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jeudi, 04 octobre 2018

Chaos Collomb – Macron KO

Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2018

Rédigé par notre équipe le 03 octobre 2018. 

Ce n’est plus un avis de tempête, mais bien une alerte ouragan qui souffle sur la Macronie. Alors que Macron faisait le kéké avec des jeunes à Saint-Martin un an après le passage de l’ouragan Irma, le président est chahuté un vent lyonnais qui souffle rudement fort : le Collomb. Un ministre qui présente sa démission, qui se la voit refuser, mais qui part finalement 24 heures plus tard. Le pouvoir n’a jamais été aussi fragile et les preuves de son enlisement sont manifestes. Collomb sème le chaos et laisse son ancien champion KO.

Un ministre démissionnaire sommé de rester, mais qui « maintient sa proposition de démission » et qui se retrouve un jour plus tard à poireauter un quart d’heure pour une passation lunaire avec le Premier ministre. Si les débuts de Gérard Collomb avaient été timides place Beauvau, sa sortie est au moins très remarquée. Ministre nul qui a accumulé les fuites devant la tâche et les bourdes, Collomb n’a jamais trouvé sa place à Paris. Il file donc à Lyon où le maire a démissionné comme un bon petit soldat afin de lui laisser la place et mettre en route la machine à propagande qui devra assurer à Collomb un succès aux municipales de 2020.

Le blues du premier flic de France

Collomb est parti et il laisse un goût amer au reste de l’exécutif. Soutien de la première heure du faux novice Macron et fusible qui n’a jamais dit son non dans l’affaire Benalla-Macron. Une affaire qui a montré une fois encore que le « premier flic de France » était le dernier à savoir ce qui se passait sous son nez. Dans ces conditions, la lutte contre la délinquance et le terrorisme était largement au-dessus de ses maigres compétences. Malmené et prêt à dire n’importe quoi sous serment, Collomb a compris que sa survie passerait par un départ rapide en direction de Lyon.

Malheureusement pour lui, Macron a refusé sa démission et le ministre a alors affirmé partout (et en premier lieu au Figaro) qu’il était prêt à rendre son tablier à n’importe quel moment. Un ministre qui dit publiquement que sa fonction ne l’intéresse pas le moins du monde, c’est quelque peu problématique. Mais au fond pas plus qu’une ministre de la Culture qui baigne dans l’illégalité et qui promeut des condamnés en justice… Collomb a finalement été débarqué, mais pas remplacé. La passation de pouvoir avec le Premier ministre ce matin a confirmé l’impréparation au plus haut sommet de l’Etat.

Collomb a attendu comme un benêt qu’Edouard Philippe daigne le relever de ses fonctions et les habituels échanges d’amabilité sur le perron du ministère ont été brefs et très froids. Le Premier ministre n’a pas apprécié l’envol solitaire du septuagénaire. Faute de remplaçant pour le moment, c’est donc le Premier ministre qui devient en plus ministre de l’Intérieur. C’est une première, c’est risible, mais toute la séquence aussi désastreuse soit-elle ne signifie en rien qu’il y a une « crise ». Le pouvoir tente de nier la vérité et ne fait que rajouter au grotesque de la situation.

Les ministres (les plus importants) quittent tour à tour le navire et montrent que la Macronie a déjà atteint ses limites. Il va falloir trouver rapidement une rustine et pour l’instant les candidats crédibles ne se bousculent pas. Un transfuge de droite pour remplacer l’éléphant socialiste ? C’est dans l’air du temps, mais aux marchés aux puces, les bonnes affaires sont parfois difficiles à trouver. La Macronie se cherche un nouveau fusible. Collomb aura désormais le temps de dire ce qu’il pense vraiment de la Macronie. Il a déjà fait un premier pas en avouant lors de la passation de pouvoir qu’il avait remarqué la présence de quartiers entiers ne vivant plus selon les lois de la République. Le vieux Collomb a fini par ouvrir les yeux. Il faut maintenant ouvrir la bouche et dénoncer l’ignominie à laquelle il a tant contribué. Cela soulagera son âme !

 

Source : 24heuresactu

samedi, 28 juillet 2018

France : la perspective du chaos

Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2018

POSTÉ LE 26 JUILLET , 2018

chaos,france,guerre civile

Les scènes de pillage et d’émeutes qui ont suivi la victoire de l’équipe de France de football sont tristement significatives de l’évolution du pays ces dernières années.

Elles ont fait suite aux pillages et aux émeutes qui ont eu lieu à Nantes un peu plus tôt, et à de multiples autres scènes du même type survenues en France depuis 2005.

Il ne peut plus y avoir en France un rassemblement collectif de grande ampleur, quel qu’il soit, sans que surviennent des violences et des destructions.

Quand ce n’est pas un rassemblement collectif de grande ampleur qui sert de prétexte, une arrestation qui tourne mal peut faire l’affaire.

La police reçoit des directives, ne rétablit plus vraiment l’ordre, et se contente d’endiguer et de limiter les dégâts – et, d’ailleurs, elle les limite de moins en moins.

Les médias sont incités à dissimuler la réalité et à édulcorer leurs comptes rendus aux fins que la situation apparaisse moins grave qu’elle ne l’est.

La situation n’en est pas moins grave et devient de plus en plus préoccupante.

Voici une vingtaine d’années, il y avait en France quelques zones de non-droit.

Aujourd’hui, il y en a environ six cent. En outre, ces zones de non-droit grandissent et, par un effet de contagion, débordent vers des quartiers autrefois épargnés.

Voici une quinzaine d’années, pillages et émeutes étaient rares. Aujourd’hui, ils deviennent la norme.

Voici une douzaine d’années, les prisons renfermaient un nombre élevé de gens venant de zones de non-droit et appartenant à des bandes ethniques, et des actions de démantèlement des bandes concernées étaient menées.

Aujourd’hui, les trois quarts des criminels incarcérés sont des gens venant de zones de non-droit et appartenant à des bandes ethniques qui ne sont plus démantelées.

Voici une dizaine d’années à peine, le respect de l’uniforme existait encore, même s’il avait sérieusement commencé à s’éroder. Voir des commissariats attaqués aurait alors semblé presque impensable.

Aujourd’hui, des porteurs d’uniforme sont agressés jusque dans leur domicile, menacés de sanctions s’ils répliquent ou se défendent, et les attaques de commissariats se produisent de manière récurrente.

Ce qui se dessine a pu être défini comme une guerre civile en gestation, et j’ai moi-même pu recourir à cette expression, mais elle n’est pas vraiment exacte.

Pour qu’une guerre civile ait lieu, il faut des combattants des deux côtés.

Or il n’y a là, pour l’essentiel, qu’un seul côté qui combat, tandis que l’autre côté ne se bat pas, recule et semble simplement retarder le moment d’une défaite déjà entérinée.

Mieux vaudrait parler de déliquescence, ou de glissement lent (mais de plus en plus rapide) vers le chaos et vers une transformation de la France en un pays ressemblant à ces contrées du tiers-monde où quelques îlots préservés subsistent, tandis que, partout ailleurs, règne une loi de la jungle où tout peut arriver et où la sécurité devient très aléatoire.

Un redressement est-il possible ?

Des moyens drastiques seraient désormais nécessaires pour cela. Le recours à ces moyens serait-il envisageable ?

Cela aurait été très difficile au temps de Nicolas Sarkozy.

Au vu de la détérioration qui se poursuit, c’est devenu presque impossible.

Les dirigeants politiques qui se succèdent au pouvoir sont complices ou n’ont pas l’étoffe ni la détermination requises. Et aucune des personnes susceptibles de leur succéder présentement ne semble à même de faire ce qui devrait l’être.

Il en est ainsi en raison de ce que j’ai décrit plusieurs fois : la gauche s’est installée peu à peu dans tous les appareils et institutions.

Elle a voulu éroder, détraquer et détruire. Elle y est largement parvenue. Parce qu’elle déteste la civilisation occidentale, elle a voulu y introduire des corps étrangers inassimilables. Elle y est largement parvenue aussi. Elle a estompé, marginalisé, puis diabolisé tous les repères intellectuels à même d’étayer un sursaut.

Tout semblerait perdu si un mouvement de révolte n’était pas en train de gagner l’Europe, porté par des Européens qui ne veulent pas mourir. Ce mouvement a été qualifié de « lèpre » ou de « vent mauvais » par le minable Macron. Il importe de tout faire pour que la « lèpre » et le « vent mauvais » touchent la France. Au plus vite.

 

Source : les4verites

jeudi, 12 octobre 2017

La guerre civile a déjà commencé!

Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2017

 
POSTÉ LE 10 OCTOBRE , 2017

belles consciences,chaos,guerre civile,laxisme,terroristes

Voici quelques années, le courageux écrivain Laurent Obertone publia un essai intitulé « La France Orange mécanique ».

Il s’agissait de brosser un tableau de la réalité de l’insécurité dans notre pays.

Certes, ce tableau était noir et effrayant, mais il était surtout réaliste.

Naturellement, les politiciens qui, à la suite de Lionel Jospin, continuaient à croire qu’il n’y avait pas d’insécurité, seulement un « sentiment d’insécurité », étaient incapables de tenir compte de cette réalité.

Faute de prise en compte de la réalité, notre pays s’enfonce dans le chaos. En 2016, 3,7 millions de crimes et délits ont été enregistrés par les forces de l’ordre. Mais ce n’est que la partie émergée de l’iceberg.

D’après les estimations de l’Observatoire national de la délinquance et de la réponse pénale, il faut multiplier par 5 les chiffres officiels pour avoir une idée de l’insécurité. En d’autres termes, au moins 15 millions de crimes et délits ont été perpétrés en France en 2016.

Les politiciens peuvent, bien sûr, continuer à se voiler la face, en se disant que, dans leurs quartiers bien protégés, ils sont à l’abri.

Mais la seule légitimation de leur rémunération réside dans leur service de la population. S’ils ne servent pas, voire s’ils aggravent la situation du peuple en refusant de condamner les auteurs d’exactions, non seulement ils ne méritent pas leur salaire, mais ils méritent bel et bien de passer en Cour de Justice !

Or, si l’on observe, même d’un œil distrait, l’actualité récente, on ne peut manquer d’être frappé par la responsabilité des « belles consciences ».

Je les tiens déjà pour responsables des innombrables morts par noyade de candidats à l’immigration clandestine en Méditerranée.

C’est, en effet, parce que nous envoyons le message parfaitement clair que les immigrés clandestins sont les bienvenus chez nous – qu’ils y sont nourris et soignés, bien mieux que nos paysans qui ont trimé toute leur vie – que ces malheureux tentent la traversée sur des coquilles de noix, entraînés par des passeurs esclavagistes.

Mais les politiciens, les intellectuels et les juges laxistes sont aussi complices des terroristes.

Songez que l’assassin des deux jeunes Marseillaises était un clandestin présent sur notre sol depuis une dizaine d’années. Et, surtout, que, tout clandestin qu’il fût, il avait été interpellé une dizaine de fois, sans jamais être expulsé.

On ne peut pas prétendre faire la guerre au terrorisme – en limitant drastiquement, au passage, les libertés des Français honnêtes –, si on n’applique même pas les lois.

La réalité, c’est que l’appareil d’État est le principal responsable de ces morts – avec le salafisme qu’il laisse complaisamment se répandre dans plus de cent mosquées identifiées.

Il est vrai que l’État est tellement occupé à emm… les braves gens qu’il n’a plus de moyens à consacrer à la lutte anti-terroriste.

Il préfère augmenter le budget de l’Aide médicale d’État, destiné à soigner ceux qui sont illégalement présents chez nous, que celui de l’armée.

Il préfère dorloter les délinquants et persécuter ceux qui se défendent, comme Daniel Malgouyres qui a tué l’un de ses agresseurs, entré par effraction chez lui, et qui risque pour cela la prison.

L’État ne protège plus les Français, collabore avec les assassins par son laxisme et son idéologie prétendument « progressiste », mais lutte avec acharnement contre la légitime défense.

Ces politiciens « collabos » vont être rejetés.

La question est de savoir qui les remplacera. Et il est à craindre que ce soit la charia, si les Français ne se réveillent pas rapidement.

 

Source : les4verites

vendredi, 30 décembre 2016

Alerte économique majeure: l’Euro se dirige vers la parité avec le dollar ! Sommes-nous à la veille d’un chaos ?

L’effondrement de l’euro s’accélère, et il semble que nous pourrions assister à une crise financière européenne majeure dès le début de l’année 2017.Le jeudi 15 décembre 2016, le cours de la devise EUR/USD avait chuté jusqu’à 1,0366 dollars avant de finir par rebondir légèrement. Cela représente la plus faible valorisation de l’euro par rapport au dollar américain depuis Janvier 2003. Rappelez-vous que cela fait presque 6 ans maintenant que j’alerte régulièrement sur le fait que l’euro se dirige vers la parité avec le dollar américain. Lorsque la devise EUR/USD se négociait à 1,40 dollars, cela semblait un peu fou, mais je n’avais pas changé d’avis pour autant. Je continuais à avertir les gens sur le fait que l’euro allait s’affaiblir considérablement face au dollar américain. Voici d’ailleurs cet exemple qui date de mars 2015: « Combien de fois l’ai-je dit ? L’euro va vers des plus bas historiques. Il va se diriger vers la parité avec le dollar américain, puis il finira par tomber sous cette parité. » Nous y sommes presque, et une fois que aurons atteint cette fameuse parité, n’importe quel problème majeur pourrait éclater en europe.

Depuis des années, beaucoup d’experts qui rédigent des articles sur nos futurs problèmes économiques, proclament la mort imminente du dollar américain.

Mais moi, j’ai toujours adopté une approche différente. J’ai toujours soutenu que l’effondrement de l’euro arriverait d’abord, et que la mort du dollar américain interviendrait un peu plus tard.

Du coup, beaucoup de gens ont voulu se débarrasser de tous leurs dollars en prévision de la crise à venir, mais c’est une énorme erreur.

Tout d’abord, tout le monde doit posséder un fonds d’urgence (de l’argent que l’on met de côté) pour pouvoir parer à au moins six mois de dépenses. On ne sait jamais ce qui peut arriver, vous pouvez perdre votre emploi, avoir un problème de santé voire être confronté à n’importe quel imprévu.

Deuxièmement, détenir de l’argent aura énormément d’importance dans les premières phases de cette crise à venir. Ensuite, plus tard, le dollar américain perdra rapidement de sa valeur, mais au début, il sera utile d’avoir d’importantes liquidités disponibles.

La plupart des gens aux Etats-Unis pensent qu’un dollar fort est une excellente nouvelle et que c’est de bon augure pour la future présidence de Donald Trump.

Mais en réalité, un dollar trop fort est une très mauvaise nouvelle pour l’économie mondiale.

Pour les Etats-Unis, un dollar fort impacte ses exportations et cela a tendance à faire baisser son PIB.

Pour le reste du monde, un dollar fort rend plus coûteux le fait d’emprunter de l’argent. Le boom économique auquel nous avons assisté après la dernière crise financière dans les pays en développement a été alimenté par des montagnes de dollars qui ont été empruntés à des taux d’intérêt extrêmement bas. Mais maintenant, le dollar américain n’arrête pas de progresser et les taux d’intérêt s’envolent, ce qui commence à poser de sérieux problèmes.

Il faut maintenant beaucoup d’argent dans la devise du pays pour rembourser ces prêts libellés en dollars qui ont été contractés sur les marchés émergents durant la période d’euphorie post-crise financière. Si le dollar américain continue d’augmenter, nous allons voir un nombre impressionnant de faillites, et actuellement, un resserrement du crédit semble inévitable dans de nombreuses régions du monde.

Comme je l’ai déjà expliqué à maintes reprises, la crise qui se profile frappera d’abord l’Europe, et les États-Unis seront impactés peu de temps après.

L’élément clé qu’il faut surveiller et qui nous permettra de savoir si nous sommes proche ou pas de cet événement, c’est l’euro. Une fois que l’Euro aura atteint la parité avec le dollar, les problèmes pourraient commencer à s’accélérer significativement.

Source:theeconomiccollapseblog

http://www.businessbourse.com/2016/12/21/alerte-economiqu...

 

Source : leblogalupus

jeudi, 17 mars 2016

ANTIRACISME ET BARBAROPHILIE (par Christian Leblanc)

Publié par Guy Jovelin le 17 mars 2016

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« Il faut que les gens S’INTÈGRENT ! »…


Voilà… le grand mot est lâché !

Mais s’intégrer ne veut pas dire « reprendre le flambeau ».
Savoir utiliser notre civilisation ne veut pas dire savoir la produire… loin de là !
Quoi qu’on pense, quoi qu’on dise, quoi qu’on fasse, qu’on le veuille ou non, une civilisation est TOUJOURS le fait d’une race.
Les individus d’une même race ont TOUS, génétiquement, un « je-ne-sais-quoi », quelque chose d’à la fois imperceptible, fragile, délicat et permanent, un « je-ne-sais-quoi » qui fait que…
C’est presque indicible mais c’est bien réel et ce « quelque-chose-qui-fait-que » inhérent à chaque individu d’une même race et multiplié par des millions, automatiquement, va produire une civilisation particulière.
Civilisation qui va s’écrouler dès que la race s’éteindra. Egyptiens, grecs et romains en ont fait la triste expérience.
Leurs élites, tout comme la nôtre ont cru que…
Elles ont cru que les barbares, s’intégrant peu à peu allaient perpétuer leur civilisation.
Il n’en fut rien !

« S’intégrer » ne veut pas dire « reprendre le flambeau ».
On peut très bien apprendre à conduire une auto et l’utiliser parfaitement sans être du tout capable de la construire.
C’est malheureusement cela l’intégration : on singe les gestes, les idées, l’âme, et… sitôt que le modèle disparaît, tout s’écroule.

Il en est de même des civilisations. L’immense majorité des barbares qui s’« intègrent », aujourd’hui, chez nous, c’est-à-dire qui utilisent notre civilisation sont parfaitement incapables de la produire.
Ce ne sont même pas des paysans. Ils ne sont pas capables de nous faire manger. Par contre, manger, ça ils savent le faire.
Ils utilisent très bien, nos outils, nos machines, nos inventions, nos créations, nos découvertes, nos principes, nos lois, mais… mais-mais-mais… ce n’est pas ça… ils n’inventeront pas, ne créeront pas, n’innoveront pas, dans aucun domaine.
Ils se contenteront d’utiliser au mieux notre civilisation, de la faire fonctionner, sans rien y apporter de nouveau, sans même assurer sa maintenance, et elle se dégradera peu à peu, jusqu’à s’étioler et mourir.

Il y a de tout chez les Blancs. Des nuls, des bons-à-rien, des paresseux, des parasites, des voyous, comme des doués, des honnêtes gens, des travailleurs, des génies…
Mais il est une constante au plus profond de nous, quelque chose que nous possédons quasiment tous dans nos gènes à des degrés divers et qui fait notre particularité : LA PHILANTHROPIE.
Toutes nos inventions, toutes nos réalisations, matérielles, humaines, sociales sont frappées au coing de la philanthropie : outils, machines, véhicules, constructions, ouvrages d’arts…

Tout est dirigé, non pas comme autrefois, pour le plaisir et le bien-être d’un puissant ou d’un notable, mais pour le plaisir et le bien-être du groupe, des siens.
Tous les objets qui peuplent notre quotidien et toutes les lois qui régissent le groupe ont pour but de faciliter la vie de chacun et nous rendre plus heureux.
Tous nos efforts, toutes nos activités, même si la réussite n’est pas toujours au rendez-vous, tendent à cela : rendre chacun plus heureux.
Le nazisme lui-même procédait de la philanthropie. Une philanthropie à sens unique bien sûr, mais philanthropie tout de même… rien ni personne n’est parfait.
La philanthropie est le trait dominant de notre race.
Jamais aucune race ne le fut plus que la nôtre, et… aucune, jusqu’à ce jour ne l’est plus.

Nous n’y sommes pour rien, nous n’avons aucun mérite particulier, mais c’est un fait, c’est la vie, c’est comme ça, c’est notre nature, un point c’est tout et vouloir métisser à tout prix notre race sous prétexte que certains singent parfaitement nos gestes et nos idées est une pure illusion, une illusion catastrophique.
On n’intègre pas des briques et des parpaings et des galets dans un mur de pierres sans être obligé de le briser ici et là, jusqu’à ce qu’il s’écroule.

Le pilote de ligne a beau être très fin, très intelligent, très compétent… ce n’est pas lui qui a construit l’avion. Quand il y aura plus de pilotes que de constructeurs d’avions il n’y aura plus aucun vol.
Je ne jette la pierre à personne. Les barbares sont les barbares et nous sommes ce que nous sommes, c’est ainsi et ni les uns ni les autres n’y peuvent rien.
Certains ex-barbares, les asiatiques, en nous copiant, sont arrivés à nous égaler et même à nous dépasser… mais CHEZ EUX, en restant « ENTRE EUX ».

Cessons de nous mentir à nous-mêmes… chacun sait très bien que le métissage a toujours été synonyme de chaos.

Je sais très bien ce qui va nous arriver si nous laissons les clefs de notre civilisation aux barbares… Nous le savons d’ailleurs TOUS très bien, même ceux qui font semblant de ne pas le savoir.

Je veux bien des savants, mais les miens !
Je veux bien des chercheurs, mais les miens !
Je veux bien des musiciens, mais les miens !
Je veux bien des artistes, mais les miens !
Je veux bien des paysans, mais les miens !
Je veux bien des ouvriers, mais les miens !
Je veux bien des techniciens, mais les miens !
Je veux bien des ingénieurs, mais les miens !
Je veux bien des docteurs, mais les miens !
Je veux bien des génies, mais les miens !
Il y en a d’ailleurs une telle proportion chez nous qu’il serait bien dommage de nous métisser.

Je veux bien des nuls, mais les miens !
Je veux bien des paresseux, mais les miens !
Je veux bien des bons à rien, mais les miens !
Je veux bien des parasites, mais les miens !
Je veux bien des voyous, mais les miens !
Je veux bien des handicapés, mais les miens !
Je veux bien des cas-sociaux, mais les miens !
Je veux bien des mystiques azimutés, mais les miens !
Il y en a d’ailleurs une telle proportion chez les barbares qu’il serait bien dommage de nous métisser… c’est d’ailleurs pour cela qu’ils sont barbares.

L’intégration est un mirage !

Ils ont des gens exceptionnels… Bon, d’accord ! Eh bien qu’ils se les gardent, ils en ont bien besoin. Et qu’ils se bâtissent une civilisation bien à eux, sur LEUR territoire.
Grand bien leur fasse. Et qu’ils nous foutent la paix !
Il existe partout des gens doués pour faire de la musique, d’autres doués pour faire des maths, d’autres doués pour l’invention, d’autres pour l’entreprise, d’autres pour le sport, etc.
Il n’y a pas grand mérite à être doué. C’est comme ça, c’est la vie. On ne peut que s’incliner devant les faits.

Malheureusement il en est des peuples comme des gens.
Certains sont doués pour créer, fabriquer, produire, organiser, bâtir. C’est un fait. On ne peut que s’incliner devant cela.
Quand je vois ce que certains peuples ont fait chez eux, et quand je les vois accourir ventre à terre chez nous… C’EST PROPREMENT EFFRAYANT !
Aujourd’hui, toutes les races du monde accourent pour se métisser avec la nôtre.
C’est très gratifiant et honorant… pour sûr.

Pour eux nous sommes « GRANDS »… ils ne cessent de nous le dire.
Malheureusement, CHEZ NOUS, des millions et des millions de « petits » en mal de grandeur, de stupides en mal d’intelligence, d’ordinaires en mal d’exceptionnel, d’éteints en mal de lumière, de pas-beaux ou de pas-belles en mal de beauté, ronronnent de plaisir et sont prêts à accueillir le monde entier avec la largesse, l’altruisme et la magnanimité qui sied à leur immense, incontestable et incontestée noblesse.
Ils ne peuvent résister au plaisir d’être… enfin… « GRANDS », et bien sûr, de nous toiser du haut de leur toute-petitesse.
La barbarophilie qui flatte l’ego des gens a pour effet de les élever soudain et comme par magie au-dessus de la masse.
Malheureusement pour tous ces doux rêveurs, ces dangereux doux rêveurs,« Tout flatteur vit au dépend de celui qui l’écoute ! » et la barbarophilie ne les rend pas plus grands.
Ce n’est qu’un vulgaire tabouret que n’importe quel barbare, le jour venu, leur retirera d’un simple coup de pied…

Je ne sais pas ce qui est arrivé en Égypte du temps de sa grande décadence… du temps de ses pharaons sémites ou noirs…
La barbarophilie existait-elle ?  Sans doute… puisqu’elle a existé de façon flagrante et criante du temps de la décadence des grecs anciens et des latins.
Déjà vers les années 500 avant JC, le grec Hérodote, grand voyageur, inventeur de l’Histoire et pratiquement de l’ethnologie, fut le précurseur de la barbarophilie grecque.
Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il ne côtoyait réellement que l’élite barbare…
Il avait donc remarqué que les barbares n’étaient pas si stupides qu’on l’imaginait, et qu’il y avait des gens très fins et très bien dans leurs rangs.

En fait, comme tout bon « intellectuel » qui se respecte, comme un bon BHL, il avait découvert l’eau chaude. Il avait découvert que dans un groupe réputé intelligent tout le monde n’était pas intelligent et que dans un groupe réputé con tout le monde n’était pas con.
La notion de proportion, en toute chose, n’était pas encore née : proportion de globules rouges ou blancs dans le sang, d’oxygène dans l’air, de sel dans un plat, d’intelligents ou de cons dans un groupe, etc., etc., etc.
Ses récits et œuvres furent donc tous empreints d’une certaine barbarophilie… barbarophilie qui s’hypertrophia tant et tant au cours des siècles qu’elle finit par étouffer tout amour-propre chez les Grecs jusqu’à Alexandre le Grand qui l’érigea en règle de vie, effaça son propre peuple et abattit sa propre civilisation du même coup.

Idem pour Rome.
À l’époque des grandes infiltrations barbares et de la grande décadence, il était de bon ton de s’habiller de peau d’ours comme les Gaulois ou les Germains, de porter une épée franque à la ceinture, de se décolorer les cheveux à l’eau de chaux, d’émailler son vocabulaire de quelques mots typiquement barbares et de promouvoir les barbares plutôt que les latins chaque fois qu’on le pouvait. Cela faisait tellement « classe » !
Sans compter le premier concept anti-race et anti-nation de l’histoire qui rongeait l’empire de l’intérieur. Concept fait pour l’infiltration et la domination des grands peuples par les juifs : le christianisme : « Nous sommes tous frères, donnez tout, soyez pauvres, si l’on vous attaque ne vous défendez pas…».

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Barbarophilie et christianisme…
Rome ne s’en relèvera pas.

Nous sommes dans le même cas de figure.

Barbarophilie galopante et antiracisme marxiste forcené et très “mode”, nous livrent pieds et poings liés à tous les charognards de l’humanité. Nous aussi sommes bons pour la décadence, l’écroulement et le pillage… décadence, écroulement et pillage, mais… TRÈS “CLASSE” bien entendu, comme tout le monde peut s’en douter.

RESISTERONS-NOUS ?

Oui, mais à une seule condition : nous devons prendre conscience de ce terrible cancer qui a tué et qui continue à tuer les grands peuples, TOUS les grands peuples : L’ANTIRACISME !

 

N’oubliez pas, n’oubliez JAMAIS
ce que l’ANTIRACISME a fait de l’Égypte, de la Grèce et de Rome…

CHRISTIAN LEBLANC