent par une violation des lois, obéissaient tout simplement aux lois de leur pays.

Il serait trop long de citer tous les actes et toutes les paroles de François, il les enfile comme des perles.

Mais cette fois François fait très fort dans l’irrespect du peuple italien et de son vote. Vox populi, vox Dei dit-on. Bien que cet adage ait été détourné, il signifie bien aujourd’hui que la voix du peuple doit commander et qu’elle est égale à celle de Dieu. Mais le Vatican n’en a cure. Rendre à César ce qui est à César, c’est à dire le respect des votes des citoyens italiens, est le cadet de ses soucis.

Le Vatican continue de soutenir contre vents et marées le parti le plus opposé au christianisme, le parti démocrate, ancien parti communiste, celui qui a perdu ces élections et a donc reçu une belle gifle. Il le soutient, dans l’irrespect total de la démocratie et du verdict des urnes, parce qu’il est pro-immigration :

https://gloria.tv/article/XF2RT4Q8bmuX36MQgaNzUTBBs

Et que ce parti soit pour tout ce que l’Eglise rejette importe peu à François. Peu lui chaut la doctrine de l’Eglise, la foi qu’elle proclame, sa transmission. Ce qui importe pour lui, c’est l’immigration. François en veut toujours plus. En digne émule de Soros. Même si cette immigration risque de casser le pays, de casser l’Eglise.

Le peuple italien, lui, ne veut plus de l’immigration. Les Italiens ont voté majoritairement pour deux partis anti système et anti immigration. On ne sait pas encore comment l’Italie va être gouvernée, mais ce qui est certain c’est que le prochain gouvernement devra se résoudre à écouter le peuple. Car c’est lui qui souffre, partout en Italie. Tout le monde a en mémoire le crime atroce perpétré par un migrant nigérien sur une ado italienne :

https://www.facebook.com/sharer.php?u=https%3A%2F%2Fwww.s...

L’Italie ne sera bientôt plus l’Italie. La Sicile déjà n’est plus la Sicile, comme en témoigne Alexandre Delle Valle, d’origine sicilienne. Qui pense que ce pape ne mesure pas ses propos.

https://www.alexandredelvalle.com/single-post/2018/02/03/... (à partir de ’39)

François ferait bien de cesser de scier la branche sur laquelle le Vatican est assis. Car lorsque l’Italie sera devenue musulmane, il n’y aura plus de place pour le Vatican en Italie. Avignon sera également musulman et peut-être pas très accueillant non plus…

Où le Vatican ira-t-il mendier une petite place ? En Arabie Saoudite ? Et surtout, où les restes des peuples européens de culture chrétienne trouveront-ils refuge après avoir été remplacés, décimés, génocidés ?…

Ces questions ne semblent pas troubler François plus que cela. Le pasteur se moque bien de son troupeau.

Sophie Durand

 

Source via : lesobservateurs

vendredi, 20 janvier 2017

Le Vatican sort un timbre à l’effigie de Luther

Publié par Guy Jovelin le 20 janvier 2017

19 janvier 2017 par Pierrot

Le Vatican sort un timbre à l’effigie de Luther 19 janvier 2017 par Pierrot Les célébrations des 500 ans de la Réforme instituée par Martin Luther continuent au sein de l’Eglise catholique, avec des initiatives multiples qui montrent que le rapprochement entre le pape François et les luthériens n’aura pas été un événement isolé. Le bureau philatélique et numismatique du Vatican a confirmé mardi à LifeSiteNews qu’un timbre à l’effigie de l’hérétique Luther, initiateur il y a 500 ans d’un schisme et d’une rupture aux conséquences désastreuses pour l’unité de l’Eglise et pour le salut des chrétiens, sortira en 2017.

Source : Reinformation.tv
contre-info

mercredi, 22 juin 2016

Tragédie cristeros : le 22 juin 1929, le Vatican « s’arrangeait » avec le gouvernement mexicain

Publié par Guy Jovelin le 22 juin 2016

22 juin 2016 par admin4

Et signait des « accords de paix » – ce qui fut vécu par de nombreux catholiques comme une trahison – aux conséquences sanglantes.
Il demandait aux Indiens catholiques, qui s’étaient légitimement révoltés face au gouvernement socialiste et franc-maçon violemment antichrétien, de déposer les armes, sous peine d’excommunication !

Quelques années plus tôt, le 1er décembre 1924, le président mexicain avait privé de droits civiques les catholiques (laïcs et prêtres) sous prétexte qu’ils obéissaient à un souverain étranger, le pape ! Il avait expulsé le nonce, l’ambassadeur du Vatican, ainsi que tous les ecclésiastiques étrangers. Il avait interdit les congrégations enseignantes et fermé pas moins de 20.000 églises !

 

Le clergé se rebiffa et suspendit le 31 juillet 1926 l’administration des sacrements dans tout le pays pour une durée de trois ans. Les paysans indiens du Jalisco se soulevèrent contre les autorités de la capitale au cri de « Viva Cristo Rey !» (Vive le Christ-Roi !), dans un parallèle frappant avec le soulèvement des Vendéens en 1793, en lutte contre les Républicains. Ils furent appelés les Cristeros.

Avec 50.000 combattants, ils constituèrent la plus importante rébellion qu’ait jamais connue le pays et parvinrent à conquérir la moitié des 30 États de la Fédération.

Ce soulèvement des soldats du Christ-Roi fut réprimé de la manière la plus brutale qui soit. Pour l’occasion, le général Calles (chef des forces gouvernementales) accepta même de se réconcilier avec les États-Unis. Il accepta des concessions sur le pétrole en échange de l’aide de l’US Air Force dans son combat contre lesCristeros.

En 1929, le gouvernement promit une amnistie pour les rebelles et s’engagea à ne plus tenter d’appliquer les articles antireligieux de la Constitution. Dans les faits, l’amnistie ne fut pas respectée et des milliers d’insurgés furent assassinés dans d’atroces conditions après avoir rendu leurs armes sur ordre de leur évêque.

Environ 500 dirigeants cristeros et 5 000 autres Cristeros auraient été abattus, souvent à leur domicile et en face de leurs conjoints et de leurs enfants.

Le général Luis Garfias reconnaîtra dansEpoca le 4 janvier 1993 : «L’armée fédérale a mené une guerre sans pitié. Elle ne faisait pas de prisonniers, les civils étaient pris comme otages et beaucoup d’entre eux fusillés. La torture fut systématique, on détruisit d’innombrables villages et hameaux ».

Pour creuser le sujet, on peut lire « La véritable histoire des Cristeros » d’Hugues Kéraly, disponible ici.
Un film, bien fait en dépit de certaines lacunes historiques regrettables, est aussi sorti en 2012 (disponible ici).

Source : T. de Chassey

La communion des combattants :
Messe dans un champ avec les soldats cristeros

 
Source : contre-info