Agressions au couteau : dans la rue, le détecteur de métaux pour les islamo-racailles !
Les Français, jeunes ou anciens, continuent de tomber ponctuellement sous les coups de couteau musulmans, qui, souvent, visent la gorge. La plupart du temps, les autorités françaises, couvertes par les journalistes, évitent de parler d’égorgement. Et quand Riposte Laïque publie un article de Marcus Graven, expliquant que la fête de l’Aïd apprend aux jeunes musulmans à voir comment on égorge les infidèles (qui, dans les textes de l’islam, sont comparés à des animaux), cela vaut un nouveau procès aux animateurs de notre site.
Pourtant, ce samedi, à 15 heures, le jeune Kévin, 17 ans, a été poignardé 20 fois, et sauvagement égorgé (on parle d’une plaie très profonde au cou). Il y a quelques semaines, c’est Ronan, 29 ans, qui laissait sa vie place de l’Opéra. Il y a quelques mois, c’était le colonel Beltrame qui se faisait, lui aussi, égorger comme un mouton. Et nul n’a oublié le sort des deux cousines de Marseille, Mauranne et Laura. Le jeune Marin, lui, a été victime d’une attaque à la béquille, que l’agresseur avait transformé en arme de combat, et sera handicapé à vie. Et combien d’autres, depuis ces dernières années, meurent dans l’indifférence générale ?
Et pourtant, la seule réaction des autorités françaises est de mener une féroce bataille, à Bruxelles, pour renforcer les contrôles sur les armes des Européens. Nous avons même eu un ministre de l’Intérieur, Bruno Le Roux, élu du 93, qui a passé sa vie à vouloir légiférer, non contre l’armement des cités, mais contre les armes détenues par nos compatriotes.
Que devrait faire un ministre de l’Intérieur digne de ce nom (je ne parle pas de ceux que la France vient d’avoir, qu’il s’agisse du cacochyme, de R2D2 ou de Valls), quand il constate le nombre de rixes mortelles au couteau entre migrants, et surtout le nombre d’agressions, en France et dans nombre de pays européens, que subissent les autochtones, de la part des nouveaux venus, souvent musulmans ?
Il devrait se laisser guider par le principe de précaution, et faire tout son possible pour préserver la vie de nos compatriotes. Je n’entrerai pas dans le débat de la nécessité de faire leurs valises pour les clandestins ou d’autres immigrés qui n’ont rien à faire dans notre pays. Prenons les faits tels qu’ils sont. Les policiers devraient être équipés systématiquement de détecteurs de métaux, et avoir le droit de fouiller, systématiquement, toute personne d’apparence arabo-musulmane susceptible de porter un couteau. Bien sûr, arrestation immédiate des détenteurs d’armes, et confiscation de l’outil ! Lourde amende, voire expulsion immédiate.
La Cour Européenne des Droits de l’Homme hurlerait à la discrimination, et condamnerait la France ? On s’en fout ! Les associations dites antiracistes déposeraient plainte contre le ministre ? On en profiterait pour les dissoudre, comme agent d’une puissance étrangère. Mélenchon hurlerait au fascisme ? On lui rappellerait qu’il a soutenu des régimes qui ont fait plus de morts que l’Italie et l’Allemagne réunies. Le Conseil constitutionnel estimerait que cela n’est pas compatible avec la présomption d’innocence et d’égalité ? On dissoudrait ce machin. Le Conseil d’Etat invaliderait la décision du ministre ? On les dissoudrait aussi !
Je ferais remarquer aux pleureuses qu’à cause des attentats musulmans, on fait la queue une heure avant d’entrer dans un tribunal, parce qu’on est fouillé de partout. A cause des assassins islamistes, et de leurs attentats, c’est la même chose, quand on prend un avion. Je ferais également remarquer que le gardiennage est pratiquement tenu par des salariés de la diversité, majoritairement noirs-africains et nord-africains, avec donc une très forte composante musulmane. Autrement dit, nous confions notre sécurité aux coreligionnaires des terroristes !
Je ne pense pas que ceux qui égorgent les jeunes Français se trouvent dans les maisons de retraite, ni fassent partie de la communauté française de cœur. Les statistiques des prisons sont éloquentes. Il faut donc que l’opposition réclame la seule mesure qui s’impose : des contrôles assumés au faciès, non pas à cause de l’origine (on ne va pas contrôler un vieux monsieur ou une grosse et vieille voilée (encore que nos amis Pieds-noirs ont nombre d’anecdotes sur ce sujet), mais de ceux qui, par leur aspect ou leur attitude, pourraient porter un couteau sur eux. S’ils n’ont rien à se reprocher, ils devraient se réjouir d’avoir contribué à protéger la vie de nombre d’innocents. S’ils ont un couteau ou un poignard, les sanctions doivent tomber. Et s’il y a immédiatement émeute, qu’on donne aux policiers tous les moyens de se faire respecter, et cela ne va pas traîner longtemps.
Sinon, d’autres Kévin, Beltrame, Joachim, Mauranne et Laura suivront…
Publié le 5 juin 2018 - par Martin Moisan
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