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samedi, 28 juillet 2018

Italie : le gouvernement nomme un « populiste » proche de Salvini à la tête de la télévision publique, « c’est une révolution culturelle » déclare le ministre Di Maio

Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2018

Par  le 28/07/2018

 

Le nouveau président de la Rai (télévision publique italienne) a des liens avec Matteo Salvini. « Je veux promouvoir la méritocratie » au sein de l’audiovisuel public, annonce Marcello Foa.

Le gouvernement italien a nommé Marcello Foa en tant que nouveau président de la Rai. Selon l’hebdomadaire L’Espresso, le lancement du dernier livre de Foa était accompagné d’un message vidéo de Matteo Salvini, ministre de l’Intérieur et leader de la Ligue, et Foa a participé à une réunion avec Salvini et Steve Bannon, ancien conseiller de Donald Trump.

Foa est également un commentateur fréquent sur la chaîne Russia Today où il a approuvé le rapprochement avec Moscou que le nouveau gouvernement italien voudrait initier. Dans des articles de blog pour Il Giornale, Foa a salué la position ferme du gouvernement sur l’immigration.

« C’est le début d’une révolution culturelle pour la Rai », a déclaré le vice-Premier ministre Luigi Di Maio, ajoutant que la nouvelle équipe dirigeante « libérerait la télévision publique des parasites ».

Les administrateurs de la Rai sont choisis par le gouvernement et leurs nominations nécessitent l’approbation de la majorité au parlement.

Foa sera rejoint par Fabrizio Salini en tant que PDG. Salini a travaillé pour Sky, Fox et le radiodiffuseur privé italien La7, et dirige actuellement une société de production.

La nomination de Foa, a été une surprise, y compris pour Foa lui-même.

Il a écrit sur Facebook qu’il était «fier et ému» et qu’il s’engageait à faire du «journalisme intellectuellement honnête et indépendant».

 

Politico via fdesouche

France : la perspective du chaos

Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2018

POSTÉ LE 26 JUILLET , 2018

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Les scènes de pillage et d’émeutes qui ont suivi la victoire de l’équipe de France de football sont tristement significatives de l’évolution du pays ces dernières années.

Elles ont fait suite aux pillages et aux émeutes qui ont eu lieu à Nantes un peu plus tôt, et à de multiples autres scènes du même type survenues en France depuis 2005.

Il ne peut plus y avoir en France un rassemblement collectif de grande ampleur, quel qu’il soit, sans que surviennent des violences et des destructions.

Quand ce n’est pas un rassemblement collectif de grande ampleur qui sert de prétexte, une arrestation qui tourne mal peut faire l’affaire.

La police reçoit des directives, ne rétablit plus vraiment l’ordre, et se contente d’endiguer et de limiter les dégâts – et, d’ailleurs, elle les limite de moins en moins.

Les médias sont incités à dissimuler la réalité et à édulcorer leurs comptes rendus aux fins que la situation apparaisse moins grave qu’elle ne l’est.

La situation n’en est pas moins grave et devient de plus en plus préoccupante.

Voici une vingtaine d’années, il y avait en France quelques zones de non-droit.

Aujourd’hui, il y en a environ six cent. En outre, ces zones de non-droit grandissent et, par un effet de contagion, débordent vers des quartiers autrefois épargnés.

Voici une quinzaine d’années, pillages et émeutes étaient rares. Aujourd’hui, ils deviennent la norme.

Voici une douzaine d’années, les prisons renfermaient un nombre élevé de gens venant de zones de non-droit et appartenant à des bandes ethniques, et des actions de démantèlement des bandes concernées étaient menées.

Aujourd’hui, les trois quarts des criminels incarcérés sont des gens venant de zones de non-droit et appartenant à des bandes ethniques qui ne sont plus démantelées.

Voici une dizaine d’années à peine, le respect de l’uniforme existait encore, même s’il avait sérieusement commencé à s’éroder. Voir des commissariats attaqués aurait alors semblé presque impensable.

Aujourd’hui, des porteurs d’uniforme sont agressés jusque dans leur domicile, menacés de sanctions s’ils répliquent ou se défendent, et les attaques de commissariats se produisent de manière récurrente.

Ce qui se dessine a pu être défini comme une guerre civile en gestation, et j’ai moi-même pu recourir à cette expression, mais elle n’est pas vraiment exacte.

Pour qu’une guerre civile ait lieu, il faut des combattants des deux côtés.

Or il n’y a là, pour l’essentiel, qu’un seul côté qui combat, tandis que l’autre côté ne se bat pas, recule et semble simplement retarder le moment d’une défaite déjà entérinée.

Mieux vaudrait parler de déliquescence, ou de glissement lent (mais de plus en plus rapide) vers le chaos et vers une transformation de la France en un pays ressemblant à ces contrées du tiers-monde où quelques îlots préservés subsistent, tandis que, partout ailleurs, règne une loi de la jungle où tout peut arriver et où la sécurité devient très aléatoire.

Un redressement est-il possible ?

Des moyens drastiques seraient désormais nécessaires pour cela. Le recours à ces moyens serait-il envisageable ?

Cela aurait été très difficile au temps de Nicolas Sarkozy.

Au vu de la détérioration qui se poursuit, c’est devenu presque impossible.

Les dirigeants politiques qui se succèdent au pouvoir sont complices ou n’ont pas l’étoffe ni la détermination requises. Et aucune des personnes susceptibles de leur succéder présentement ne semble à même de faire ce qui devrait l’être.

Il en est ainsi en raison de ce que j’ai décrit plusieurs fois : la gauche s’est installée peu à peu dans tous les appareils et institutions.

Elle a voulu éroder, détraquer et détruire. Elle y est largement parvenue. Parce qu’elle déteste la civilisation occidentale, elle a voulu y introduire des corps étrangers inassimilables. Elle y est largement parvenue aussi. Elle a estompé, marginalisé, puis diabolisé tous les repères intellectuels à même d’étayer un sursaut.

Tout semblerait perdu si un mouvement de révolte n’était pas en train de gagner l’Europe, porté par des Européens qui ne veulent pas mourir. Ce mouvement a été qualifié de « lèpre » ou de « vent mauvais » par le minable Macron. Il importe de tout faire pour que la « lèpre » et le « vent mauvais » touchent la France. Au plus vite.

 

Source : les4verites

Nîmes, 4 héros ordinaires sauvent une femme et ses deux enfants

Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2018 

Quatre Français ordinaire qui ont fait leur devoir. Quatre hommes ne se connaissaient pas et s’étaient jetés dans l’eau glacée pour sauver d’une mort certaine une maman et ses enfants.

Le 23 février, sur le pont enjambant la Vistre à hauteur de la commune de Vauvert, la voiture de Géraldine est percutée par un autre véhicule et tombe dans la rivière. Quatre hommes, Kevin Mennesson, Nicolas Mysiorska, Florian Rocha et Brice Uriol, qui ne se connaissaient pas, s’étaient jetés à l’eau pour sauver la jeune femme et ses deux enfants. « On pensait que les occupants étaient décédés, et puis on a vu une petite main bouger sur la vitre. Je me souviendrai toute ma vie de cette petite main contre la vitre », explique Florian Rocha. « Non on n’est pas des héros », sourient-ils et clament d’une même voix Kevin Mennesson et Brice Uriot. « Les héros, ils sont au cinéma. On n’est pas Captain America ou les autres. Nous sommes des citoyens normaux ». La jeune maman s’est vu mourir, ainsi que ses deux enfants. « J’étais presque sous les eaux », se souvient Géraldine. « Et puis la portière de ma fille s’est ouverte, ça a été un tel soulagement. Je pensais que c’était la fin… Et puis la porte qui s’ouvre. Un visage, deux visages, trois visages… Merci. Merci les gars ».

Les quatre héros, qui se considèrent comme « des citoyens ordinaires », reçurent la médaille de bronze pour acte de courage et de dévouement par le Préfet du Gard. Pas de lui-même mais à la demande de la maman, ainsi que les médailles de la ville du Cailar et du département. Pas de Légion d’Honneur, ils n’ont pas tapé dans une baballe… Pas d’invitation à l’Elysée non plus, ce n’étaient que des indigènes sauvant une femme et des enfants indigènes.

Géraldine avait demandé que le courage de ses sauveteurs soit récompensé. « Parce que des badauds qui sont passés devant nous, il y en a eu beaucoup. Mais des gens qui se sont arrêtés pour nous sauver, il n’y en a eu que quatre ». Une plainte pour mise en danger de la vie d’autrui et vitesse excessive a été déposée contre le conducteur de la voiture qui a percuté celle conduite par Géraldine. Le 7 mai, une autre famille n’a pas eu la chance d’avoir des anges gardiens. Une petite fille de dix ans est morte après la chute d’une voiture dans cette même rivière. L’accident s’est produit un peu plus loin, sur la commune du Cailar. La maman a été grièvement blessée.

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

Invasion migratoire : des centaines d’Africains prennent d’assaut la frontière espagnole avec des bâtons et de la chaux vive

Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2018

Auteur : Pierrot
contre-info

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Des centaines de migrants, plus de 700, armés de bâtons et de sprays faisant office de lance-flammes artisanaux, ont pris d’assaut le 26 juillet la barrière à la frontière entre le Maroc et Ceuta, territoire espagnol en Afrique. D’après la Garde civile espagnole, plus d’une centaine de migrants et une quinzaine de garde-frontières ont été blessés durant les affrontements.

Et la maréchaussée espagnole de préciser : «Afin d’empêcher la Garde civile espagnole d’intervenir dans la zone où les tentatives d’intrusion avaient lieu, les immigrants ont utilisé des équipements défensifs comme des boucliers […] lançant aux agents des récipients plastiques remplis d’excréments et de chaux vive».

Des cocktails molotov ainsi que des sacs de haschich ont également été retrouvés dans le sillage des migrants.

Ce franchissement de la frontière de Ceuta, hérissée de barbelés, est le plus important depuis février 2017, plus de 850 migrants étaient alors parvenus à pénétrer dans la ville du nord du Maroc placée sous administration espagnole.

Ceuta est avec Mellila l’un des deux confettis territoriaux administrés par Madrid et situés dans le nord du Maroc. Ils constituent les seules frontières terrestres entre l’Afrique et l’Europe.

Source :RT France